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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Le «cablegate» en 10 questions

1. Qu'est-ce que le «cablegate»?

«Cablegate» est le nom
donné par l'organisation Wikileaks à sa dernière opération de publication de
documents secrets. Après des documents militaires américains sur les guerres
d'Irak et d'Afghanistan, il s'agit cette fois de 251.287 câbles diplomatiques
du Département d'Etat et de plus de 250 ambassades et consulats américains à
travers le monde. Environ 90% des
télégrammes diplomatiques couvrent
une période
allant de 2004 à mars 2010 et
les
autres remontent jusqu'à 1966. 7% environ sont classifiés «secret»
et 40% «confidentiel», les autres étant non classifiés. 3.802 documents ont été envoyés depuis la France. Cinq
journaux partenaires de l'opération (Le Monde, The New York Times, The Guardian, El Pais et Der Spiegel) publient leurs
décryptages depuis dimanche 28 novembre au soir.

2. Qui est l'auteur des fuites et Wikileaks peut-elle être poursuivie'

Fidèle à ses habitudes, Wikileaks n'a pas révélé l'identité du ou des
individus qui lui ont fourni les documents. Mais les autorités américaines ont
un suspect: Bradley
Manning, un militaire américain âgé de 23 ans. Le jeune homme, qui a accès
à la base de données sécurisée utilisée par les militaires et les diplomates
américains, se vante au cours de discussions en ligne avec le hacker Adrian
Lamo d'avoir fait des copies de documents secrets. Ce dernier le dénonce au FBI
et à l'armée et envoie des extraits de ses
discussions au site Wired, par peur d'être accusé de complicité. Bradley
Manning est rapidement arrêté et incarcéré. En juillet, il est inculpé pour
avoir «communiqué, transmis et livré à une source non-autorisée des
informations sur la défense nationale». Il risque 52 ans de prison.

Interpol vient de rajouter Julian Assange à sa liste des personnes
recherchées, non pas pour son rôle de fondateur de Wikileaks mais pour une
affaire de viol en Suède. Le gouvernement fédéral américain enquête quant à lui actuellement pour savoir si Assange a
enfreint la loi américaine en publiant des documents diplomatiques. Le ministre
américain de la Justice, Eric Holder, a déclaré que son ministère et le Pentagone
mènent une «enquête criminelle active et
en cours» sur les activités de Wikileaks et sur quiconque a eu les
documents en sa possession à un moment donné. Mais mettre Assange derrière les
barreaux ne sera pas chose facile: les protections du premier amendement de la
constitution américaine garanties par la Cour suprême ont régulièrement empêché
la justice de faire condamner des individus sous l'Espionage Act de
1917. Les observateurs judiciaires estiment néanmoins qu'une tentative de
poursuite judiciaire américaine est probable, notamment à cause d'une lettre
envoyée par l'avocat général du Département d'Etat Harold Koh à Assange
quelques jours avant la fuite. Ce geste «a mis le gouvernement dans une
position de le poursuivre» a déclaré l'ancien avocat général de la CIA.

3. Qu'est-ce qu'un câble diplomatique'

Pendant longtemps, le mot «câble» se référait aux télégrammes codés en morse
envoyés par les diplomates entre eux. De nos jours,
le mot désigne les message envoyés par le système de communication diplomatique,
qui fonctionne aux Etats-Unis comme une sorte de système d'emails de groupe. A
la différence d'un email, le câble diplomatique est stocké dans une base de
données et peut être consulté par toutes les personnes qui ont accès à cette
base, en fonction du niveau de confidentialité.

4. Y a-t-il vraiment des révélations dans les
documents Wikileaks'

Wikileaks avait prévenu sur le site de
microblogging Twitter dès lundi 22 novembre: «La
prochaine publication fait sept fois la taille des War Logs de l'Irak. Pression
intense dessus depuis des mois» (finalement, il y a moins de câbles que de war logs), ou encore «Les prochains mois vont voir un nouveau monde,
où l'histoire mondiale sera redéfinie». Certains
se demandent ce que cette nouvelle fuite nous apprend vraiment, ou si la
publication de tous les documents était vraiment nécessaire. The Economist
parle de «potins»,
tandis que d'autres observateurs estiment que les documents sont simplement
des confirmations de ce que l'on savait déjà. La BBC fait un
résumé des différents points de vue sur le sujet, de ceux qui trouvent la
fuite simplement
embarrassante à ceux qui pensent qu'elle va changer la manière dont
fonctionne la diplomatie internationale.

5. Qu'apprend-on sur la
France et sur Nicolas Sarkozy'

Le Monde consacre un
long article aux câbles de l'ambassade américaine à Paris. Les documents laissent transpirer
l'admiration de l'ambassadeur pour le «président le plus
pro-américain depuis la Seconde Guerre mondiale», révèlent
que Nicolas Sarkozy a annoncé sa candidature pour l'élection présidentielle aux
américains seize mois avant son annonce officielle, que «Sarkozy a déclaré que la France et la
communauté internationale allaient devoir aider les Etats-Unis à résoudre la
situation en Irak. Peut-être en remplaçant l'armée américaine par une force
internationale» ou encore qu'il a «concentré à un degré sans
précédent tous les pouvoirs à l'Elysée». Une
anecdote sur le fait que ses conseillers n'osent le contredire: «Ils ont détourné l'avion du président pour
éviter qu'il voit la tour Eiffel éclairée aux couleurs de la Turquie à
l'occasion de la visite du Premier ministre Erdogan.» A
partir de 2007, certains commentaires sont moins flatteurs: le président
français est «susceptible et autoritaire»,
«très irritable», «frénétique», «impulsif».

Parmi les autres informations révélées, une note selon
laquelle le roi du Barheïn Hamad Ben Issa Al-Khalifa aurait qualifié
le Rafale de «technologie d'hier»
(information démentie par le ministère des Affaires étrangères bahreïni), ou un
entretien de 2006 entre l'ambassadeur américain et Dominique Strauss-Kahn où ce
dernier qualifie
l'engouement des Français pour Ségolène Royal d'«hallucination collective».

6. Quels sont les potins révélés par les
documents'

Là où les warlogs de Wikileaks sur la guerre en Afghanistan
racontaient la vie quotidienne des soldats qui y sont déployés, le «cablegate»
ou les «statelogs» représentent «la
plus grosse fuite mondiale de potins géopolitiques: des
diplomates ricanant des histoires sexxxy, des finances douteuses et des
habitudes bizarres des dirigeants étrangers» comme l'écrit Gawker.
On y apprend que Khadafi n'aime pas trop l'avion, surtout quand il passe
au-dessus d'eau, ni être logé plus haut qu'au premier étage lors de ses
déplacements. Il se fait injecter du botox et, très hypocondriaque, a
constamment besoin d'être accompagné par son infirmière ukrainienne, décrite
comme une «blonde voluptueuse». Le prince Andrew d'York,
le frère du prince Charles, a fait des remarques «inappropriées» à propos d'une «agence britannique du maintien de l'ordre et
d'un pays étranger».

Le penchant de Silvio Berlusconi pour de fréquentes fêtes
jusqu'au bout de la nuit fait «qu'il ne se repose pas assez». La première dame
russe «génère des tensions entre les camps et reste le
sujet de rumeurs passionnées». Svetlana Medvedeva tient aussi une liste de responsables
politiques dont la carrière mériterait de «souffrir» parce qu'ils n'ont pas fait
preuve de loyauté auprès de son mari... La femme du leader d'Azerbaïdjan a subi
tellement d'opérations de chirurgie esthétique qu'il est possible de loin de la confondre avec une de ses filles,
la seule différence étant qu'elle n'a presque plus d'expressions du visage.

7. Les Etats-Unis ont-ils demandé à leurs
diplomates d'espionner leurs homologues'

Une des principales révélations est la consigne
donnée par le gouvernement américain à ses employés et aux ambassadeurs de
récolter des informations sur leurs homologues. Une dépêche secrète d'avril 2009, signée par Clinton, demande
aux officiels du Département d'État de collecter les «données biométriques», y compris les «empreintes, photos d'identité, l'ADN et les scans rétiniens» de
dirigeants africains. Une autre dépêche secrète ordonne aux diplomates américains postés
aux quatre coins de la planète, y compris aux Nations unies, d'obtenir les mots
de passe, les clés de chiffrement personnelles, les numéros de carte de crédit,
ceux de leurs comptes de voyageurs fréquents, ainsi que d'autres données liées
à des diplomates. C'est ce point qui pose le plus problème, selon Jack Shafer, de Slate.com, «il est impossible que les nouvelles
révélations de WikiLeaks ne poussent pas Hillary Clinton à devenir le corps du
délit. Qu'importe si elle quitte ses fonctions la semaine prochaine, ou le mois
prochain, mais la Secrétaire d'État, humiliée et affaiblie, devra payer».

8. Qu'apprend-on sur la Corée du Nord et sur l'Iran'

Les câbles américains
montrent comment Israël a tout fait pour pousser les Etats-Unis à sanctionner l'Iran,
allant jusqu'à envisager
de bombarder son ennemi, et comment le secrétaire d'Etat américain à
la Défense Robert Gates s'oppose
à toute frappe israélienne qui n'aurait pour conséquence selon lui que de
retarder le programme iranien de quelques mois. Israël a par ailleurs reçu une
injonction de cesser «toute allégation selon
laquelle le gouvernement américain aidait Israël à se préparer à une attaque
contre l'Iran». Selon un
des documents, le roi saoudien Abdallah «exhorte fréquemment les
Etats-Unis à attaquer l'Iran pour mettre fin à son programme nucléaire». Mahmoud Ahmadinejad a
estimé que les documents sont «sans valeur» et «ont été préparés
et diffusés par le gouvernement américain selon un plan et dans un objectif
précis. Ils font partie d'une campagne de guerre d'information, mais
n'auront pas l'impact politique désiré».

Un des documents montre que le vice-ministre des Affaires
étrangères chinois a confié à des responsables américains que la Corée du Nord s'était comportée comme un «enfant gâté» pour attirer
l'attention des Etats-Unis en avril 2009 après des envois de missiles. Selon
une autre note de l'ambassadeur américain en Corée du Nord, le vice-ministre
des Affaires étrangères de Séoul affirme que deux membres importants du Parti
communiste chinois lui ont confié qu'ils soutiennent
une réunification de la Corée sous le contrôle du Sud, rapporte le
Guardian. Le même diplomate a confié à l'ambassadeur américain que la jeune
génération du Parti communiste chinois ne considère plus la Corée du Nord comme
un allié fiable et ne risquerait pas un conflit armé sur la péninsule. Ces
révélations interviennent alors que la tension entre les deux Corées a atteint
de nouveaux sommets après le tir de missile du Nord qui a fait quatre morts au
Sud.

9. La fuite va-t-elle rendre les gouvernements
plus ouverts'

Un des slogans de Wikileaks est d'«ouvrir les gouvernements»
[opening governments] en publiant des
documents secrets pour plus de transparence. Mais certains critiques estiment
que le «cablegate» pourrait avoir l'effet inverse. Anne
Applebaum écrit ainsi sur Slate:

«Il ne faut pas
s'attendre à ce qu'un meilleur gouvernement surgisse de ces indiscrétions,
attendez-vous par contre à plus de secrets. Est-ce que l'ambassadeur américain
dans un pays X donnera encore à Washington son évaluation franche du Président
de X s'il sait que ses opinions pourraient apparaître dans le journal du
lendemain' Ce n'est pas très probable. Est-ce qu'un dirigeant étranger dira à
un diplomate américain ce qu'il pense réellement du Président iranien Mahmoud
Ahmadinejad s'il sait que ses dires pourraient ressortir sur WikiLeaks' J'en
doute. Les correspondances diplomatiques passeront peut-être maintenant par la
lente voie postale: les communications orales remplaceront les écrites, et les
discussions officieuses se feront peut-être  désormais à l'extérieur, dans
la rue et les klaxons, au cas où quelqu'un tendrait l'oreille.» 

En France, François Baroin a
annoncé que la publication de ces câbles amènera les autorités françaises à
redéfinir les modalités de transmission de documents de nature diplomatique au
sein du dispositif de la chancellerie française. Les autorités américaines
lancé une révision des procédures
de sécurité de l'information dans toutes les agences fédérales et les
administrations.

10. Quelle sera la
prochaine fuite de Wikileaks'

Julian Assange, le fondateur de l'organisation, lève
le voile sur la réponse dans une interview-fleuve au magazine économique Forbes: cela
pourrait être une grande banque. Dans cet entretien réalisé deux semaines avant
le Cablegate, Julian Assange affirme que 50% des documents
dont il dispose ont trait au secteur privé et estime que leur publication
pourrait «tirer vers le fond une banque ou deux».
Et on devrait vite savoir lesquelles, puisqu'Assange affirme avoir une «mégafuite» en vue de dizaines de
milliers de documents «en rapport avec une banque»
américaine, qui
pourrait être Bank of America.

Grégoire Fleurot

Pour mieux vous retrouver dans cette masse de documents qui jettent une
lumière crue sur la diplomatie mondiale, Slate.fr, en partenariat avec Owni.fr et LeSoir.be, vous propose de suivre les développements du dossier grâce au live-blogging assuré par Owni ainsi que grâce à une application développée pour l'occasion.

86 commentaires
Si Ahmadinejad déclame que wikileaks ne mérite pas de commentaire, pourquoi s'en inquiète-t-il ?
Envoyé par Florence_011 - le Mardi 30 Novembre 2010 à 23:17
Johan003!
les Anglais aidez les Juif's et sauver??
no mais cet un blague??
apres guerre ils sont nous enferme dans un Camp a Cypre,-enpèchent nous a debarquer a Israel !!
Envoyé par Bar-oni - le Mardi 30 Novembre 2010 à 23:47
Le tout dernier Connerie de Wikileaks!!
le point vu selon Obama.................!! BIB n'a jamais ète d'accord ce la!!
Envoyé par Bar-oni - le Mercredi 1 Décembre 2010 à 04:59
La seule chose que j'aurais a dire apres avoir lu ce que dit Netayahou concernant les troupes stationnés au Sud Liban en 2006 , en 80/83 nous avons eu le méme probleme pour ne pas passer pour des " barbares " nous avons fait notre travaille en comité restrein et nous en avons pris plein la gueulle , quand nous evacuions les chretiens Libanais , à peine les casques bleu , nous aidaient , alors que nous aurions pu , avec une bonne preparation en creant un pont humanitaire en UNE SEMAINE nous aurions sortie tous les chretiens et la seulement , nous aurions été face aux hezbollahs et nous les aurions regler cette situation qui dure depuis trop longtemps , mais avec cet antisemitisme qui perdure , tous ces pays qui copines avec ces hesbollahs de merde ! nousn' arrivons pas a avancer , et croyez moi tous qui allaient me lire , nous approchons a petit pas d'un nouveau conflit et malheureusement pour moi , je serais trop vieux avec mes 61 ans , shalom à tous
JONATHAN
Envoyé par Jonathan-helios - le Mercredi 1 Décembre 2010 à 06:20
Le problème des chrétiens libanais, est leur division et leur instabilité.
Le courant "aouniste" a de nombreux supporters, et on ne peut pas dire que d'un côté, il y a les musulmans anti israéliens et les chrétiens pro israéliens.
Globalement, tous les libanais sont anti israéliens et encore plus anti palestiniens. Ils sont contre Israël; car s'ils faisaient la paix ils seraient obligés de garder les palestiniens chez eux, or ils rêvent de les expulser/
Beaucoup de Libanais aspirent à la paix, et souhaitent vivre dans un pays laïque sans ingérence étrangère ni iranienne, ni syrienne, ni israélienne.
Pour cela, de nombreux sunnites, druzes, et probablement chiites sont très hostiles au Hezbolah pays inféodé à l'étranger.
Les libanais clairvoyants constatent que leur pays est féodal, et que les chefs de clans s'enrichissent; se trahissent, et se moquent de l'intérêt national.
En résumé, le Liban est un pays de mouvant, peu fiable, peuplé de levantins subtils, où toutes les alliances et retournenements d'alliances sont possibles, Israël doit s'en méfier et éviter de s'y impliquer.
Envoyé par Michel_003 - le Mercredi 1 Décembre 2010 à 07:53
si Israël est tellement sûre de sa suprématie militaire militaire, pourquoi attacher tant d'importance au propos du président iranien, faîte comme si de rien n'était , et laissez le fabriquer sa bombe, et a la première provocation de sa part , vous riposterez sans faire trop de bla bla.
Envoyé par Elabied - le Mercredi 1 Décembre 2010 à 08:58
Pour ma part, je serais plutôt d'accord ( une fois n'est pas coutume ! Clin d'oeil ) avec l'analyse faite ci-dessus par Michel_003. Quant à ce qui est de l'implication d'Israël, on pourrait dire que " it all depends ... " : car le problème est que le Hezbollah ( c'est-à-dire, derrière lui, l'Iran ) ne s'est pas emparé du Liban pour des prunes, mais bien pour en faire une plate-forme militaire contre Israël. Jusqu'à présent, cette plate-forme est restée, en gros, inactive : on l'a vu en particulier en janvier 2009, lorsque Nasrallah s'est bien gardé de répondre aux demandes d'intervention que lui lançait le 'Hamas. Mais c'est parce qu'il était dans l'intérêt de Téhéran de ne pas risquer de voir détruire par Tsahal ce véritable bastion avancé de l'Iran. Mais rien ne garantit que les énormes investissements réalisés par les Iraniens au Sud-Liban - en matière d'infrastructures au sol et en sous-sol, d'équipements et d'armements ( plus de 50 000 missiles, dont beaucoup à longue portée, capables d'atteindre toutes les régions d'Israël ), d'encadrement ( pratiquement, les forces du Hezbollah sont sous le commandement d'officiers supérieurs pasdarans ) - ne seront pas quelque jour " rentabilisés " par une attaque massive contre Israël.; Il y a là, suspendue au-dessus d'Israël, une épée de Damoclès qu'il sera peut-être nécessaire de briser avant qu'elle ne soit tombée sur le pays d'Israël. La seule chose que l'on doive souhaiter est que, si une telle opération " préemptive " devait être
Envoyé par Edmond_002 - le Mercredi 1 Décembre 2010 à 09:31
(suite)

déclenchée, elle soit menée avec la rapidité de l'éclair et avec une violence telle que tout le Sud-Liban ( et peut-être un peu au-delà ) soit transformé en no man's land et affecté de destructions telles qu'elles rendent impossible, et même inimaginable, toute reconstruction. Tsahal a pleinement les moyens nécessaires et bien au-delà de ce qui serait nécessaire : la volonté politique serait donc le seul facteur décisif.
Envoyé par Edmond_002 - le Mercredi 1 Décembre 2010 à 09:37
Bar Oni je te demande de relire mon commentaire, tu constatera que tes affirmations de blagues ne sont pas de muse en dépit des considération non réfléchies de Elie. Tu me parait bien plus intelligent que lui.
Envoyé par Johan_003 - le Mercredi 1 Décembre 2010 à 10:26
Je viens de lire le commentaire de Michel et d'Edmond , je suis d'accord avec vous deux à 100% , mais que faire ! cela me fait peur pour nos familles , j'ai trop de souvenir douloureux , et cela continue à bouger et que fait le gouvernement , le facteur decisif comme le dit Edmond est crucial , nous allons nous reveillé un matin avec une surprise de taille et là !!!!!!!!!
jonathan de marseille
Envoyé par Jonathan-helios - le Mercredi 1 Décembre 2010 à 10:36
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