|
Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientAbbas : pas d'Etat palestinien sans Jérusalem comme capitaleAlors que les Palestiniens commémorent actuellement la Nakba, le président Mahmoud Abbas a affirmé ce samedi que la population palestinienne n'accepterait pas d'Etat palestinien sans Jérusalem comme capitale.
“Notre message au monde c'est que nous voulons un Etat palestinien dans les frontières de 1967 et une solution juste sur la base de l'initiative de paix arabe de 2002", a-t-il soutenu. Articles connexes
17 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 2 heures - Le Figaro
Il y a 2 heures - Juif.org
Il y a 2 heures - Times of Israel
4 Mai 2025 - Le Figaro
4 Avril 2025 - Slate .fr
29 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Guillemette
21 Avril 2025 par Claude_107
18 Avril 2025 par Claude_107
4 Mai 2025 - Le Monde Libre
4 Mai 2025 - Identité Juive .com
1 Mai 2025 - Torah-Box
1 Mai 2025 - Torah-Box
16 Avril 2025 - Identité Juive .com
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 11 minutes
Et en quel honneur Jérusalem ? Pourquoi pas Paris, Londres, Berlin, Bruxelles ou Washington ?
Jérusalem n'a jamais.. jamais... jamais... été la capitale d'aucun autre état qu'un état Juif... Et personne ne peut le contester....
11 octobre 2000 – USA – Sacramento : "La vérité est que la "Palestine" est un Mythe". (par Joseph Farah, journaliste Arabe Américain, sur www.worldnetdaily.com).
Les musulmans s'appuient sur le Coran pour revendiquer Jérusalem, pourtant Jérusalem n'y est pas mentionnée une seule fois. La 17ème sourate contient une allusion floue à une "Mosquée la plus éloignée". "Loué soit celui qui a conduit pendant la nuit son serviteur de la mosquée inviolable à la mosquée la plus éloignée".
Mais existe-t-il une base solide qui prouverait qu'il est ici parlé de la mosquée al-Aqsa de Jérusalem ? La réponse est : Non !
Au temps de Mahomet, qui mourut en 632 après Jésus Christ, Jérusalem était une ville chrétienne du royaume byzantin. Elle ne fut conquise que six ans plus tard par le calife Omar.
Durant cette période, il n'y avait que des églises dans la ville et sur le Mont du Temple se trouvait l'église byzantine de Sainte Marie. Vers l'an 711, soit 80 ans après la mort de Mahomet, l'église fut transformée en mosquée et appelée al-Aqsa afin de donner corps à l'incompréhensible sourate 17 du Coran. Mahomet ne pouvait donc pas penser à cette mosquée quand il écrivit le Coran, puisqu'elle n'exista que trois générations après sa mort.
D'ailleurs Mahomet n'éprouvait pas de sympathie particulière pour Jérusalem. Il permit à ses fidèles de prier tournés vers Jérusalem pendant quelques mois, pensant ainsi convaincre les Juifs de se tourner vers l'islam. La tentative ayant échoué, il prononça le 12 février 624, l'interdiction de prier en direction de Jérusalem.
Cette ville ne fut jamais pour les musulmans un lieu saint.
Voilà qui éclairera la lanterne de ceux qui étaient intoxiqués et aveuglés par les propagandes arabo-musulmanes et occidentales....
Et en quel honneur Jérusalem ? Pourquoi pas Paris, Londres, Berlin, Bruxelles ou Washington ?
Jérusalem n'a jamais.. jamais... jamais... été la capitale d'aucun autre état qu'un état Juif... Et personne ne peut le contester....
11 octobre 2000 – USA – Sacramento : "La vérité est que la "Palestine" est un Mythe". (par Joseph Farah, journaliste Arabe Américain, sur www.worldnetdaily.com).
Les musulmans s'appuient sur le Coran pour revendiquer Jérusalem, pourtant Jérusalem n'y est pas mentionnée une seule fois. La 17ème sourate contient une allusion floue à une "Mosquée la plus éloignée". "Loué soit celui qui a conduit pendant la nuit son serviteur de la mosquée inviolable à la mosquée la plus éloignée".
Mais existe-t-il une base solide qui prouverait qu'il est ici parlé de la mosquée al-Aqsa de Jérusalem ? La réponse est : Non !
Au temps de Mahomet, qui mourut en 632 après Jésus Christ, Jérusalem était une ville chrétienne du royaume byzantin. Elle ne fut conquise que six ans plus tard par le calife Omar.
Durant cette période, il n'y avait que des églises dans la ville et sur le Mont du Temple se trouvait l'église byzantine de Sainte Marie. Vers l'an 711, soit 80 ans après la mort de Mahomet, l'église fut transformée en mosquée et appelée al-Aqsa afin de donner corps à l'incompréhensible sourate 17 du Coran. Mahomet ne pouvait donc pas penser à cette mosquée quand il écrivit le Coran, puisqu'elle n'exista que trois générations après sa mort.
D'ailleurs Mahomet n'éprouvait pas de sympathie particulière pour Jérusalem. Il permit à ses fidèles de prier tournés vers Jérusalem pendant quelques mois, pensant ainsi convaincre les Juifs de se tourner vers l'islam. La tentative ayant échoué, il prononça le 12 février 624, l'interdiction de prier en direction de Jérusalem.
Cette ville ne fut jamais pour les musulmans un lieu saint.
Voilà qui éclairera la lanterne de ceux qui étaient intoxiqués et aveuglés par les propagandes arabo-musulmanes et occidentales....
Et en quel honneur Jérusalem ? Pourquoi pas Paris, Londres, Berlin, Bruxelles ou Washington ?
Jérusalem n'a jamais.. jamais... jamais... été la capitale d'aucun autre état qu'un état Juif... Et personne ne peut le contester....
11 octobre 2000 – USA – Sacramento : "La vérité est que la "Palestine" est un Mythe". (par Joseph Farah, journaliste Arabe Américain, sur www.worldnetdaily.com).
La situation au Proche-Orient paraît simple pour tout le monde : les "Palestiniens" veulent une patrie et les Musulmans veulent le contrôle de sites qu'ils considèrent comme étant sacrés. Simple, non ?
Et bien, en tant que journaliste Arabe Américain qui s'est forgé une connaissance approfondie de la situation au Moyen-Orient, à force de commenter jets de pierres et tirs de mortiers, je peux aujourd'hui vous assurer que la justification de la violence et des émeutes ne trouve pas son origine dans la simple revendication "palestinienne" à une patrie, ni dans la volonté des Musulmans de contrôler des sites qu'ils considèrent sacrés.
Surpris ?
Alors comment expliquer qu'avant la guerre des Six Jours en 1967, il n'y eu aucun mouvement sérieux de revendication d'indépendance "palestinienne" ?
"Avant 1967 ?" me direz-vous, "les Israéliens n'occupaient pas la "Cisjordanie" et la vieille ville de Jérusalem".
C'est vrai. Mais durant la guerre des Six-Jours, ce n'est pas des mains des "Palestiniens", ni de Yasser Arafat qu'Israël conquît la Judée, la Samarie et Jérusalem Est. (à suivre)
Ces territoires étaient de fait occupés par le Roi Hussein de Jordanie depuis 1948. A-t-on une seule fois demandé au souverain Hachémite de restituer ces territoires aux "Palestiniens" ? Est-ce qu'une seule résolution de l'ONU a vu le jour à ce sujet ? Non et non. Ne vous demandez-vous pas alors pourquoi tous ces "Palestiniens" ont soudainement découvert leur identité nationale après qu'Israël ait gagné cette guerre ?
La vérité est que la "Palestine" est un Mythe !
Le nom "Palestine" est utilisé pour la première fois en l'an 135 de l'ère actuelle par l'empereur Romain Hadrien, qui, non content d'avoir éradiqué la présence Juive en Judée (une présence vieille de plus de 1000 ans !), non content d'avoir détruit leur Temple à Jérusalem, non content d'avoir interdit l'accès du pays aux derniers Juifs, se persuada qu'il fallait annihiler toute trace de civilisation Juive dans le pays en le débaptisant au profit d'un nom dérivé des Philistins. Les Philistins étant ce peuple auquel appartenait Goliath et que les Hébreux parvinrent à vaincre des siècles plus tôt. Ce baptême était pour les Romains une façon d'ajouter l'insulte à la blessure. Ils essayèrent également de changer le nom de Jérusalem en "Alea Capitolina", mais cela ne rencontra pas le même succès.
La "Palestine" en tant qu'entité autonome n'a jamais existé au cours de l'Histoire. Jamais ! (à suivre)
Le pays fut dominé successivement par les Romains, par les croisés Chrétiens, par les Musulmans (qui n'ont d'ailleurs jamais fait de Jérusalem une capitale pendant qu'ils occupaient le pays), par les Ottomans et, brièvement, par les Britanniques au lendemain de la première Guerre Mondiale. Dès 1917, avec la déclaration Balfour, les Britanniques s'étaient montrés favorables à céder au moins une partie du territoire au Peuple Juif afin qu'il y établisse un Etat souverain.
Il n'existe pas de langue proprement "Palestinienne". Ni même de culture spécifiquement "Palestinienne". Il n'y a jamais eu de "Palestine" dirigée par des "Palestiniens". Ces derniers sont des Arabes, et sont indissociables des Jordaniens (la Jordanie étant elle aussi une invention récente, créée de toutes pièces dans les années 1920 par les Britanniques et qui n'accède à l'indépendance que le 22 mars 1946). Mettez-vous bien en tête que le monde Arabe contrôle 99,9 % des terres du Moyen-Orient. Israël ne représente que O,1 % de la superficie régionale !
Mais cela est déjà trop pour les Arabes. Ils veulent tout. Et c'est précisément là que se situe le nœud du conflit qui les oppose à Israël. Avidité. Fierté. Jalousie. Convoitise. Toutes les concessions que pourrait faire Israël n'y suffiront pas.
Qu'en est-il des lieux saints de l'Islam ?
Il n'y en a tout simplement aucun à Jérusalem.
Cela vous choque ? Vous pouvez l'être.
(à suivre)
Je suis persuadé que vous n'entendrez jamais cette vérité brutale de la part d'aucun média international. C'est politiquement incorrect.
Je sais que vous me direz : "la Mosquée Al Aqsa et le Dôme du Rocher à Jérusalem représentent le troisième lieu saint de l'Islam", après la Mecque et Médine.
Et bien, sachez que c'est faux ! En réalité, le Coran ne fait aucune mention de Jérusalem. La Mecque est citée des centaines de fois. Médine est mentionnée un nombre incalculable de fois. Mais Jérusalem, jamais (inversement, Jérusalem est citée 669 fois dans la Torah !). Il n'existe aucune preuve historique que le "prophète" Mohammed se soit rendu à Jérusalem.
Alors comment Jérusalem est-il devenu le troisième lieu saint de l'Islam ? Les Musulmans, aujourd'hui, se réfèrent à un vague passage du Coran, la 17ème Sourate, intitulée "le Voyage Nocturne"(1). Il y est fait état d'un rêve de Mohammed qui fut transporté de nuit "du temple sacré au temple le plus éloigné dont nous avons béni l'enceinte". Au septième siècle, des Musulmans ont identifié les deux temples mentionnés dans ce verset comme étant la Mecque et Jérusalem. Voilà à quoi tient la connexion si étroite entre l'Islam et Jérusalem - connexion faite de rêve, d'imagination, d'interprétations et de mythe. Parallèlement, le Peuple Juif voit son enracinement à Jérusalem remonter jusqu'à l'époque du patriarche Abraham.
(à suivre)
La dernière vague de violence qui sévit en Israël a eu comme origine, dit-on, la visite du chef du Parti Likoud Ariel Sharon sur le Mont du Temple, là où se trouvent les fondations du Temple construit par Salomon. C'est le site le plus saint du Judaïsme. Sharon et son entourage y furent accueillis à coups de jets de pierres et d'insultes. Je sais à quoi cela ressemble. J'y étais. Pouvez-vous imaginer ce que ressentent les Juifs lorsqu'ils sont menacés, lapidés et tenus éloignés du lieu le plus saint du Judaïsme ?
Alors, me direz-vous, quelle est la solution pour apporter la paix dans ce Moyen-Orient ? Franchement, je ne pense pas qu'un homme aujourd'hui puisse se prévaloir de détenir une solution durable. Mais s'il y en a une, elle se doit de commencer par rétablir la Vérité. La poursuite des mensonges n'apportera que plus de chaos. Continuer à mépriser un droit légitime vieux de 5 000 ans pour les Juifs, de surcroît renforcé par des preuves historiques et archéologiques éclatantes, en les confrontant à de fausses revendications, ne pourra que donner une mauvaise réputation à cette diplomatie de menteurs.
Note :
(1) Les musulmans s'appuient sur le Coran pour revendiquer Jérusalem, pourtant Jérusalem n'y est pas mentionnée une seule fois. La 17ème sourate contient une allusion floue à une "Mosquée la plus éloignée". "Loué soit celui qui a conduit pendant la nuit son serviteur de la mosquée inviolable à la mosquée la plus éloignée".
(à suivre)
Tu peux donner tous les arguments possible et inimaginable, il suffit au pro palos de dire "les palos veulent leur territoire du fait qu'ils sont là", celà suffit amplement pour faire bouger les antisémites expert en mustapheries (et il y en a) en ce sens.