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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientErdogan : « Pérès n'est pas un homme de paix » !Quel camouflet pour celui que tout le monde appelle « le pèlerin de la paix » et qui a plongé Israël dans les affres des Accords d'Oslo. Comme quoi, l'acharnement juif à vouloir « la paix à tout prix » n'est jamais payé en retour. Le Premier ministre turc en visite en Egypte a prise une seconde fois pour cible le président de l'Etat Shimon Pérès lors du repas d'adieu avant son départ pour la Libye. Erdogan a dit à son audience « qu'en 2009 à Davos, Pérès avait tenté de se faire passer auprès de lui pour un amoureux de la paix »...
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L’Empire ottoman (Osmanlı İmparatorluğu en turc moderne) est un empire qui a duré de 1299 à 1922 (soit 623 ans). Il a laissé la place, entre autres, à la République de Turquie. Fondé par un clan turcique oghouze en Anatolie occidentale, l'Empire ottoman s'étendait au faîte de sa puissance sur trois continents : toute l'Anatolie, le haut-plateau arménien, les Balkans, le pourtour de la mer Noire, la Syrie, la Palestine, la Mésopotamie, la péninsule Arabique et l'Afrique du Nord (à l'exception du Maroc).
Entre 1916 et 1922, l’empire ottoman et ses marches firent l’objet d’intenses tractations entre Français et Britanniques. Après 1918, les Etats-Unis se posèrent en arbitres, au nom du « droit des peuples ». Pourtant, à aucun moment, les populations locales ne furent réellement consultées. Le partage territorial en fut durablement fragilisé.
Par Henry Laurens
En 1914, les provinces arabes de l’Empire ottoman se trouvaient sous l’influence collective et multiforme des puissances européennes, auxquelles s’ajoutaient les Etats-Unis. Les Jeunes-Turcs, au pouvoir depuis 1908, cherchaient à se débarrasser de ces ingérences permanentes, mais au prix d’un centralisme autoritaire qui suscitait l’émergence d’un mouvement autonomiste arabe prêt à chercher des appuis chez les Européens.
La France était la puissance dominante en « Syrie naturelle », grâce à ses investissements économiques et à son rayonnement scolaire et culturel. On en arrivait à parler d’une « France du Levant ». Les Britanniques, qui occupaient l’Egypte depuis 1882, avaient fini par reconnaître -de mauvaise grâce - cette primauté.
En entrant en guerre en novembre 1914, les Ottomans entendaient s’affranchir des dominations étrangères et liquider les autonomismes locaux. Dès le début de 1915, la répression frappe les élites politiques arabes (pendaisons, exils en Anatolie). Des populations entières seront martyrisées (chrétiens du mont Liban décimés par la famine, sort tragique des Arméniens et autres chrétiens anatoliens déportés et massacrés). Cherchant à déstabiliser les deux grandes « puissances musulmanes » que constituent les empires coloniaux français et britanniques, les Ottomans appellent à la guerre sainte, au djihad. Les Britanniques s’en tiennent d’abord à un combat défensif à proximité du canal de Suez, tandis que l’armée anglo-indienne commence la conquête difficile de l’Irak à partir de Basra (1).
Mais le djihad menace l’Afrique du Nord française (et une partie de l’Afrique noire) et l’Inde britannique. Français et Britanniques se trouvent ainsi en position défensive, et cherchent une nouvelle formule juridique susceptible de rétablir leur ancienne domination. Ils envisagent d’abord de maintenir un Empire ottoman décentralisé, qui serait un protectorat de fait. En attaquant les Dardanelles (1915) pour menacer la capitale de l’Empire ottoman, ils sont contraints d’accepter la revendication russe sur Constantinople et donc de considérer un partage de la région.
L’échec sanglant des Dardanelles n’en remet pas en cause le principe. En suscitant un soulèvement du chérif Hussein, émir de La Mecque, ils espèrent mettre fin à la menace du djihad et créer un nouveau front contre les Ottomans. Le haut-commissaire en Egypte, Mac-Mahon, entretient donc une correspondance difficile avec le chérif Hussein pour le pousser à se révolter. Défaillances de traduction et malentendus sur le sens des mots utilisés compliquent encore le texte, déjà ambigu, de la correspondance, créant ainsi un imbroglio dont la solution est remise à plus tard.
Un certain nombre d’esprits romantiques du Caire, dont le plus célèbre sera T. E. Lawrence, le futur Lawrence d’Arabie, misent sur une renaissance arabe qui, fondée sur l’authenticité bédouine, se substituerait à la corruption ottomane et au levantinisme francophone. Ces bédouins, commandés par les fils de Hussein, les princes de la dynastie hachémite, accepteront naturellement une tutelle britannique « bienveillante ». Londres leur promet bien une « Arabie » indépendante, mais par rapport aux Ottomans. De leurs côtés, les Français veulent étendre leur « France du Levant » à l’intérieur des terres et construire ainsi une « grande Syrie » francophone, francophile et sous leur tutelle.
Depuis cote d'ivoire
Oui, il ne faut pas faire confiance à un goy, encore plus à un arabe, mais les israéliens le savent pertinemment, ce sont des stratégies sur l'échiquier du proche-orient.
La paix en Israel, c est plus un musulman de gaza à Roch Anikra et du Jourdain à la méditerranée, si les états arabes sont si concernés par leurs" frères palestiniens", ils n'ont qu a les intégrer dans leur population.
C est cela la solidarité....
Je te garanti qu'il y a des goyim qui se comportent avec nous mieux que beaucoup de nos freres qui pactisent avec l'ennemi et qui voient en nous des ennemis.
Ne juge pas tous les goyim contente toi des arabes et de ceux qui sont nos ennemis, Shindler, Da Silva, Walenberg, Harper, Aznar, tous des goyim, et pourtant nos plus grand allié d'hiers et d'aujourd'hui et je ne te parle pas de tous ceux qui ont été elevés au rang de justes.... Il ne faut pas avoir la memoire courte