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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient« Le New York Times » en Judée-SamarieUne délégation de journalistes de l'un des plus grands « faiseurs d'opinion » des Etats-Unis, le « New York Times », était entre autres l'invitée du Conseil des Localités de Judée-Samarie. Les journalistes ont effectué une visite-éclair, lors de laquelle ils ont rencontré le Premier ministre Binyamin Netanyahou et le chef de l'Autorité Palestinienne...
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Dernière mise à jour, il y a 30 minutes
J'arrive un peu tard pour vous dire combien je suis aussi outrée que vous tous et toutes sur ce sujet. Il n'y a décidément plus de limites à la bassesse, au point de laisser les mains libres à des voyous pour attaquer, ridiculiser, décrédibiliser et "effacer" Israêl par tous les moyens.
J'espère aussi que les dirigeants d'Israêl ne "vont pas se laisser faire" quand même, parce que là, si cette "info" n'est pas de l'intox, le bouchon est poussé vraiment trop loin!!!
AM ISRAEL HAY
TOLEDOTH
son sein, elle dit: «Si cela est ainsi, à quoi suis-je destinée!»
Et elle alla consulter le Seigneur. 23 Le Seigneur lui dit:
«Deux nations se ramifieront depuis ton sein,
Et deux peuples forts ;
Un peuple sera plus fort que l'autre,
Et l'aîné obéira au plus jeune. »
chaque génération et elle détermine le cours de l'histoire. Son issue reste incertaine pendant de longs siècles, mais il adviendra que le plus fort rendra un jour hommage au plus faible. Jamais ils ne seront égaux en grandeur. Lorsque l'un s'élèvera, l'autre tombera. L'un produira Salomon, le constructeur du Temple, l'autre donnera naissance à Vespasien, son destructeur. Jacob formera des Prophètes, Esaû des Seigneurs» (Cf. Midr. PS. IX, 5).
SE RAMIFIERONT DEPUIS TON SEIN. «L'un allant vers son impiété, l'autre vers son intégrité » (Rachi). Mais nous est-il pas enseigné, demande Maharal, que le penchant du mal ne commence à exercer son influence sur l'âme qu'à partir de la naissance (Sanh. 91 a), tandis que nous voyons ici Esaû tenter de «courir vers les portes de l'idolâtrie», alors qu'il n'était qu'embryon dans le sein maternel ? Aussi ne s'agissait-il pas pour Esaû de l'effet du penchant du mal, mais il subissait l'influence de la loi naturelle de l'attirance quasi magnétique d'éléments semblables : l'idolâtrie exerçait son attraction sur l'âme apparentée d'Esaû.
En tout état de cause, l'Ecriture tient à nous faire comprendre que l'hostilité irréductible qui sépare les deux frères Jacob et Esaû pendant toute leur existence n'a pas son origine en des motifs de jalousie ou de rivalité politique et économique, etc., mais qu'elle remonte à des divergences congénitales de caractère qui se manifestèrent, dès avant leur naissance, dans le sein maternel. La haine farouche qui oppose les frères ennemis apparaît ainsi comme étant une donnée élémentaire, un fait a priori, un facteur providentiel de l'histoire, échappant au contrôle de la volonté concertée. On comprend, dès lors, la sentence catégorique de R. Simon ben Yochaï : C'est un axiome indubitable qu'Esaû haït Jacob (Cf. Rachi Gen. XXXIII, 4).
Dans les sources talmudiques et dans la littérature midrachique les noms d'Esaû = Edom sont souvent identifiés à Rome. Rachi se fait l'écho de ces traditions lorsqu'il rapporte la bénédiction de la «grasse contrée» accordée par Isaac à Esaû, à l'Italie (XXVII, 39). Plus tard, la même appellation fut conférée au monde chrétien dans son ensemble, lorsque Rome adopta le christianisme. Flavius Josèphe rapporte que Tsephô, IBS, petit-fils d'Esaû, cité Gen. XXXVI, 11, M le fondateur de Rome, qui devint ultérieurement le siège de la chrétienté (cité par Nahmanide, XLIX, 31). Depuis, il est devenu d'usage traditionnel de considérer la Chrétienté comme représentant les descendants d'Esaû et les juifs comme représentant les descendants de Jacob. L'antagonisme entre Jacob et Esaû est donc symbolique de celui entre Rome et Jérusalem, et les raisons de cet antagonisme sont également applicables aux mondes juif
Une petite réponse ?
Méditez ceci :
Le monde humain fait partie de ce monde de la dualité et possède le choix extraordinaire de faire ou de ne pas faire, d'agir ou de ne pas agir. Le monde de la dualité et du nombre apporte en permanence une multitude de choix, et notre devoir est de faire le bon. Des règles morales sont posées par toutes les traditions et toutes les religions pour aider au bon choix et se placer du côté de la lumière. Nous avons la possibilité de faire ou de ne pas faire ce choix ; si nous le faisons, nous permettons à notre existence de participer au grand mouvement évolutif. Par contre, si nous ne le faisons pas, notre lumière cesse de grandir et le néant grignote notre sphère d'existence.
Face à ce choix, la Kabbale partage la création en côté droit et côté gauche. Le Zohar (I, 48a) attribue les racines de l'impureté au côté gauche : 'Tels sont les êtres à la création inachevée qui dans le côté gauche ressemblent aux scories de l'or. Ainsi, étant inachevés et fêlés, le Nom Saint ne réside pas en eux, et ils ne peuvent s'y attacher". Le côté gauche est le monde de "l'après création" ; les scories impures qui s'y trouvent font réapparaître le néant. Il ne faut pas comprendre par là que le néant est impur ; bien au contraire, c'est le non-acte qui, permettant au néant de revenir, est impur. D'ailleurs, la pureté fait aussi partie du côté gauche, car si on connaît ce qui est pur, c'est parce qu'on sait ce qui est impur. De même, on connaît le bien parce que c'est ce qui n'est pas mal ; donc nous nous servons des deux plateaux d'une balance. Le côté droit est celui de la sainteté et de l'unité, et les notions de bien et de mal ou de pur et d'impur ne s'y posent pas. Il n'y a pas de libre-arbitre dans le côté droit.
Dans le livre de la Genèse, l'architecte de la création est Elohim, nom qui est au pluriel. Non pas qu'il s'agisse de plusieurs "dieux", mais parce qu'il a le pouvoir de démultiplier. C'est lui qui "voit que cela est bon", car il connaît déjà ce qui est mal ; il est le bâtisseur du monde duel de l'après création. Le Zohar dit : "Elohim a créé pour faire, afin de les compléter dans l'En-Haut comme dans l'En Bas".
Le fait d'avoir été créés nous impose d'agir, de participer à la vie, mais le monde duel nous offre la possibilité de le faire ou de ne pas le faire.
Les racines de la douleur et du désespoir naissent de l'inaction, ou du choix de laisser faire. Lorsque nous choisissons de nous développer et de favoriser le rayonnement de la lumière, nous amplifions notre sphère de spiritualité. Cette dernière nous apporte une grande force intérieure et nous permet de supporter plus facilement la douleur du monde de l'En-Bas. Quelqu'un dont la sphère spirituelle est parfaitement développée ne connaît jamais le désespoir et le vide intérieur. Chaque fois qu'une difficulté du monde l'atteindra, il ne se laissera pas engloutir, il tirera immédiatement l'antidote de ses ressources intérieures. Le monde extérieur aura moins d'effet sur lui, car il n'aura pas construit sa vie sur ce qui est appelé à disparaître et sur des réceptacles limités.
D'un autre côté, quelqu'un qui arrête d'agir, qui "ne fait plus", permet au néant de revenir vers lui. Progressivement sa sphère spirituelle rétrécit ; à tel point qu'il arrive un temps où son espace intérieur est si réduit qu'il n'y a même plus de place pour lui. Alors il n'a plus de choix ; en quelque sorte il perd son libre-arbitre et se trouve expulsé hors de lui-même. Il est en exil hors de
son existence, et commence à tourner sans but dans une sphère extérieure où il passe son temps à se chercher. A ce stade, il est soumis à la douleur, au désespoir et à tous les maux du monde. Il se cherche à travers les autres et les formes. Sa douleur est constante car il place son désir dans des réceptacles limités, appelés à disparaître rapidement. La perte d'un simple objet, tel qu'un stylo, peut lui créer de la douleur. Dans cette situation, un être perd complètement la force d'agir, et a souvent besoin d'une aide externe que seul quelqu'un dont la sphère spirituelle est développée pourra lui apporter.
Le Rabbi Nah'man de Breslev enseignait que dans cette situation, il faut faire un acte minimum permettant de remettre le processus évolutif en route. Pour cela il faut prier, mais la personne en exil en a rarement la force. Alors il disait : si on ne peut pas dire une prière entière, il faut au moins en répéter les premiers mots. Il n'est pas sûr que l'on y parvienne du premier coup ; c'est pourquoi il faut pratiquer l'Hishadlouth c'est-à-dire l'effort, l'essai. Le développement de la sphère spirituelle qu'est la H'okhmah s'obtient par l'effort ; dans la mystique cette volonté s'appelle "Hishtadlouth". Ce terme vient de la racine "shidél" dont le sens est "exhorter", "encourager" ; en le permutant, ce mot devient "lishéd" "revigorer", "monter la sève". La permutation dans un autre sens donne "shéléd"le "squelette", la charpente sur laquelle l'existence repose. L'Hishtadlouth est l'effort qui sert de charpente à notre force vitale et spirituelle.
Il est écrit : "par sept fois le juste s'affale et il se relève" ; Rabbi Nah'man commentait cette phrase en disant que le juste n'est pas celui qui ne chute jamais, car tout le monde tombe, mais le juste se relève. Cette forme de mystique nous apprend à ne jamais rester passif devant les événements, et surtout, qu'une demande dans une prière doit être accompagnée d'efforts concrets. Il faut partir du principe que Dieu est toujours prêt à nous combler de dons, mais c'est à nous de former le réceptacle pour les accueillir.
Si nous nous retrouvons en exil dans le désert de notre passivité, il faut nous rappeler que l'essai en lui-même est d'une très grande valeur. La raison de notre incarnation est justement d'essayer ; le simple fait d'essayer est déjà une victoire.
J'aimerai bien que vous tous participants accédiez au lien suivant: http://www.henrymakow.com/post_18.html que je passerais d'ailleurs à l'organisation Juif.org, que vous suiviez les liens y indiqués et que qulqu'un puisse m'éclaircir sur toute cette saloperie. Si ce qui y est décrit est vrai, c'est plus que lamentable et horrifiant; on pourrait comprendre en partie à présent les chemins de Hashem. Si ce serait des mensonges, il faudrtait que des autorités et aussi l'Institut Simon Wiesenthal prennent toutes les mesures les plus sévères afin d'inhiber ce genre de publicité et propagande. En tous cas, comme Juifs nous ne devons ABSOLUMENT PAS PERMETTRE QUE CE GENRE DE SITUATIONS SE DÉVELOPPENT ET FLEURISSENT. J'aimerai tout de même une réponse de nos autorités religieuses!
2o. message: Mon message précédant: je vous prie de prendre le temps et la peine de lire et examiner toutes les informations y publiées: l’ascendance de MACH SHEMÓ hitler, des soldats et officiers juifs-nazis, de la participation de Rothschild, des complots et accords que des Juifs ont fait contre leur propres corréligionnaires. C’est épouvantable et monstrueux.
http://www.henrymakow.com/post_18.html
mais si tu voulais expliquer aux JUIFS ou tu veux en venir ????????????
Israel, Eden TRATNER
"De tanto ver triunfar as nulidades, De tant voir triompher les nullités
de tanto ver prosperar a desonra, de tant voir prospérer le deshonneur
de tanto ver crescer a injustiça, de tant voir croître l'injustice,
de tanto ver agigantarem-se de tant voir s'agéantir les
os poderes nas mãos dos maus, pouvoirs dans les mains des mauvais,
o homem chega a desanimar da virtude, que l'homme se desespère de la vertu,
a rir-se da honra, se moque de l'honneur,
a ter vergonha de ser honesto. et a honte d'être honnête.
Ruy Barbosa
Il faudrait exposer bien grand ces paroles à l'entrée de l'ONU, cet antre de bandits et vauriens, ainsi qu'aux parlements de toutes le nations.
S.Levy