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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientNetanyahou : « Jérusalem est le fondement de l’unité d’Israël »Jérusalem est « l’un des fondements de l’unité d’Israël, » a déclaré dimanche le premier ministre Benyamin Netanyahou lors d’une réunion extraordinaire du cabinet ministériel au musé de la Tour de David pour commémorer la Journée de Jérusalem qui sera célébrée mercredi.
Netanyahou a déclaré qu’il a récemment souligné la centralise de Jérusalem à la fois a la Knesset et au Congrès des Etats-Unis. Il a dit qu’il y a une compréhension aux Etats-Unis de l’importance de Jérusalem pour le peuple juif.
« Il est important que tout le monde sache que le peuple d’Israël et ses amis dans le monde se tiennent ensemble dans leur fidélité à Jérusalem et à notre patrimoine, sont déterminés dans nos positions, se lèvent pour notre sécurité, et tendent la main pour une véritable paix avec nos voisins, » a-t-il dit.
Le cabinet a été appelé à approuver un plan économique visant à renforcer l’économie de la capitale à travers deux canaux principaux : le tourisme et la haute technologie.
La première partie du plan est un investissement de 145,5 millions de shekels (environ 30 millions d’euros) pour renforcer l’infrastructure touristique de la ville. Elle sera complétée par une attribution de 75 millions de shekels (environ 15 millions d’euros) au ministère du tourisme afin d’encourager la construction de chambres d’hôtel dans la ville.
71,4 millions de shekels (environ 14 millions d’euros) sont destinés à renforcer la ville comme centre de recherche et de développement, l’argent allant à la subvention de start up, à la modernisation des laboratoires de R&D, et pour des subventions pour les initiatives de biotechnologie.
70,5 autres millions de shekels seront alloués pour les bâtiments publics, les logements étudiant, les projets académiques, et des mesures supplémentaires « pour attirer des résidents productifs ».
En outre, le cabinet a prévu d’ajouter Jérusalem à la liste des villes où des bourses sont données aux soldats démobilisés et aux anciens combattants pour leur première année d’étude dans les établissements d’enseignement supérieur. Articles connexes
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La crise de 1971-1973 faisait précisément suite à une tentative de mettre en question la suprématie du dollar, plombée en partie, alors, par un énorme déficit américain ( déjà ... ) dû en grande partie au poids des dépenses militaires liées à la guerre du Viêt'Nam : les Etats-Unis ne parvenaient plus à assurer l'équivalence dollar-or garantie par les accords de Bretton Woods : si toutes les Banques Centrales avaient exigé que lurs réserves de dollars soient converties en or, comme la possibilité leur en était en principe garantie par Bretton Woods, lev FRS américain se serait trouvé en faillite, les réserves d'or de Fort Worth étant notoirement insuffisantes pour assurer la couverture des
émissions de dollars.
C'est pourquoi les Banques Centrales, étant celles de pays amis des Etats-Unis, se gardaient bien d'exiger la conversion en or de leurs réserves de dollars. Toutes les Banques Centrales, sauf une : la Banque de France ( dirigée alors, je crois, mais il faudrait vérifier, par Wilfrid Baumgartner - qui n'était pas juif, je le précise ... ) ... Le général de Gaulle cherchait alors à contrer les Etats-Unis par tous les moyens ( discours de Phnom Penh, en 1966, je crois ; sortie de la France, non pas encore de l'OTAN, mais du système de commandement militaire de celle-ci - d'où la fermeture des bases américaines en France - ; avances et provocations - Mexique, Québec ... - et, last but not least, exigence de la conversion en or d'une partie des réserves en dollars de la France - les accords de Bretton Woods disposant, en principe, que les déficits de la balance des paiements de chaque pays devraient être acquittés en or ). Sa politique monétaire, inspirée par Jacques Rueff ( un partisan, lui, du retour à l'étalon-or ), visait à mettre dans l'embarras les Etats-Unis, mais elle ne fut pas suivie par les autres puissances occidentales. Néanmoins, le dollar était en difficulté. Et ces difficultés prenaient une ampleur telle, à l'été 1971, que certaines Banques Centrales autres que la Banque de France - nommément les Banques Centrales suisse et anglaise - se mirent à suivre l'exemple français et à exiger la conversion en or d'une partie de leurs réserves
de dollars. D'où le " coup d'Etat monétaire " de Richard Nixon à la mi-août 1971 : les Etats-Unis cesseraient d'honorer les demandes de conversion en or : le dollar devenait inconvertible. Dans un premier temps, cette inconvertibilité entraîna une chute vertigineuse ( plus de 40 % ) du dollar en termes de changes monétaires ( je me souviens de touristes américains en voyage à Paris, pris au piège de cette dévaluation de facto de leur monnaie, et vendant tout ce qu'ils pouvaient vendre - caméras, appareils photo ... - sur des étals improvisés sur les trottoirs de l'avenue de l'Opéra ... ). Mais, dans un deuxième temps, au terme de deux ans de crise, le SMI se restabilisa - relativement - autour du fait accompli : l'or se retrouvait exclu comme référence, le seul étalon étant désormais l'étalon- dollar, la valeur des différentes monnaies étant, certes, exprimée en dollars, mais cessant d'être définie de manière fixe et s'établissant en fonction des rapports fluctuants au jour le jour selon l'offre et la demande dont elle étaient l'objet sur les marchés des changes.