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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientLe G8 appelle à des négociations en vertu des idées de paix d’ObamaLe G8 a appelé à une reprise des négociations entre Israël et les palestiniens et a exprimé son soutien au plan de paix du président américain Barack Obama, dans un communiqué publié vendredi.
« Nous sommes convaincu que les changements historiques dans toute la région rendent les négociations sur le conflit israélo-palestinien plus importantes, et non moins, » dit la déclaration.
« Les négociations sont le seul moyen vers un règlement global et durable du conflit, » a déclaré le G8. « A cet effet, nous exprimons notre ferme soutien à la vision de paix soulignée par le président Obama le 19 mai 2011. »
Le groupe des huit dirigeants a déclaré que « les aspirations des peuples de la région doivent êtres entendues, y compris celles des palestiniens pour un état souverain et viable, ainsi que celles des israéliens pour la sécurité et l’intégration régionale. »
« Le temps de reprendre le processus de paix est maintenant, » dit la déclaration.
Le G8 a également dit qu’il « apprécie les efforts et les progrès que l’AP a fait pour construire un état viable. » Les dirigeants ont toutefois appelé les palestiniens et Israël à « respecter les accords de coopération existants, et de s’abstenir de mesures unilatérales qui pourraient entraver le progrès et la poursuite des reformes. »
La déclaration a également appelé à « l’apaisement de la situation à Gaza » et à la libération du soldat Guilad Shalit qui y est retenu en otage.
Le groupe des huit a promis vendredi de soutenir les nouvelles démocraties arabes, promettant entre autre la somme de 20 milliards de dollars pour soutenir les gouvernements égyptiens et tunisiens, selon un communiqué qu’ils ont publié suite à une réunion dans la ville française de Deauville.
« Les changements en cours au Proche Orient et en Afrique du Nord sont historiques et ont le potentiel d’ouvrir la porte au genre de transformations qui se sont produites en Europe centrale et orientale après la chute du mur de Berlin, » dit la déclaration.
« Nous, les membres du G8, soutenons les aspirations du printemps arabe ainsi que celles du peuple iranien. » Articles connexes
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car ceux-ci ne détenaient aucun poste ni levier.
Ensuite : il n'y a pas eu, en 1940, " défection du président " . Celui-ci, Albert Lebrun, avait certes appelé le maréchal Pétain au poste de Président du Conseil, mais il s'était justement refusé à démissionner et c'est en partie pour contourner l'obstacle que constituait ce refus que Pétain se fait octroyer les pleins pouvoirs, le 10 juillet 1940, par les deux Chambres réunies à Vichy.
A la suite de ce vote, qui le prive du peu de pouvoirs que détenait un Président de la République selon la Constitution ( les lois constitutionnelles, plus exactement ) de la IIIè République, Albert Lebrun se retire à la campagne. Il est ensuite placé en résidence surveillée ; puis les Allemands l'envoient en résidence surveillée en Allemagne. Il en est libéré, fin 1943, pour raisons de santé.
Je ne sais pas si l'on peut dire, comme le fait Nathalie, que Pétain a été nommé chef de l'Etat " à la va-vite " . Il a reçu les pleins pouvoirs, comme je le rappelle ci-dessous, par un vote des Chambres. Pétain voyait-il dans la collaboration, comme Nathalie l'affirme, l' " opportunité de se positionner haut " ? - Il était déjà " positionné haut " , et même au sommet, précisément depuis et par le vote du 10 juillet 1940, lorsque la politique de collaboration avec l'Allemagne est avancée à l'occasion de la rencontre entre Pétain et Hitler, en octobre 1940 , à Montoire.
La politique de collaboration n'était nullement un moyen d'arrêter
ou d'éviter " la perte massive de soldats " , vu que les combats avaient cessé fin juin en vertu de l'armistice.
Quant à la volonté de Pétain de s'opposer au communisme, elle est certaine. Mais n'a rien à voir avec la collaboration. Le parti communiste était hors-la-loi et nombre de ses cadres et militants emprisonnés depuis la conclusion de l'alliance entre l'URSS et l'Allemagne ( fin août 1939 ). Il ne constituait pas vraiment un danger, si ce n'est qu'il cherchait à s'appuyer sur les occupants pour obtenir d'eux l'autorisation de faire reparaître " l'Humanité " ( contacts établis, sur l'ordre de la direction clandestine du PCF, par Maurice Tréand et Denise Ginollin, notamment ).
Je répète que De Gaulle s'est opposé à Pétain dès la première heure. Avant de raconter des salades, Nathalie, qui sont de pures inventions et déformations historiques, veuillez considérer le déroulement des événements - que j'ai rappelé, mais dont vous ne tenez nul compte, sans pour autant être capable de le démentir ou de l'infirmer : l'appel du maréchal Pétain à cesser le combat - bien avant qu'il soit question de collaboration, ni même de pleins pouvoirs - est lancé à la radio le 17 juin. Dans la soirée du même jour, le général De Gaulle écrit une réponse, que Geoffroy de Courcel fait dactylographier séance tenante par Elisabeth de Miribel. Le lendemain 18 juin, De Gaulle lit ce texte à la radio ( BBC ) : c'est le fameux " Appel du 18-Juin " . Il n'a donc nullement attendu,
pour s'opposer à Pétain, de " [ comprendre ] que les conséquences du IIIè Reich [ étaient ] plus à craindre que celles du communisme ", comme vous l'affirmez faussement. Sa détermination est immédiate et est rendue publique dans les heures mêmes qui suivent l'appel au déballonnage lancé par Pétain. Et ce, bien avant, je le répète, qu'il soit question de collaboration.
Cessez donc, Nathalie, de raconter n'importe quoi. Car c'est ce que vous faites sans la moindre vergogne - et sans la moindre honnêteté intellectuelle - celle-ci consistant, ne vous en déplaise, à répondre par des arguments, des dates, des faits précis - et non à répéter des affirmations mensongères.