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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientNetanyahou et Clinton en cession marathon à New YorkLa réunion de jeudi entre le premier ministre Benyamin Netanyahou et la secrétaire d’état américaine Hillary Clinton à New York a duré plus de sept heures, malgré les plans initiaux prévoyant une séance de deux heures au plus.
Dans un communiqué commun, les deux dirigeants ont déclaré qu’ils avaient eu une « bonne discussion » et ont convenu de l’importance de poursuivre les pourparlers de paix directs entre Israël et les palestiniens. Les deux ont également déclaré que les exigences sécuritaires d’Israël seraient pleinement prises en compte dans tout accord de paix futur.
Après une réunion en face-à-face, les équipes de négociations américaines et israéliennes se sont rendues à l’hôtel de Netanyahou. Selon les estimations, les deux parties ont présenté diverses propositions, et se sont plus tard divisés pour des discussions approfondies avant d’autres réunions.
Plus tôt, Netanyahou a déclaré qu’il était encore sérieux pour atteindre un accord de paix avec les palestiniens.
Le premier ministre a également déclaré qu’il espérait élargir le processus de paix à d’autres états arabes.
Clinton a pour sa part déclaré être préoccupée par les plans de constructions israéliens de nouveaux appartements à Jérusalem Est, mais avant la réunion, elle a refusé de répondre à une question sur les désaccords entre Netanyahou et Obama.
« Nous avons parlé et parlons aujourd’hui, sur la manière de reprendre et poursuivre ce processus pour obtenir cet accord historique avec la paix et la sécurité entre nous et les palestiniens, » a déclaré Netanyahou.
« Je tiens à ajouter que nous espérons aussi l’élargir à de nombreux pays arabes. Tel est notre objectif commun. Nous sommes très sérieux au sujet de le faire, et nous allons aller de l’avant. »
Interrogée par un journaliste pour savoir si les pourparlers de paix reprendront bientôt, Clinton a répondu : « c’est ce dont nous allons discuter. Nous y sommes tout deux très attachés. » Articles connexes
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Non je pense plutôt à la seconde solution. YYYYYYYAAAAAAAHHHHHH
http://www.rnw.nl/afrique/bulletin/afghanistan-laide-des-usa-a-la-reconstruction-perdue-dans-un-labyrinthe
Et le rapport d'épingler le Pentagone, au sein duquel "co-existent quatre organismes chargés de gérer les contrats de reconstruction financés par le département de la Défense qui ne se coordonnent pas entre eux". Pire, indique le texte, "le partage d'informations entre les agences gouvernementales est réduit à sa plus simple expression".
"Cet audit est fondamental, car si nous ignorons à qui nous donnons de l'argent, il est pratiquement impossible de surveiller le système dans son ensemble", indique l'Inspecteur général, Arnold Fields.
Dans un autre rapport paru simultanément, le SIGAR s'alarme du fait que six installations de la police nationale afghane financées par le corps des ingénieurs de l'armée américaine sont "si mal construites qu'elles sont inutilisables à l'heure actuelle (...) et pourraient s'effondrer lors d'un tremblement de terre".
La société engagée pour les travaux est une firme afghane appelée Basirat Construction.
Des six installations, trois doivent encore être achevées, mais, explique le texte, "il y a peu de chances pour que Basirat Construction finisse les chantiers restants avec les fonds alloués au départ vu le très grand nombre de réparations à effectuer" sur les trois premières installations déjà livrées ou en passe de l'être.
Arnold Fields met en cause le corps d'ingénieurs de l'armée américaine pour son manque de "surveillance" des chantiers.
Obama soutient la construction d'une mosquée près du site de Ground Zero Vendredi, Barack Obama s'est prononcé en faveur de l'installation d'une mosquée près du site des attentats du 11-Septembre à New York. Le président américain s'est livré à un véritable plaidoyer passionné pour la liberté de culte.
Par Dépêche (texte)
Achren VERDIAN (vidéo)
AFP - Dans un plaidoyer passionné pour la liberté de culte, le président américain Barack Obama a défendu vendredi le droit d'installer une mosquée près du site des attentats du 11-Septembre à New York, intervenant pour la première fois dans ce dossier potentiellement explosif.
"En tant que citoyen, en tant que président, je crois que les musulmans ont le même droit de pratiquer leur religion que quiconque dans ce pays. Cela comprend le droit de construire un lieu de culte et un centre communautaire dans une propriété privée dans le sud de Manhattan", a affirmé M. Obama à l'occasion d'un repas de rupture du jeûne de ramadan à la Maison Blanche.
"L'AILE DROITE DU PARTI RÉPUBLICAIN EST TOTALEMENT FURIEUSE"
Par Guillaume MEYER, correspondant France 24 à Washington.
"Nous sommes aux Etats-Unis, et notre engagement en faveur de la liberté de religion doit être inaltérable. Le principe, selon lequel les gens de toutes les croyances sont les bienvenues dans ce pays et ne seront pas traités différemment par leur gouvernement, est essentiel à ce que nous sommes", a ajouté le président, en citant le premier amendement de la Constitution des Etats-Unis qui garantit la liberté de culte.
M. Obama prend ainsi spectaculairement position dans une affaire qui provoque une polémique de grande ampleur depuis que le conseil municipal de New York a approuvé en mai la construction de cette mosquée.
Ses déclarations interviennent aussi alors que des associations de musulmans américains se disent inquiètes d'un "climat d'islamophobie exacerbé" dans le pays à l'approche du 11 septembre, qui coïncide cette année avec la fin du ramadan, calculé sur le calendrier lunaire.
Les partisans du projet de New York soutiennent que la "Maison Cordoba" aidera à surmonter les stéréotypes dont continue à souffrir la communauté musulmane de la ville depuis les attaques contre les gratte-ciel du World Trade Center, qui avaient fait quelque 3.000 morts.
Les opposants assurent quant à eux que construire une mosquée si près de Ground Zero est une insulte à la mémoire des victimes, et vendredi, M. Obama a reconnu la sensibilité de la question, soulignant que "les attentats du 11-Septembre ont été un événement profondément traumatisant pour notre pays".
"La douleur et la souffrance de ceux qui ont perdu leurs proches est inimaginable. Donc je comprends l'émotion que provoque ce dossier. Ground Zero est sans nul doute une terre sacrée", a-t-il dit.
"Nous ne devons jamais oublier ceux qui sont morts si tragiquement le 11-Septembre, et nous ne devrons jamais cesser d'honorer la mémoire de ceux qui ont réagi face à cette attaque, des pompiers qui se sont précipités à l'assaut d'escaliers remplis de fumée à nos soldats déployés aujourd'hui en Afghanistan", a encore dit M. Obama.
"Et rappelons-nous toujours contre qui nous nous battons et pourquoi nous nous battons. Nos ennemis ne respectent pas la liberté de religion. La cause d'Al-Qaïda n'est pas l'islam, c'est une déformation caricaturale de l'islam", a encore expliqué le président de confession chrétienne, né d'une mère américaine et d'un père kényan musulman.
"Ce ne sont pas des dirigeants religieux: ce sont des terroristes qui tuent des hommes, des femmes et des enfants innocents. Al-Qaïda a tué plus de musulmans que de gens pratiquant toute autre religion", a-t-il plaidé.
Le président s'exprimait lors d'un iftar, repas de rupture du jeûne observé par les musulmans en ce mois de ramadan, dans la salle de dîner d'apparat de la Maison Blanche. C'est la deuxième année de suite que M. Obama participe à cet événement, instauré sous son prédécesseur George W. Bush.
Parmi les invités figuraient un élu musulman au Congrès, des représentants d'organisations islamiques, des soldats de confession musulmane et une trentaine de membres du corps diplomatique.
"L'idée de l'archevêque paraît faite sur la solution «alternative» au projet controversé de Manhattan. Certes, aucun projet religieux ou culturel particulier ne saurait s'implanter ici ou là sans plus de considération pour les circonstances ou l'environnement. Mais, comme par hasard, plusieurs autres projets de mosquée sont bloqués dans diverses villes des États-Unis.
Si New York n'est plus capable de s'entendre avec des musulmans, quel sort attend les demandes de même nature présentées ailleurs dans la démocratie américaine? La région new-yorkaise compte quelque 600 000 musulmans. À eux et à leurs coreligionnaires du pays, s'il faut en croire les sondages, les Américains se révèlent, pour la plupart, défavorables sinon hostiles.
"
Les USA ont suffisamment à faire avec les constructions de mosquée dans leur propre pays...
Qu'ils fassent un peu de lumière sur les investissements qu'ils font en Afghanistan !
-(j' l'espère que Obama fait un grosse kaka dans sa froc!!)-