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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientAucun progrès lors de la réunion du QuartetLe Quartet des médiateurs pour la paix au Proche Orient a échoué à annoncer tout progrès pour la relance des pourparlers de paix israélo-palestinien, après une longue réunion, lundi, en disant qu’il y a encore des différences entre les deux parties.
Le groupe, composé des Etats-Unis, de l’Union Européenne, de la Russie et des Nations Unies, à terminer un dîner d’environ deux heures et quart à Washington, sans émettre de déclaration.
Le Quartet veut trouver un moyen de reprendre les pourparlers et d’éviter une confrontation diplomatique prévue à l’ONU en septembre, quand les palestiniens chercheront une reconnaissance internationale la plus large possible pour un état palestinien.
« Il y a encore des lacunes qui entravent les progrès, » a déclaré un haut responsable de l’administration Obama, qui a informé la presse après la réunion sous condition d’anonymat. « Soyons réalistes… plus de travail doit être fait pour combler ces lacunes. »
« Il y a un temps et un lieu pour des déclarations publiques, et il y a un temps et un lieu pour la diplomatie privée, » a-t-il ajouté. « Nous devons plus travailler, en privé, tranquillement, avec les parties, afin de voir si nous pouvons ou pas combler ces lacunes. »
Il a toutefois refusé de discuter de la nature des lacunes en question, et a dit que la Quartet perçoit un « besoin urgent de faire appel aux parties pour surmonter les obstacles actuels et trouver un moyen de reprendre les négociations directes, sans délai ni conditions préalables. »
Un haut fonctionnaire de l’administration Obama a déclaré que les membres du Quartet ont tous exprimé leur soutien à la position prise par Obama en mai, qui avait exhorté les deux parties à baser les frontières de leurs pays sur les lignes de 1967, avec des échanges de terres mutuellement convenus.
La secrétaire d’état Hillary Clinton était l’ôte du dîner, qui a été suivi par la chef de la diplomatie de l’Union Européenne Catherine Ashton, le ministre des affaires étrangères russe Sergei Lavror, le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon, et l’ancien premier ministre britannique Tony Blair, actuel émissaire du Quartet.
Se référant à la proposition palestinienne de reconnaissance, un haut responsable américain a déclaré qu’il était difficile de comprendre ce que les palestiniens veulent atteindre en septembre, et a noté qu’ils étaient favorables à des négociations directes.
Le premier ministre Benyamin Netanyahou a déclaré lundi avant la réunion : « je suis prêt à m’asseoir avec les palestiniens dès demain matin, à ouvrir des négociations directes, mais malheureusement, ils refusent. »
Dans une lettre adressée par les membres de la famille de Guilad Shalit au Quartet, ils affirment que sans sa libération aucun progrès ne peut être fait. Ils affirment également que la captivité de Shalit à des fins de négociations et sans droit est un crime de guerre. Articles connexes
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Maîtrisons les échanges
Lorsque l'Egypte contacta Israël afin de discuter d'un traité de paix entre les deux pays, le Rabbi souligna combien ce pays comme son dirigeant n'étaient nullement intéressés par la signature d'un quelconque accord avec l'état d'Israël.
L'Egypte n'accepta ces pourparlers que dans un seul but : pouvoir recevoir des Etats-Unis une aide substantielle. En effet cette puissance s'engageait à la lui fournir à la seule condition que l'Egypte réussisse à signer un traité de paix avec Israël.
Dans cet état d'esprit, il était tout à fait acceptable qu'Israël souligne combien il devait conserver ses exploitations pétrolières, comme les implantations qu'il avait établi dans le désert du Sinaï. Garder ses terres était pour lui un devoir. Celui de pourvoir à sa sécurité, en conservant une zone tampon qui le protégerait du pays voisin. Considérant les vues de chaque partie, cela aurait été reçu positivement par tous les interlocuteurs.
Nul n'aurait vu dans cet entêtement, une faiblesse ou un refus de collaborer, de la part des israéliens. Bien au contraire, une attitude emplie de fermeté de notre part aurait permis aux égyptiens de pouvoir signer avec nous un traité de paix sur d'autres points. Ils auraient alors pu obtenir ce qu'ils espéraient depuis si longtemps, l'aide substantielle des Etats-Unis.
Cette lecture géopolitique du Moyen-Orient emplie de clairvoyance, nous permet de comprendre combien il est important pour chaque enfant d'Israël, de savoir camper avec force sur ses positions.
Puisons nos forces dans nos valeurs, l'étude de la torah et l'accomplissement des mitsvots. Cette fierté nous donnera la force de défendre les intérêts de notre pays, en protégeant ses habitants de toute menace extérieure.
Que D-ieu fasse que notre peuple soit toujours protégé, et que nous ayons le mérite de vivre en toute sérénité sur notre terre, avec la venue de notre juste Machiah'.
Issu d'un Discours du Rabbi de Loubavitch- Chlémout Haarets-Y.Y Goutnick
Ils veulent avancer , tj avancer ...ils ont fait le même caprice avec l'indépendance du kosovo .
Toujours la même histoire , des immigrés qui veulent leur territoire propre car incapable de pratiquer le vivre ensemble .
Les médias ne donnent qu'un son de cloche c'est injuste et pas équitable !
Je précise que je ne suis pas juive, juste une française (catho ) qui ne prend plus les médias pour parole d'évangiles.