Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Ce patrick est affiché en décalé, si vous ne le repreniez pas à chaque fois je ne le remarquerai meme pas.

Il ne dit rien d´interessant, que des ca c´est pas beau, pas bien...

Tu voulais dire Aba Hanuka peut etre ?
Envoyé par Israel, Eden_001


exact

http://www.terredisrael.com/wordpress/?p=28022

Cadeau pour mon ami Men:

A VOIR : Incendie Mont Carmel - Arutz 2 - MIRACLE !!!

http://www.youtube.com/watch?v=4TUrnFZsUEc&feature=player_embedded#!

La plupart des religions se fonde d’abord et essentiellement sur le recours au miracle pour fonder la divinité ou la qualité d’envoyé de cette divinité.

Pour les deux religions monothéistes issues du Judaïsme, les miracles indiquent le lien privilégié avec la divinité. Le prophète Mahomet pratiquera les miracles et, c’est la résurrection, miracle du plus haut niveau, qui fonde le caractère surnaturel de l’identité de Jésus.

Comme si, la preuve de la qualité d’envoyé de D. ieu, ne pouvait être établie que par des « faits » qui bouleverseraient les lois de la nature, en relevant de l’ingérence brutale du surnaturel dans le déroulement de l’ordre des choses.

Selon la théologie catholique, ce n’est pas « tu aimeras ton prochain » qui fonde la divinité de Jésus mais le « fait » qu’il ait vaincu la mort et, par conséquent, a échappé aux fatalités de la condition humaine.

Aujourd’hui encore, la procédure de béatification n’est suivie par la canonisation que si, le bienheureux est l’auteur d’un miracle dûment constaté et établi.

Il semblerait que cette problématique fondant la légitimité divine sur un miracle soit étrangère à la tradition juive. Selon la Loi, il est interdit d’attendre le miracle, et, quand bien même, il aurait été utilisé, il ne prouverait pas grand chose.

A suivre...

suite..
Concernant le Messie, certains maîtres non dépourvus d’humour vont jusqu’à dire que la mission première du Messie sera d’établir la paix sur la terre et, quand bien même, celui qui y prétendra, pourra ressusciter des morts, ces maîtres disent qu’il est plus facile de réveiller des morts que d’imposer la paix chez les vivants !

Le Talmud contient plusieurs exemples où quelques rabbins ont la tentation d’appuyer leur discours par le recours au miracle. Il leur est toujours rappelé que le miracle n’attesterait pas de la justesse de leur point de vue.

Certes, le peuple Juif a été contemporain et bénéficiaires d’évènements surnaturels, lors de la sortie d’Egypte notamment, mais son élection ne se fonde pas sur l’adhésion à leur véracité.

N’oublions pas que, si les miracles furent nécessaires à la génération du désert, et que celle-ci a pu dire : « Naassé vénichma » (Nous ferons et comprendrons ensuite) ce témoignage de reconnaissance ne pouvait concerner que la génération témoin de ces prodiges.

Quand la Loi fut répétée pour les générations suivantes, celles-ci furent informées du miracle mais ne purent s’en prévaloir pour tenter de faire comme si elles avaient assisté à ces évènements prodigieux. Ces générations admirent qu’elles devaient comprendre avant de faire.

Quand l’homme redevient enfant sous les coups de butoir d’un destin qu’il ne tente plus de contrôler, la tentation du miracle et de la conscience magique reviennent en force parce qu’elles anesthésient la réflexion et repoussent les exigences de la raison.

Et l’on retrouve les paramètres incontournables du système fondé sur l’exclusion de l’intelligence. Les rabbins cessent d’être des Maîtres et deviennent des gourous. Ils n’enseignent plus, ils dispensent des crédos.

« Tu dois », « il faut », « fais !» Les injonctions ont pris la place du doute salvateur. Aux grandes questions qui grandissent, se substituent des recettes magiques et l’homme redevenu instrument du destin se prépare à devenir complice des extrêmes, lesquelles sont la tragique illustration du sacrifice de l’intelligence et de la raison.

L’homme va enfouir, une bonne fois pour toutes, la part la plus noble de son identité afin d’accueillir le surnaturel et ses dangers, comme le signe tangible de ses multiples renoncements, parmi lesquels, la spécificité juive n’est pas le moindre.

Pour lire l´article en entier:
http://www.terredisrael.com/wordpress/?p=18764

@ Elie_010

Faire des "cours de talmud" c'est bien, faire shabbat c'est beaucoup mieux!!!

Dardour

Il y a deux facons de pratiquer le judaisme (Naassé Vénichma)

1)-"fais et tu comprendras"

2)-"Comprends et tu feras"

J´ai opté pour la 2)

hachem aurait dù faire pleuvoir dès le début de l'incendie ....c'est quand meme dommage qu'il n'agisse pas dans ses propres cieux !!!!!!!!!