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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientNakba : la France condamne les violencesLa France condamne les violences survenues hier à la frontière israélo-libanaise, dans le Golan et à Gaza, à l'occasion de la commémoration de la Nakba et appelé les parties « à la retenue », a indiqué lundi le ministère français des Affaires étrangères dans un communiqué. Articles connexes
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Dernière mise à jour, il y a 6 minutes
22 décembre 1894 – France – Paris : honteuse condamnation d’un français parce qu’il était né Juif ! Le Conseil de Guerre, réuni à huis clos, et après un procès truffé de vices de procédures et émaillé de fuites ayant alimenté une terrible campagne de haine antisémite, condamne le Capitaine Alfred Dreyfus à la réclusion à vie en Guyane.
2 septembre 1933 – France – Paris : journalisme antisémite. Le fils d’Alphonse Daudet, Léon Daudet, journaliste antisémite, dénigre violemment Léon Blum dans le "torchon antisémite" l’action française.
3 juin 1937 – France – Paris : Shoah. Création d’une organisation antijuive. "Le rassemblement antijuif de France" est créé par Louis Darquier de Pellepoix (de son vrai nom Louis Darquier) qui sera commissaire aux questions Juives du gouvernement "collabo" de Vichy.
Il diffusera le faux historique "les protocoles des sages de Sion" et appellera à l’extermination des Juifs rejoignant ainsi, le programme des nazis.
La France le condamnera à mort par contumace le 10 décembre 1947, à la dégradation nationale à vie, et à la confiscation de ses biens.
Depuis l’exil où il se terre (l’Espagne), il donne une interview en 1978 à l’express, qui publie ses insanités : "Je vais vous dire, moi, ce qui s’est exactement passé à Auschwitz. On a gazé. Oui, c’est vrai. Mais on a gazé les poux", contestant ainsi odieusement la terrible réalité de la Shoah.
6 au 13 juillet 1938 – France – Evian : Shoah. La Conférence d'Evian, réunit sous l'égide des Etats-Unis, 33 pays qui, pendant sept jours "essaient" de trouver une solution afin d'accueillir et de sauver les centaines de milliers de réfugiés Juifs, fuyant les persécutions nazies d'Allemagne et d'Autriche. L'Italie refuse de participer à cette conférence ...
Au final, aucun des 33 pays participant à cette conférence n'accepte de recevoir et de secourir les Juifs allemands et autrichiens... qui périront, assassinés par les nazis et leurs collaborateurs.
L'Allemagne nazie exulte et un grand quotidien allemand titre : "personne n'en veut...".
Honte aux nations (et en particulier à l'Angleterre qui s'oppose formellement à ce que les Juifs allemands et autrichiens puissent trouver refuge sur la terre des Juifs qu'ils nomment alors "Palestine") qui en refusant de les accueillir, condamnent à mort, en toute connaissance, des centaines de milliers de femmes, d'hommes et d'enfants Juifs ...N'oublions jamais !...
22 juillet 1940 - France : Shoah. révocation de la nationalité française. La commission pour la révision des naturalisations du gouvernement de Vichy révoque la nationalité française de 15 154 naturalisés dont 6 307 Juifs.
3 octobre 1940 - France : Shoah. Le premier statut des Juifs pour la zone sud, les exclut de tout poste dans la fonction publique, la presse et le cinéma, et définit comme Juive "toute personne issue de 3 grands-parents de race Juive ou de 2 grands-parents de même race, si son conjoint lui-même est Juif".
4 octobre 1940 - France – Vichy : Shoah. Ordonnance antisémite.
7 octobre 1940 - France – Vichy : Shoah. Loi antisémite.
18 octobre 1940 – France : Shoah. Le statut des Juifs paraît dans le journal officiel.
21 octobre 1940 - France : Shoah. révocation des Juifs. Les Juifs se voient révoqués des postes d’enseignants.
22 octobre 1940 - France : Shoah. Discrimination antisémite. Les Juifs de la zone occupée doivent faire mentionner "Juif" sur leur carte d’identité.
1er mars 1941 - France : Shoah. Mesures de spoliations antisémites, une fois de plus, la France vole l’argent des Juifs. Les Juifs voient leurs comptes bancaires "bloqués".
22 mars 1941 – France – Vichy : Shoah. Le chef de l’état français rétablit l’esclavage. En décidant que les détenus des camps de travaux forcés, construiraient le chemin de fer transsaharien, le maréchal Pétain, chef d’état de la France de Vichy, viole une fois de plus les lois civiles les plus élémentaires ainsi que celles de sa religion.
De nombreux Juifs, détenus parce que "Juifs", devront travailler comme des esclaves dans d’épouvantables conditions et en mourront.
14 mai 1941 – France – Paris : Shoah. Première rafle des Juifs et déportation vers la mort.
7 août 1941 - France : le pape Pie XII approuve la politique antisémite de la France. Pétain ayant demandé au pape Pie XII sa bénédiction sur la répression des Juifs en France, Pie XII accepte de cautionner les crimes antisémites des français en s'appuyant sur une citation de Thomas D'Aquin (un saint de l'église chrétienne canonisé en 1323 !...) , qui affirmait : "les Juifs sont condamnés à l’esclavage perpétuel" !
22 janvier 1953 – France – Paris : les communistes français soutiennent la campagne soviétique antisémite. Ces communistes et notamment ces communistes français, tous plus staliniens les uns que les autres, auraient dû rentrer sous terre après leur comportement encourageant la politique criminelle du régime soviétique. Ils partagent la responsabilité des crimes commis par ce régime qu’ils ont soutenu de manière inconditionnelle et imbécile pendant des dizaines d’années.
24 mai 1967 – France – Paris : diplomatie française antijuive. Le Ministre des Affaires Etrangères, Abba Eban, rencontre le Général de Gaulle, pour essayer de débloquer la situation par la voie diplomatique. De Gaulle "conseille fortement" à Israël à ne pas tirer le premier, ce qui, au vu de la profondeur stratégique d’Israël, revient à un appel au suicide.
27 novembre 1967 – France – Paris : le chef de l’état fait une déclaration antisémite.
"Un peuple d'élite, sûr de lui-même et dominateur" : tels sont les propos du général de Gaulle qualifiant le Peuple Juif.
Cette phrase antisémite et nauséabonde que l'Histoire retiendra, est prononcée par le général de Gaulle, alors président de la République Française, lors d'une conférence de presse.
Il se discrédite alors et discrédite son pays face au monde et à l'histoire.