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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientLe cabinet approuve le retrait de GhajarLe cabinet de sécurité a approuvé mercredi un plan de retrait des forces israéliennes de la partie nord de Ghajar, un village arabe qui chevauche la frontière libanaise.
Aucune date n’a encore été fixée pour le retrait de la partie nord du village, qui a été sous domination israélienne depuis le retrait du Liban en 2000.
Selon la décision ministérielle prise mercredi, l’armée israélienne se retirera de la partie nord du village et la laissera sous autorité de l’ONU, réorganisant ses forces du côté sud de la frontière.
Le cabinet a ordonné au ministère des affaires étrangères d’achever les négociations avec la force de l’ONU au sud-Liban, la FINUL, le plus tôt possible « tout en maintenant la sécurité régionale d’Israël et la qualité de vie des habitants du village. »
L’accord final sera porté devant les ministres avant sa mise en œuvre. Une déclaration du gouvernement dit que « de cette manière Israël continue de montrer son attachement à la résolution 1701 du conseil de sécurité. »
Mais les habitants de Ghajar ont continué à exprimer leur opposition fervente à ce retrait, organisant une manifestation de quelque 400 personnes qui ont juré d’empêcher les forces de l’ONU d’entrer dans le village.
« L’entrée des forces de l’ONU dans la partie nord de Ghajar signifie effectivement diviser le village en deux, » a déclaré le porte parole du conseil, Najib Khatib.
« C’est pourquoi nous ne serons pas d’accord. Nous exigeons que le village reste entier et qu’il fasse partie d’un accord de paix avec la Syrie prévoyant la restitution des hauteurs du Golan. Ghajar fait partie de la Syrie, et nous n’avons rien à voir avec le Liban… Nous exigeons le maintient du statu quo. »
Khatib Hussein, un résident de la partir nord du village, explique : « comment vont-ils diviser un village de 2000 personnes ? Vont-ils construire une clôture au milieu ? Un point de contrôle ? Toutes les infrastructures sont réunies ici, il y a une école, et mes enfants y étudient, mais elle est dans le sud (du village) » a-t-il dit.
Il y avait des objecteurs aussi dans la partie sud, tel que Gamal Khatib. « J’ai vécu dans l’état d’Israël depuis 1967. J’étais un citoyen syrien, et je suis resté à cause de ma terre. Nous avons près de 12 000 dounam (un dounam = 1000 mètres carrés) et personne ne nous fera partir. Qui sont ces Nations Unies et l’Amérique ? Ils devraient nous laisser en paix, » a-t-il dit.
Ghajar, à l’origine un village syrien, est tombé dans les mains d’Israël en 1967, lorsque ses résidents ont décidé de prendre la nationalité israélienne en plus de la syrienne. Mais pendant l’occupation par Israël du sud-Liban, le village s’est étendu au-delà de la frontière, laissant la moitié de celui-ci au Liban après le retrait de Tsahal en 2000.
Ce statu quo a été maintenu jusqu’en 2006, lorsque la résolution 1701 de l’ONU a mis fin à la seconde guerre du Liban. Elle stipule qu’Israël doit retirer ses forces du Liban, y compris de la partie nord du village. Articles connexes
27 commentaires
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http://www.youtube.com/watch?v=nBXCYEXxKXA
S.LEVY
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S. LEVY
C'est pourtant très facile à comprendre ce que veulent les arabo/muzz et leurs dhimmis: l'élimination d'Israêl, et, par ricochet, de tous les juifs, et prendre leur place pour transformer tout ce qu'ils auront volé en gourbis géants, selon leurs habitudes..
AM ISRAEL HAY
Envoyé par Edmond_002 - le Lundi 8 Novembre 2010 à 07:34
Et alors, ils garderont les assassins chez eux désormais au lieu de servir de lien de passage.
Ensuite, ces villageois seront la proie d'interrogatoires répétés ( éventuellement accompagnés de coups, voire de tortures ) de la part des " services " libanais, mais aussi des services spéciaux du Hezbollah, des Padarans, des Moukhabarates syriens ... Ces messieurs ayant des tas de questions à poser à ces paysans qui seront systématiquement suspectés d'être ou d'avoir été des espions ou des agents d'Israël ... Vont pas se marrer ...