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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientHamas : « nous ne négocierons pas avec Israël »Les factions palestiniennes se sont réconciliées dans l’espoir d’établir un état indépendant, ont-elles déclarées dans une conférence de presse mercredi. Le membre du comité central du Fatah et négociateur en chef Azzam al-Ahmed a déclaré : « cet accord est le début, et nous allons prendre des mesures rapides pour mettre fin à l’occupation et établir un état palestinien indépendant. »
Al-Ahmed a déclaré que le peuple palestinien attend cet accord depuis de nombreuses années, ajoutant que les « prières des jeunes palestiniens ont été exaucées ».
Il a accusé Israël d’utiliser la division pour « se dérober à ses responsabilités internationales » et a ajouté que les Etats-Unis ont également abandonné leurs responsabilités pour mettre fin à « la plus longue occupation de l’histoire ».
« Nous, les palestiniens, avons appris une dure leçon au cours des trois dernières années dans notre lutte contre l’occupation. L’occupation exploite la division pour judaïser Jérusalem, compléter la clôture et saisir des terres en Judée Samarie, » a dit al-Ahmed. « Nous avons ressenti un besoin de mettre fin à la division pour mettre fin à l’occupation. »
Le responsable du Fatah a déclaré qu’Israël avait mis en garde le président palestinien Mahmoud Abbas sur les conséquences d’un tel accord. « Quand Abou Mazen (Abbas) a présenté son initiative, Netanyahou l’a mis en garde, mais Abou Mazen lui a répondu de Moscou, le Hamas vient en premier. Le Hamas fait partie de la vie palestinienne, il est l’avant-garde de la lutte, notre unité est notre meilleure arme contre l’occupation. » Le Fatah reconnaît donc ouvertement l’utilité des attentats commis par le groupe terroriste chiite.
L’adjoint au chef du bureau politique du Hamas, Moussa Abou Marzouk, a annoncé au cours de la conférence de presse de la venue d’un « nouvel age » et a déclaré que toutes les factions palestiniennes se réuniront ce week-end pour signer l’accord.
« Ce n’est pas la fin du dialogue, » a-t-il dit. « Après que toutes les factions palestiniennes auront signé les arrangements avec le Fatah et le Hamas, nous formerons un nouveau gouvernement et entameront une nouvelle ère dans la lutte palestinienne, afin d’obtenir nos droits et préserver les droits nationaux du peuple palestinien. »
Mahmoud al-Zahar, un haut responsable du Hamas qui a participé aux discussions, a dit que la paix avec Israël n’est pas sur la table. « Notre programme ne comprend pas de négociations ou la reconnaissance d’Israël, » a déclaré Zahar au Caire. « Il ne sera pas possible pour le gouvernement national intérimaire de participer, de parier sur, ou de travailler sur le processus de paix avec Israël. »
Le premier ministre palestinien Salam Fayyad a saluée l’accord dans un message posté sur sa page Facebook. Fayyad a déclaré que l’accord est une étape essentielle vers l’unité et conduirait à la création d’un état palestinien indépendant sur les frontières de 1967 avec Jérusalem comme capitale.
Le ministre turc des affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, a félicité Abbas pour cet accord, et l’impossibilité d’une paix avec Israël qu’il sous-entend.
Le premier ministre du Hamas, Ismail Haniyeh, a reçu des messages similaires de la part des Frères Musulmans égyptiens. Khalil Assaf, figure indépendante de la politique palestinienne en Judée Samarie, a déclaré que l’accord était « la chose la plus importante arrivée aux palestiniens en 2011. »
Plus tôt mercredi, le responsable du Hamas Mahmoud al-Zahar a révélé des détails supplémentaires sur le pacte historique, y compris la libération des prisonniers politiques et la création d’un comité de sécurité commun.
Suite à l’annonce de cet accord d’union, les résidents palestiniens à travers la Judée Samarie et la bande de Gaza sont sortis dans les rues pour célébrer la réconciliation spectaculaire entre les ennemis de longue date.
« C’est un pas positif pour notre unité nationale, » a déclaré Yousouf Lafy, résident de Gaza, ajoutant : « il nous rapproche un peu plus de la libération de nos territoires occupés, car il permettra de recueillir la légitimité internationale. »
Les Etats-Unis ont pour leur part réagi froidement, mercredi, à l’annonce de la réconciliation, appelant le Hamas un « groupe terroriste » et disant que tout gouvernement palestinien doit renoncer à la violence.
« Les Etats-Unis soutiennent la réconciliation palestinienne à la condition qu’elle favorise la cause de la paix. Le Hamas, cependant, est une organisation terroriste qui vise des civils, » a déclaré Tommy Vietor, porte-parole de la Maison Blanche, dans un communiqué.
« Pour jouer un rôle constructif dans la réalisation de la paix, tout gouvernement palestinien doit accepter les principes du Quartet et renoncer à la violence, respecter les accords passés et reconnaître le droit d’Israël à exister, » a-t-il dit.
Les porte-parole de la Maison Blanche et du département d’état ont déclaré qu’ils étaient à la recherche de plus amples renseignements au sujet de l’accord entre les deux groupes. Articles connexes
154 commentaires
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Est ce Dieu fait payer l'enfant pour le peché de son pere?
Envoyé par Adel - le Dimanche 1 Mai 2011 à 16:46
non adel, Hm ne fait pas payer les enfants pour les crimes de leurs parents, mais les arabes font payer les enfants juifs pour les crimes que leurs parents n'on pas commis.... Retiens ces noms Adas 3 mois Edad 3ans et Yohav 11 ans, assassiné dans leur sommeil par des betes sauvages...
Alors maintenant tu preche contre ta religion ? tu n'approuve plus ni l'islam ni tes freres qui tuent tout ce qui est juif juste parce qu'ils sont juifs ? tu ne les approuve plus ou tu as peur ne nous suivions votre exemple ?'
Mais n'ai pas peur les enfants nous les epargnons, nous faisons grace aux innocents mais si un jour ils doivent se mettre en travers de notre chemin ou si ils devaient nous menacer ou menacer nos enfant ou nos petits enfants, alors il n'y aura pas de pitié garde à l'esprit que nous somme depuis 1945 le peuple du "plus jamais ça"
adel je ne sais pas quel age tu as, mais si tu as des enfants, et si tu les aime assez pour que leur vie ne devienne pas un enfer, alors ne leur inculque pas la haine de notre peuple. C'est un avertissement gratuit et un conseil precieux
Israel Eden
L’ONU et l’Etat palestinien par Dore GOLD
01/05/2011
Dore Gold
L’Assemblée générale de l’ONU n’a aucun pouvoir à reconnaître de nouveaux Etats. Elle ne peut que recommander à d’autres Etats de le faire, et elle l’a déjà fait par le passé.
Le débat public mené actuellement en Israël sur l’initiative palestinienne d'obtenir la reconnaissance de l’ONU à un Etat est fondé sur une conception fondamentalement erronée. Le débat se base sur une hypothèse selon laquelle l’Assemblée générale de l’ONU a autorité de proclamer la création de nouveaux Etats.
La source de l'erreur est due probablement dans la fameuse résolution 181 de l’Assemblée générale de l’ONU connue également comme « plan de partage. » On se souvient parfaitement des images du vote historique du 29 novembre 1947. Nous étions tous scotchés à nos postes de radios pour écouter les résultats du vote crucial à l’ONU.
Cependant, la résolution 181 n’a pas fondé l’Etat juif et juridiquement elle n’était qu’une recommandation. Celle-ci a permis à assermenter un règlement moral significatif pour la fondation d'un foyer juif en terre d’Israël. La base juridique pour la création de l’Etat d’Israël n'a été que la déclaration de l’Indépendance par David Ben Gourion le 14 mai 1948.
En fait, l’Assemblée générale de l’ONU n’a pas autorité à reconnaître des nouveaux Etats. L’Assemblée peut accepter de nouveaux membres dans ses rangs mais seulement qu'après que le Conseil de sécurité présente la candidature. Cependant, rappelons qu'un des cinq membres permanents pourrait imposer son veto sur cette candidature.
Plus de 75 pays reconnaissent aujourd'hui le Kosovo mais celui-ci n’est pas membre de l’ONU car la Russie a imposé son veto au Conseil de sécurité. En termes clairs, cela signifie que l’Assemblée générale n’a pas la possibilité de proclamer la création d'un Etat palestinien ou de le reconnaître. Elle peut uniquement recommander à d’autres Etats de le faire.
Il est à noter que le 15 décembre 1988 l’Assemblée générale a adopté la résolution 43/177 qui a reconnu « la proclamation d’un Etat palestinien » par Yasser Arafat au Conseil national palestinien réuni le 15 novembre 1988 à Alger.
Cette résolution a bénéficié du soutien de 104 pays et a également paraphé « la nécessité de permettre au peuple palestinien de réaliser sa souveraineté sur un territoire occupé depuis 1967." Seuls Israël et les Etats-Unis se sont opposés et ont voté contre, 36 pays se sont abstenus.
Depuis, d’autres résolutions ont été adoptées par l'Assemblée générale de l’ONU, dont celle du mois de décembre 2008, rappelant le droit des Palestiniens à un Etat palestinien. Aucune de ces résolutions n’a réussi à créer une nouvelle réalité sur le plan juridique ou sur le terrain.
Alors, pourquoi donc les Palestiniens s'acharnent-ils tant? Il existe deux principales raisons pour lesquelles l’Autorité palestinienne a choisi cette stratégie.
Premièrement, Abbas est convaincu qu’en devenant membre de l’ONU et en obtenant un Etat sans ne rien donner en contrepartie cela lui épargnera une proclamation formelle à Ramallah. Abbas est conscient des conséquences qui suivraient à la proclamation palestinienne. Ainsi dans une interview au magazine Newsweek du 24 avril 2011, il affirme qu’il n’est pas intéressé de le faire.
En 1998, le Premier ministre Netanyahou s’est déjà trouvé dans une situation face à l'initiative de Yasser Arafat de proclamer la création d’un Etat palestinien juste après l’expiration de l’accord intérimaire de 1999. Le 11 novembre 1998, le gouvernement israélien a clarifié qu’une telle démarche serait « une violation substantielle et fondamentale de l’accord intérimaire » et que si cette violation se produisait, Israël pourrait réagir par tous les moyens, y compris l’application de la loi israélienne sur les blocs d’implantations et les zones de sécurité en Judée et Samarie. Ainsi, Israël et les Etats-Unis avaient réussi à dissuader Arafat de proclamer la création de son Etat.
Les dirigeants palestiniens déclarent ne pas être intéressés par une nouvelle proclamation et ils précisent qu’ils se basent sur la déclaration d’Arafat faite à Alger en 1988. Dans ce contexte, Abbas serait en mesure de nier toute responsabilité dans les démarches prises par l’ONU et en même temps il pourra jouir du soutien de 130 Etats.
L’importance de la décision de l’Assemblée générale des Nations Unies dépend des futures activités palestiniennes. Les dirigeants palestiniens savent parfaitement que leur initiative à l’ONU ne changerait en rien la réalité sur le terrain et donc ils seront exposés à la critique du Hamas et ainsi perdraient leur pouvoir politique.
Les conseillers de Mahmoud Abbas lisent probablement la presse israélienne et les divers scénarios du « jour du jugement". Selon ces prédications les implantations israéliennes et les bases militaires de Tsahal passeraient du statut d'"occupants" au statut d' "envahisseurs" d'un Etat étranger, et ils estiment que ce changement serait possible.
Il serait irresponsable de négliger des sanctions éventuelles contre Israël, mais il faudrait savoir que pour imposer des sanctions il est nécessaire d'obtenir une résolution du Conseil de sécurité. L’administration Obama critique et s'oppose aux implantations israéliennes, mais elle est loin de sanctionner Israël comme l'ont fait les Etats-Unis en 1990 au moment où l’Irak de Saddam Hussein a envahi le Koweït.
En outre, suite à l’initiative palestinienne engagée à l’ONU contre la position de Washington, Mahmoud Abbas ne pourra pas revendiquer le soutien des Etats-Unis pour sa démarche au Conseil de sécurité.
Israël ne devrait pas sous estimer l’initiative palestinienne mais il possède des moyens pour agir fermement, comme il l’a déjà fait en 1998.
Pour dissuader les Palestiniens, Israël pourrait soutenir les initiatives du Congrès américain d’arrêter toute aide économique aux nouvelles institutions palestiniennes, dont les salaires aux fonctionnaires servant de base au pouvoir politique de Salam Fayyad.
Israël devrait exprimer clairement et sans ambages que le processus entamé à l’Assemblée générale est une violation fondamentale des accords d’Oslo. Ces accords ont clarifié que la question des frontières serait déterminée uniquement dans le cadre de négociations et non par des dictats internationaux.
Enfin, Abbas et ses conseillers espèrent aussi affaiblir l’opinion publique israélienne afin qu'un retrait total vers les lignes d'avant 1967 serait inévitable.
Israël ne manque pas de moyens devant ce nouveau ballet diplomatique mais seule une riposte israélienne ferme et une conviction intérieure dissuaderait les dirigeants palestiniens de poursuivre leur démarche unilatérale.
http://www.aschkel.info/article-l-onu-et-l-etat-palestinien-par-dore-gold-72938713.html
En général Dore Gold ne se plante pas ! Plutôt une bonne nouvelle !!!
oui moi je trouve egalement que c'est un bonne nouvelle, mais as tu remarqué qu'il y a beaucoup comme ça en ce momment, Goldstone qui revient sur son rapport, la vis presidente d'une ONG qui declare qu'il n'y a aucune crise humanitaire à gaza, des pays comme la Norvege, l'Allemagne la Hollande la Colombie etc qui refusent la reconnaissance d'un etat palestinien, ça ressemble a un debut de delivrance ne trouves tu pas ?????
Mais ce que je trouve le mieux et toi tu comprend pourquoi, c'est la reconciliation des deux hmar palestiniens
http://www.ravdynovisz.tv/video.php?video_id=4698
Libye : Moscou condamne l’usage "disproportionné" de la force par l’Otan
La Russie a dénoncé l'usage "disproportionné" de la force en Libye par les forces de la coalition, doutant que les frappes de l'Otan n'aient pas pour cible le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères. « L'usage disproportionné de la force va au-delà de la résolution 1973 du Conseil de sécurité de l'Onu qui ne prévoit en aucune manière le changement du pouvoir en Libye et entraîne des conséquences néfastes et la mort d'innocents », affirme-t-il dans un communiqué.
A 20h dans tout le Pays d'Israël il y a eu une sirène stridente . Tous les habitants, où qu'ils se trouvaient se sont immobilisés durant 3 mn. Tous les restaurants, cafés, cinémas sont fermés. Puis a eu lieu la cérémonie à Yad Vashem avec la lecture des noms.
Commémoration des 6 MILLIONS DE JUIFS ASSASSINES PAR LES NAZIS ET AUSSI DE CEUX QUI ONT RESISTE AVEC COURAGE COMME LES COMBATANTS DU GHETTO DE VARSOVIE - 19 avril 1943
Allumez tous une bougie.
''ZAHOR LO TICHKAH'' (souviens-toi, n'oublie pas)