Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Les palestiniens les lignes de 1967 sont une vision irrelle et simulees par l occident
Les cisjordaniens la cisjordanie la perte de territoires par la guerre contre la jordanie
C est la realite
Le roi de jordanie couvert par conspiration de ce meme occident fait l amnesique *Mais rien ne peux se bebloquer sans que lui concede des territoires que son grand pere a spolie aux cisjordaniens et quelques terrescedees par israel dans la continuite

Et après les avoir pressés ( les citrons ), en général, on les jette. C'est cela que M. Thomas Friedman ( lui qui appelle sans cesse le gouvernement américain à accroître ses pressions sur Israël ) a prévu comme suite logique ?

Mais M. Friedman est en retard par rapport à la pensée profonde qui n'a cessé de faire le fond des positions de certaines chancelleries - notamment le Quai d'Orsay, mené par le lobby pro-arabe qui y gîte depuis des décennies - : en réalité, il y aurait mieux à faire ( " Encore un effort ... " ) qu'en revenir au plan de partage ( mort-né de par le refus arabe ) de 1947 : ce serait tout bonnement de corriger cette erreur historique qu'a été la création d'Israël en décrétant purement et simplement la suppression de ce qu'un ambassadeur de France qualifiait naguère de " little shitty state " .

Bien sûr, autant cette étape ultime que l'étape préalable ( le retour au plan de partage de 1947 ) seraient assez difficiles à mettre en oeuvre sur le terrain ... Mais " de minimis non curat praetor " ... : ce ne sont là que broutilles ... Il est tout de même frappant de voir à quel point les pro - " palestiniens " s'enfoncent dans le délire politique ... : ici ( en Eurabie ) , c'est le duo Sarkozy - Merkel qui prétend décider à la place de Jérusalem quel prix politique ( libération de mille terroristes - reconnaissance politique du 'Hamas - ouverture complète de la frontière avec Gaza ) serait payé par Israël pour la libération de Guilad Shalit. Là ( l'article

(suite)

de Thomas Friedman dans le " New York Times " ), on " règle ", d'un seul coup de plume, la question des frontières d'Israël par une de ces vues de l'esprit qui florissent dans les cerveaux de ceux qui rêvent la politique au lieu de la faire. Un article de ce devrait, si les choses allaient du seul pas de la raison, non seulement ridiculiser son auteur, mais le décrédibiliser à tout jamais : comment accorder désormais le moindre poids de sérieux à l'auteur de telles billevesées ?

Correction : " Un article de ce genre devrait, ... " ; et non : " Un article de ce devrait, ... " .