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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientAbbas : « les palestiniens ont besoin d’argent pour combattre les menaces israéliennes »Le président de l’autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a lancé lundi un appel au soutien financier des arabes pour aider les palestiniens a contrer « les pressions et les menaces d’Israël et de ses alliés », qui selon lui, sont un risque pour son plan visant à rechercher l’approbation des Nations Unies pour son état en septembre.
L’autorité palestinienne fait face à une crise financière qui a forcé le gouvernement à diminuer les salaires de moitié en juillet. Les décideurs palestiniens ont identifié un déficit dans l’aide arabe comme la principale cause du problème.
Ecrivant dans le journal saoudien Al-Watan, Abbas a déclaré que les palestiniens font face à des pressions d’Israël et de ses alliés pour les empêcher d’aller de l’avant avec leur action diplomatique prévue lors de l’assemblée général de septembre.
« Nous n’avons pas bénéficié de l’appui politique et financier arabe nécessaire pour traverser cette période délicate. Ces pressions et ces menaces vont se poursuivre et réduire les chances de succès, » a écrit Abbas, sans préciser de quelles menaces il parlait.
Malgré la pression, il a dit être engagé à aller de l’avant avec son offensive diplomatique.
Abbas a déclaré que ses raisons pour la demande de reconnaissance de l’ONU en septembre incluaient le fait que « les négociations bilatérales ont abouti à une impasse. » Il a également dit que cela améliorerait les chances de négociations sérieuses.
Abbas a remercié les arabes, en particulier l’Arabie Saoudite, pour « l’aide continue à leurs frères palestiniens ».
« Cependant, leur soutien a maintenant une qualité particulière dans le support de notre démarche diplomatique qui aidera à ramener la paix plus proche, » écrit-il.
L’autorité palestinienne verse des salaires à 150 000 personnes en Judée Samarie et dans la bande de Gaza, et des allocations mensuelles à quelques autres 75 000 personnes, dont des milliers de terroristes emprisonnés en Israël.
Bien qu’elle ait payé un salaire complet en août, l’autorité palestinienne a fait une mise en garde en disant que ses ennuis financiers n’étaient pas terminés. Articles connexes
148 commentaires
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que la dernière phrase!
Je vois que la vérité défrise et qu'il ne faut pas dire tout haut ce que
beaucoup de nous pensent si non couic on est coupé...
1 million de pieds noirs , 220.000 juifs , et 9.millions d'arabes ==
de 1961 à ce jour, 64.millions d'arabes qui on débordés en France ==
ce n'était plus l'Algérie Française == mais la France Algérienne ==
Shalom Israel Eden ***
Conformément aux termes de son Mandat, la principale obligation de la Grande-Bretagne était de faciliter l’application de la Déclaration de Balfour, du 2 novembre 1917, qui garantissait l’établissement d’un foyer national pour le peuple juif.
Parce qu’aucun autre peuple n’a jamais établi de foyer national en “Palestine” depuis que les juifs l’avaient fait il y a 2000 ans, les Britanniques ont apprécié “favorablement” la création d’un foyer national juif couvrant TOUTE la Palestine. Les juifs avaient déjà commencé une immigration importante vers la Palestine dans les années 1880 dans un effort commun pour débarrasser la terre des marécages et de la malaria et pour se préparer à la renaissance d’Israël. Cet effort de revitalisation de la terre mené par les juifs a attiré un tout aussi grand nombre d’immigrants arabes des régions avoisinantes, qui ont été séduits par les possibilités d’emploi et les conditions de vie plus saines. Il n’y a jamais eu de tentative de “libération” de la région de ces quelques arabes qui y vivaient ou des nombreux nouveaux immigrants arabes dans la région qui s’installaient aux côtés des juifs.
En juillet 1922, les Britanniques ont divisé la partie appelée “Palestine” de l’empire Ottoman en deux districts administratifs. Les juifs étaient autorisés à rester uniquement du côté ouest du Jourdain (en bleu). En effet, les Britanniques ont “décapité” 75 % de la Palestine initialement proposée comme patrie juive. Ils y ont formé une nation arabe baptisée “Transjordanie” (ce qui signifie “à travers le Jourdain”). Ce territoire à l’est du Jourdain a été donné à l’émir Abdullah (de Hejaz, aujourd’hui l’Arabie Saoudite Saoudite), qui n’était même pas un Arabe “palestinien”. La Transjordanie sera rebaptisée “Jordanie” en 1946.
En d’autres termes, les 3/4 de la partie orientale de la Palestine seront rebaptisés deux fois, ce qui aura pour effet l’effacement total de toute connexion avec le nom “Palestine”. Quoi qu’il en soit, le fond du problème est que les Arabes palestiniens AVAIENT leur nation “arabe palestinienne” qui représentait 75 % de la grande Palestine. Les 25 % restants de la Palestine, que j’appelle la “petite Palestine” (aujourd’hui à l’ouest du Jourdain) devaient être pour la patrie juive palestinienne. Néanmoins, le partage ne faisait pas partie de la psychologie arabe à cette époque ni aujourd’hui.
Suite aux massacres perpétrés lors de la "révolution arabe" de 1936 à 1939, les juifs palestiniens ont été contraints de former une organisation de défense contre les Arabes palestiniens. Ainsi fut créée la "Hagana" et le commencement des forces de défense israéliennes (IDF). Il y avait aussi un mouvement juif secret appelé l’Irgoun dirigé par Menahem Begin (qui plus tard est devenu le Premier ministre d’Israël). Outre la lutte contre les Arabes, l’Irgoun a contribué à chasser les Arabes probritanniques. Enfin, en 1947, les Britanniques en ont eu assez et ont renvoyé le problème de la Palestine vers l’ONU de l’époque (la société des nations ou SDN). La résolution 181 de l’ONU, le 9 novembre 1947, planifie de partitionner en deux les 25 % restants de la Palestine (petite Palestine) en un état juif palestinien ET un DEUXIÈME état arabe palestinien (la Transjordanie étant le premier avec 75 % du territoire de la Palestine) en s’appuyant sur les concentrations des populations. Les juifs ont immédiatement accepté. Les Arabes ont rejeté le plan. Les Arabes voulaient TOUTE la Palestine, à l’Est, comme à l’ouest du Jourdain. Nos amis palestiniens ont commencé la guerre de 1948 et ce faisant révélèrent les forces guerrières d’une nation de survivants, de rescapés, un peuple avec nul part pour se réfugier, qui a étouffé sa douleur pendant des millénaires et qui devait maintenant gagner son droit d’exister. En mai 1948, les juifs palestiniens ont finalement déclaré leur propre état d’Israël et son devenus des "Israéliens". Le LENDEMAIN, les 7 pays arabes voisins, l’Égypte, la Jordanie, la Syrie, le Liban, l’Arabie Saoudite, l’Irak et le Yémen envahirent Israël.
Le grand mufti de Jérusalem "Haj Amin" déclara: "Je déclare la guerre sainte mes frères musulmans, tuez les juifs !".
La suite a lire :
http://identitejuive.com/histoire-disrael-et-de-la-palestine/1947-1967-resolution-de-lonu-en-1947-la-
Amitiès
Robert
On pourrait le compléter par ces extraits de la lettre que Fayçal ibn 'Hussein ( rappelons que celui-ci, fils du chérif 'Hussein, émir du Hedjaz, avait conduit la révolte arabe contre les Ottomans ) adressait à Felix Frankfurter, membre de la délégation sioniste à la conférence de Paris ( 1919 ) :
" Nous autres Arabes ... considérons le mouvement sioniste avec la plus grande sympathie ... Nous souhaiterons la bienvenue aux Juifs très chaleureusement quand ils rentreront chez eux ... Le mouvement juif est nationaliste et non impérialiste ... "
On remarquera que Fayçal ibn 'Hussein parle du " retour des Juifs chez eux " . Point de vue conforté par l'opinion que " le mouvement juif est national et non impérialiste " . En fait, Fayçal ibn 'Hussein établissait un parallèle entre le mouvement national arabe qu'il avait dirigé contre les Turcs et le mouvement national juif.