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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

AP : "nous annulerons la candidature d'adhésion si l'UE nous reconnaît"

AP : "nous annulerons la candidature d'adhésion si l'UE nous reconnaît" - © Juif.org

L'émissaire de l'autorité palestinienne en Allemagne, Saleh Abdel-Shafi a affirmé dimanche que les palestiniens annuleront leur candidature pour obtenir une pleine adhésion à l'ONU, en échange de la reconnaissance par l'Union Européenne de l'AP comme membre observateur à l'assemblée générale.

"Nous sommes toujours en négociations avec les européens," a déclaré Abdel-Shafi au Financial Times Deutschland. "Nous serons prêts à renoncer à la candidature au conseil de sécurité si les états européens nous soutiennent lors du vote à l'assemblée," a-t-il dit.

Le président palestinien Mahmoud Abbas a également exprimé sa volonté d'abandonner la candidature au conseil de sécurité dans son allocution de vendredi, mais posent différentes conditions, Abbas exige par exemple que le premier ministre Benyamin Netanyahou reconnaisse les frontières de 1967 et gèle la construction dans les implantations.

Abdel-Shafi a ajouté que sa déclaration ne signifie pas la fin des négociations avec Israël, mais plutôt son objectif, "de sauver la vision d'une solution à deux états".

Les palestiniens font maintenant face à deux options : se rendre au conseil de sécurité, le seul organe habilité a décider d'accepter un nouvel état en tant que membre à part entière de l'ONU, ou aller devant l'assemblée générale, qui peut déclaré l'AP comme état non membre observateur.

Alors que l'offre du conseil de sécurité est prévue pour être accueillie par un veto américain, à l'assemblée générale par contre, les palestiniens sont certains de gagner une écrasante majorité. Les états européens sont appelés à voter de manière indépendante sur la question. Selon la presse, la France appuie une déclaration unilatérale d'indépendance palestinienne, tandis que l'Allemagne s'y oppose.

En attendant, le ministre des affaires étrangères de la Norvège affirme que son pays soutiendra les responsables palestiniens dans leur appel à l'ONU.

L'Union Européenne craint une scission dans le vote des 27 états membres. La chef de la politique étrangère de l'UE, Catherine Ashton, a visité le Proche Orient cette semaine, mais l'UE européenne n'a pas encore annoncé comment elle allait voter.

"Les prochains jours sont cruciaux," a déclaré un porte-parole de l'UE. "C'est aux palestiniens de décider des prochaines étapes, mais nous continuons de croire qu'une solution constructive qui puisse rassembler autant de soutien que possible et permette la reprise des négociations est la meilleure et la seule manière de parvenir à la paix et à la solution de deux états que veulent les palestiniens."

Les envoyés du Quartet se réuniront dimanche dans un geste de la dernière chance pour relancer les pourparlers de paix israélo-palestiniens et éviter une confrontation pour un état palestiniens aux Nations Unies, a déclaré samedi un diplomate de l'UE.

27 commentaires
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qu'une action devant le Conseil de Sécurité.

Ces dernières voltes trahissent l'affolement d'un groupe maintenant très isolé ( il est amusant de voir des journalistes dhimmis comme Pascal Boniface parler doctement de l' " isolement d'Israël " ! ... Rigole Rigole ) qui ne sait plus quoi ni comment faire pour masquer son échec. Un échec qui, d'ailleurs, ne manque pas d'être dès aujourd'hui exploité par anticipation par le 'Hamas - qui s'apprête à déguster les marrons tirés du feu ...

Ensuite, cette ultime manoeuvre risque d'avoir pour effet d'accuser les lignes de fracture au sein de l'Union Eurabe, laquelle est certainement, comme le dit Mosche, très emmerdée ... Une chose est d'aller fanfaronner à Benghazi ; autre chose de prendre clairement et publiquement position pour un groupe ( le Fata'h ) dont on voit bien qu'il est quasiment réduit à quia. Aller se pavaner devant les gagnants est sans risque ; afficher sa solidarité active avec ceux qui sont sur la planche savonneuse est une autre affaire, point forcément gagnante à sept mois de l'élection présidentielle française.

A moins que Sarko Ier et Alain Juppé n'envisagent d'engager l'OTAN dans une opération militaire au Proche-Orient ? ... Rigole Rigole Rigole

Et c'est ici qu'on peut aussi commencer à faire entrer en ligne de compte des considérations d'ordre économique. Bon, en Libye, la France ( Total ... ) a plus ou moins reçu la promesse d'un accès aux ressources pétrolières à hauteur de 35 % de celles-ci.
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 18 Septembre 2011 à 21:15
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( A part ça, " le jour n'est pas plus pur que le fond " des barils de pétrole de Total et l'intervention française en Libye a été faite pour la sauvegarde des populations, c'est bien connu ).

Mais la plupart des pays arabes - sinon tous - ont atteint, voire sérieusement dépassé leur " Peak Oil " . Ce qui leur laisse, certes, encore quelques beaux jours devant eux, mais de moins en moins. Alors que, pour ce qui est des hydrocarbures, la ( grande ) puissance montante est ... Israël. Certes, ce n'est pas tout de suite que l'or noir israélien va faire la pluie et le beau temps sur les marchés, mais ... il faut commencer à calculer en intégrant les données nouvelles fournies par le réalisme géologique ...
Tout cela fait que la position de l'Union Eurabe est, pour elle-même, de plus en plus difficile à définir. Et que le tueur de Ma'alot pourrait bien s'appuyer, dans le naufrage de sa politique, sur une planche pourrie ...
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 18 Septembre 2011 à 21:23
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Ce que je veux dire, c'est que, malgré certaines apparences - et même s'il y a, dans les semaines à venir, des déchaînements de violences à l'initiative des Arabo-musulmans, en Eretz et ailleurs - c'est que les Palos ont probablement perdu la partie.

Faisons le bilan. Ils n'ont pas obtenu, il y aura un an dans quelques jours, la prorogation de jure du gel des constructions juives en Judée-Samarie ( même si Ehud Barak s'emploie fort activement à imposer un gel de facto ). Ils n'ont pas obtenu qu'Israël cède sur la question des prétendues " frontières " de 1967. Ils n'ont pas réussi à imposer la fin du blocus maritime de Gaza. La quasi totalité des grandes démocraties occidentales ne participera pas à la mascarade antisémite de Durban III. Et s'ils se portent devant le Conseil de Sécurité, ils s'y heurteront au veto des Etats-Unis. Ils n'ont pas obtenu - et ils seront de moins en moins en position d'obtenir - le soutien unanime de l'Union Eurabe, de plus en plus divisée ( et ce n'est qu'un début ! ... ) quant à l'attitude à avoir envers un groupuscule, le Fata'h, que son intransigeance rend de moins en moins fréquentable et de moins en moins crédible.

Cela étant, je crains des tentatives sanglantes, en Eretz, de ces guignolos. Parce que c'est désormais leur seule porte de sortie.
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 18 Septembre 2011 à 22:18
Et oui Edmond, tout ça pour ça, mais je dois avouer que ça me plairait quand meme qu'il ait un ego si fort qu'il fasse quand meme sa demande à l'ONU, ça nous ouvrirait une fenetre d'oportunité pour annuler ce qui doit l'etre et annexer ce qui doit l'etre, en attendant attendons le 20, et gardons un oeil sur la turquie qui joue les voyoux,,,

Edmond, haverim je vais etre absent quelque temps ,au moins pour 2 semaines je vais etre assez occupé, donc si vous n'avez aucun post de ma part c'est que je m'occupe de desinfection.

En attendant erev tov et chavouah Tov à tous, que HM vous protege et vous benisse
Envoyé par Israel, Eden_001 - le Dimanche 18 Septembre 2011 à 22:47
Tentative désespérée de l'Europe de prendre Israël en tenaille, la turquie, l'iran, la syrie, le liban, l'égypte et même la jordanie, vont-ils se risquer dans une confrontation militaire avec Israël, avec un cessé le feu déjà signé dans les tiroirs de l'ONU !

L'exploitation du gaz au large d'Haïfa est prévue pour 2012, quant au milliard de barils attendant au large d'Ashdod, pas besoin au travers de ce miracle, de vouloir nier l'avénement un bond inespéré pour l'économie israélienne.

Alors un dernier petit sursaut avant une mort certaine pour les ennemis moribonds d'Israël se prépare mollement au sein d'une alliance entre l'Europe et les turques, un espèce de deal suite au refus des européens d'accepter les turques dans leur Europe vieillissante.

Tous ces rebonds, turques, arabes de Judée-Samarie et autres bouffons ne sont que des menaces afin de perturber les avances israéliennes en matière de forages, mais ils sont terriblement en retard et si les turques débarquent au liban pour pomper le gaz et le pétrole concentrer dans la zone nord, il faudra faire tomber el assad, mais devront-ils faire pour autant alliance avec le hizbollah et le hamas, bon courage !!!
Envoyé par Moshé_007 - le Dimanche 18 Septembre 2011 à 22:48
Besseder ISRAEL Prends soin de toi aussi qu'Hachem te protège Tu vas nous manquer
Laïla tov à toi et Emond et tous les couche-tard
Envoyé par Judith - le Dimanche 18 Septembre 2011 à 23:13
Bonsoir, Israël Eden. Moi aussi, ça me plairait que ces saltimbanques finissent par se prendre les pieds dans le tapis ... et nous fournissent l'occasion de sortir des funestes accords d'Oslo.

Bon courage et bonne réussite, 'haver, pour tes activités.

Ne t'inquiète pas : même en ton absence, le bon combat continuera d'être livré sur ce site : on va garder la boutique et tu la retrouveras en bon état de fonctionnement quand tu reviendras.

Chavouah tov. Que la protection et la bénédiction de HM soient sur toi.
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 18 Septembre 2011 à 23:14
Merci, chère Judith. Laila tov à toi aussi.
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 18 Septembre 2011 à 23:16
110 parlementaires français : “nous nous opposons à la reconnaissance unilatérale palestinienne”

Rédigé par JSS le Sep 18th, 2011 and filed under Grands Discours. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce au RSS 2.0. Vous pouvez laisser une réponse ou un trackback à cet article

Plus de 100 parlementaires français, du Sénat et de l’Assemblée Nationale, ont envoyé et publié une lettre ouverte au Président français Nicolas Sarkozy pour qu’il use du véto de la France lorsque les palestiniens demanderont la création d’un Etat, de manière unilatérale, et sans négociation de paix préalable.

Si tout le monde s’accorde à dire qu’un Etat Palestinien doit voir le jour, il est clair pour les parlementaires français que la création de cet Etat sans efforts de paix au préalable n’arrangera en rien la situation.

Les dernières déclarations antisémites (“Etat Palestinien nettoyé des juifs”) faites par plusieurs “ambassadeurs palestiniens” à travers le monde ces derniers jours, n’ont visiblement pas aidé les partisans anti-israéliens.

Quoi qu’il en soit, les signataires pressent Nicolas Sarkozy d’user du droit de veto de la France en cas de saisine du Conseil de sécurité par Mahmoud Abbas. Initié par les présidents des groupes d’amitié France-Israël à l’Assemblée nationale et au Sénat, Claude Goasguen (UMP) et Jean-Pierre Plancade (RDSE), le texte réunit des élus de droite, du centre et de gauche.


Monsieur le Président de la République,

Nous, parlementaires français issus de la majorité présidentielle et des rangs de l’opposition, réaffirmons notre engagement en faveur d’une résolution pacifique et négociée du conflit israélo-palestinien reposant sur le principe de deux Etats pour deux peuples.

Nous sommes convaincus que seule la voie du dialogue peut garantir l’établissement d’une paix juste et durable. Aussi, nous appelons Israéliens et Palestiniens à reprendre sans plus tarder le chemin des pourparlers et les exhortons à s’abstenir de toute démarche unilatérale.

C’est la raison pour laquelle, nous nous opposons à la stratégie de contournement des négociations visant à imposer la reconnaissance unilatérale d’un Etat palestinien lors de la session de septembre de l’Assemblée générale des Nations Unies.

Certes, le chemin qui mène à la paix est parsemé d’obstacles et le blocage actuel des pourparlers pourrait conduire un certain nombre d’entre nous à estimer qu’une telle démarche est frappée au coin du bon sens.

Elle est en réalité dangereuse, contreproductive et illusoire. Dangereuse, car loin de résoudre le conflit, elle ne fera que le perpétuer et l’exacerber en suscitant des attentes au sein de la population palestinienne que la réalité du terrain ne saurait combler. La frustration générée par ces attentes déçues pourrait alors rapidement déboucher sur un nouveau cycle de violences. Cette démarche est également contreproductive et illusoire, car aucune « solution miracle » ne soustraira les parties à la laborieuse mais nécessaire négociation des dossiers relatifs au statut permanent (Jérusalem, les frontières, la sécurité, les implantations, les réfugiés, l’eau) sans laquelle aucune paix n’est envisageable.

Il n’y a en effet pas d’alternative aux négociations qui implique de part et d’autre des concessions douloureuses. Comme l’a rappelé le Président américain Barack Obama lors de son allocution du 19 mai 2011 devant le Département d’Etat, une paix durable et équitable n’est possible qu’au moyen d’une approche reposant sur une démarche de type bilatérale. “Les actes symboliques destinés à isoler Israël aux Nations unies en septembre ne créeront pas un Etat indépendant”, a-t-il ajouté.

Cette position a été récemment réaffirmée par le Président du Parlement européen, Jerzy Busek, qui a estimé pour sa part lors d’une conférence de presse le 15 juin 2011 à Ramallah, que la reconnaissance unilatérale d’un Etat palestinien serait «… inutile et dangereuse ».

De même, au sein de l’Autorité palestinienne, cette stratégie de contournement des négociations est loin de faire l’unanimité. Le Premier ministre palestinien Salam Fayyad a publiquement fait part de ses doutes quant au bien fondé d’une telle démarche. Elle ne fera, selon lui, pas avancer la cause palestinienne et risquerait au contraire d’éloigner son peuple de la réalisation de sa légitime aspiration.

En outre, cette manœuvre politique sape les fondements juridiques sur lesquels repose le processus de paix et viole les accords conclus entre Israël et l’Autorité palestinienne, accords dont la France et avec elle, l’ensemble de la communauté internationale, se sont portées garantes.

En effet, les résolutions 242 (1967) et 338 (1973) du Conseil de Sécurité de l’ONU, les accords d’Oslo (1993) et la Feuille de route adoptée par le Quartet (Nations-Unies, Etats-Unis, Russie, Union Européenne), rejettent toute démarche unilatérale et invitent les parties à négocier ensemble une résolution du conflit reposant sur le principe de « deux Etats pour deux peuples vivant côte à côte dans la paix et la sécurité ». Ce principe à été rappelé à de maintes reprises, notamment en Février 2011 par le Quartet qui « …réaffirme qu’une action unilatérale de l’une ou de l’autre des parties en présence ne peut anticiper sur les négociations à venir et ne serait pas reconnue par la communauté internationale. »

Par ailleurs, la reconnaissance unilatérale d’un Etat palestinien conduira les parties dans une impasse et condamnera le processus de paix à une mort certaine. Elle limitera inévitablement les marges de manœuvre de la direction palestinienne et sa capacité à faire des compromis. Toute concession sera à l’avenir interprétée et vécue par la population palestinienne comme un renoncement et un recul inacceptable.

De même, elle enterrera définitivement les espoirs des partisans Israéliens et Palestiniens de la paix qui n’ont cessé d’œuvrer en faveur d’une solution négociée depuis l’inauguration du processus de paix à Madrid en 1991. Elle les marginalisera au profit des extrémistes qui refusent toute concession et n’hésitent pas à recourir à la violence.

Enfin, cette démarche unilatérale mettra en péril la coopération israélo-palestinienne dans les domaines de l’économie et de la sécurité qui a permis une croissance sans précédent en Cisjordanie et l’instauration d’un calme relatif dans les Territoires placés sous le contrôle de l’Autorité palestinienne. Elle conduira les parties à durcir leurs positions et risquerait de précipiter un nouvel affrontement à l’heure où les incertitudes planent sur l’avenir d’une région instable qui connaît de profonds bouleversements.

Nous savons toute l’attention que votre gouvernement porte au processus de paix au Proche-Orient et partageons avec vous le souhait que la France et ses partenaires européens jouent un rôle plus actif dans les pourparlers israélo-palestiniens.

C’est pourquoi nous vous demandons solennellement, Monsieur le Président de la République, de réaffirmer l’engagement de la France en faveur d’une solution négociée au conflit en vous opposant à la résolution visant à imposer de manière unilatérale la reconnaissance d’un Etat palestinien. Seul un retour à la table des négociations et des concessions réciproques reposant sur le principe d’une reconnaissance mutuelle garantira l’établissement d’une paix juste et durable entre Israéliens et Palestiniens.

Nous vous prions de croire, Monsieur le Président de la République, en l’assurance de notre plus haute considération.

Signataires:

Claude Goasguen, Union pour un Mouvement Populaire, Député, ancien ministre
Jean-Pierre Plancade, Rassemblement Démocratique et Social Européen, sénateur
Jean-Michel Baylet, Président du Parti Radical de gauche, sénateur, ancien ministre
Patrick Beaudoin, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
Herve Mariton, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire, ancien ministre
Yvon Collin, Président du groupe du Rassemblement démocratique et social européen(RDSE), Sénateur
Michel Hunault, Nouveau Centre, Député
Didier Quentin, Union pour un Mouvement Populaire, Vice-président de la commission desAffaires européennes, ministre plénipotentiaire, Député-maire
Stéphane Demilly, Nouveau Centre, Vice-président de la commission du développementdurable et de l’aménagement du territoire, Député-maire
Monique Iborra, membre du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche, Vice- président du conseil régional de Midi-Pyrénées, Députée
Jean-Marie Le Guen, Membre du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche,adjoint au maire de Paris, Député
Sylvie Desmarescaux, non affiliée, sénatrice-maire
Jean Lasalle, Vice-président du Modem, Député
Raymond Couderc, Union pour un Mouvement Populaire, sénateur-maire
Jean-Marie Bockel, Rassemblement Démocratique et Social Européen, sénateur, ancien ministre
Serge Blisko, Membre du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche, Député
Emile Blessig, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
Paul Giaccobi, Apparenté groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche, Président duConseil exécutif de l’Assemblée de Corse, secrétaire de l’Assemblée nationale, Député
Eric Raoult, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire, ancien ministre20)
Madec Roger, Membre du groupe socialiste, sénateur-maire
Jacques Remiller, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
Jean-Pierre Leleux, Union pour un Mouvement Populaire, sénateur-maire
Faucaunier Alain, Membre du groupe socialiste, Sénateur-Maire
Herbillon, Union pour un Mouvement Populaire, Vice-président de la commission des affaires culturelles et de l’éducation, Député-maire
Yves Dauges, Membre du groupe socialiste, sénateur
Marie-Louise Fort, Union pour un Mouvement Populaire, Députée
Yvan Lachaud, Président du groupe Nouveau Centre, à l’Assemblée Nationale, Député
Jean-Luc Préel, Nouveau Centre, Vice-président de la commission des affaires sociales,Député
Étienne Mourrut, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
George Paul-Langevin, Vice-présidente du Groupe socialiste, radical, citoyen et diversgauche, Députée
Jacques Gautier, Union pour un Mouvement Populaire, sénateur-maire
Philippe Gosselin, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
Nicole Bricq, membre du groupe socialiste, Vice-présidente de la commission des finances,sénatrice
Philippe Vitel, Union pour un Mouvement Populaire, Vice-président de la commission de ladéfense nationale et des forces armées, Député
Jean-Claude Frécon, Membre du groupe socialiste, sénateur-maire
Joëlle Garriaud-Maylam, Union pour un Mouvement Populaire, secrétaire de lacommission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, Vice-présidente de lacommission sur la dimension civile de la sécurité au sein de l’Assemblée parlementaire del’OTAN, sénatrice
Daniel Mach, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
Jean-François Mancel Union pour un Mouvement Populaire, Député
Valéry Boyer, Union pour un Mouvement Populaire, Députée
Michel Voisin, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire, Vice-président de lacommission de la défense nationale et des forces armées, Député
Paul Jeanneteau, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
Mélot Colette, Union pour un Mouvement Populaire, Vice-présidente de la commission de laculture, de l’éducation et de la communication, sénatrice
Simon Sutour, Membre du groupe socialiste, Vice-président de la commission des Affaireseuropéennes, sénateur
Arlette Grosskost, Union pour un Mouvement Populaire, Députée
Rudy Salles, Vice-président du Nouveau Centre, Vice-président de l’Assemblée nationale,Député
Anne Grommerch, Union pour un Mouvement Populaire, Députée
Herve Maurey, Union centriste, sénateur-maire
Bernard Debré, Union pour un Mouvement Populaire, Député, ancien ministre
Isabelle Vasseur, Union pour un Mouvement Populaire, Députée-maire
Jean-François Humbert, Union pour un Mouvement Populaire, sénateur
Dominique Tian, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
Françoise Branget, Union pour un Mouvement Populaire, Députée
Éric Straumann, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
Richard Dell’Agnola, Union pour un Mouvement Populaire, Député
Marcel Bonnot, Union pour un Mouvement Populaire, Député
Jacques Grosperrin, Union pour un Mouvement Populaire, Député
Gilbert Barbier, Rassemblement Démocratique et Social Européen, Vice-président de lacommission des affaires sociales, sénateur
Laurent Béteille, Union pour un Mouvement Populaire, sénateur-maire
Serge Lagauche, Membre du groupe socialiste, Vice-président de la culture, de l’éducationet de la communication, sénateur
Bernadette Dupont, Union pour un Mouvement Populaire, sénatrice
Olivier Dassault, Union pour un Mouvement Populaire, Député
Armand Jung, membre du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche, Député
Pierre-Christophe Baguet, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
Jacques Kossowski, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
Geneviève Lévy, Union pour un Mouvement Populaire, Députée
Brigitte Baragès, Union pour un Mouvement Populaire, Députée-maire
Françoise Hostalier, Union pour un Mouvement Populaire, Députée
Marc Bernier, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
Michel Sordi, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
André Schneider, Union pour un Mouvement Populaire, Vice-Président de la délégationfrançaise à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, Député
Lionnel Luca, Union pour un Mouvement Populaire, Co-président de la Droite populaireDéputé
Roland Blum, Union pour un Mouvement Populaire, Premier Adjoint au Maire de Marseille, Député
Bruno Gilles, Union pour un Mouvement Populaire, sénateur-maire
Richard Mallié, Union pour un Mouvement Populaire, Questeur de l’Assembléenationale, Député
Hoffman-Rispal Danièle, Membre du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche,Députée
Jean-Claude Guibal, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire7
Colette Giudicelli, Union pour un Mouvement Populaire, sénatrice
Marie-Françoise Pérol-Dumont, Membre du groupe socialiste, radical, citoyen et diversgauche, Présidente du conseil général de Haute-Vienne, Députée
Georges Mothron, Union pour un Mouvement Populaire, Premier Vice-président du conseilgénéral du Val d’Oise, Député-maire
Paul Durieu, Union pour un Mouvement Populaire, Député
Jean-Christophe Lagarde, Président exécutif du Nouveau centre, Vice-président del’Assemblée nationale, Député-maire
Dino Cinieri,Union pour un Mouvement Populaire, Député
Daniel Spagnou, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
Francis Grignon, Union pour un Mouvement Populaire, sénateur
René Beaumont, Union pour un Mouvement Populaire, sénateur
Jean-marc Lefranc, Union pour un Mouvement Populaire, Député
Guy Teissier, Union pour un Mouvement Populaire, Président de la commission de ladéfense et des forces armées, Député-maire
Jean-Jacques Urvoas, Membre du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche, Vice- président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, Député
Jean-Marie Sermier, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
Christiane Demontès, Membre du groupe socialiste, Secrétaire du Sénat, Sénatrice-maire
Bernard Deflesselles, Union pour un Mouvement Populaire, Député
Christian Kert, Union pour un Mouvement Populaire, Vice-président de la commission desaffaires culturelles et de l’éducation, Député
Jérôme Chartier,Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
Claude Gatignol, Union pour un Mouvement Populaire, Député
Nicolas Forissier, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire, ancien ministre
Jean-Marc Roubaud, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
David Habib, Membre du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche, Député-maire
Henriette Martinez, Union pour un Mouvement Populaire, Présidente déléguée de la section française de l’Assemblée parlementaire de la francophonie, Députée
Françoise de Panafieu, Union pour un Mouvement Populaire, Conseillère de Paris, Vice- président du groupe UMP à l’Assemblée nationale, ancienne ministre, Députée
Michèle Tabarot, Union pour un Mouvement Populaire,Présidente de la commissiondes affaires culturelles de l’Assemblée Nationale, Députée-maire
Jean René Lecerf , Union pour un Mouvement Populaire,Vice-Président de lacommissiondes lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administrationgénérale, Vice-Président du conseil général du Nord, sénateur-maire
Patrick Bloche, Membre du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche, Conseiller de Paris, Député-maire du 11ème arrondissement de Paris
Jean-Luc Bennahmias, Vice-président du Modem, Député européen
Alain Moyne-Bressand, Union pour un Mouvement Populaire, Député-maire
Christophe-André Frassa, Union pour un Mouvement Populaire, sénateur
Valérie Rosso-Debord, Union pour un Mouvement Populaire, Députée
André Vallini, Membre du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche, Conseiller de Paris, Porte-parole du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, Député-maire
Guénhaël Huet, Union pour un Mouvement Populaire, Député
François Pupponi , Membre du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche,Conseiller de Paris, Député-maire.
Non-notifié
Envoyé par Judith - le Dimanche 18 Septembre 2011 à 23:58
Yoram Elron: “nous sommes confrontés à une autre menace majeure”

Rédigé par JSS le Apr 21st, 2010 and filed under Israël-Relations internationales, Israël-Territoires Disputés. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce au RSS 2.0. Vous pouvez laisser une réponse ou un trackback à cet article

A l’heure ou mon pays fête ses 62 ans d’indépendance, je me rappelle à quel point jz suis chanceux d’être né à une époque où l’État d’Israël existait déjà. Avoir notre propre pays m’a donné, en tant que Juif, un sentiment de sécurité en sachant que mon peuple ne sera plus soumis à la persécution et l’oppression. Je suis également rassuré en sachant que mon pays fera tout ce qui est possible, ou non, pour protéger ses citoyens contre le mal.

Mes parents, nés en Allemagne au début du 20ème siècle, n’ont pas été aussi chanceux que moi. La montée d’Adolf Hitler, la violence, l’antisémitisme… Puis la fuite vers la Grande Bretagne ou les anglais ont détenus mon grand-père et mon oncle car ils étaient allemands, indépendamment du fait qu’ils étaient juifs.
Mon père a décidé à l’adolescence, après la montée du nazisme, d’immigrer en Palestine britannique, alors terre stérile dans un environnement hostile. Lorsque les États arabes voisins ont envahi notre pays nouvellement créé en mai 1948, il a été témoin d’une guerre qui nous a coûté plus de 6000 vies, soit 1% de la population totale à l’époque.

Notre indépendance ne nous a pas été livrée sur un plateau d’argent, mais plutôt par le sang, la sueur et de labeur dans les visages de l’anéantissement, seulement trois ans après l’Holocauste. Depuis l’indépendance, nous avons vécu dans un état de guerre permanent. Et bien qu’en infériorité numérique, nous comprenons très bien que si jamais nous perdons une guerre, ce sera dès lors la fin de l’existence de notre état.

Je me souviens avoir connu des moments de grande anxiété. Au cours de la guerre des Six Jours en 1967, je pouvais entendre le bruit des bombes jordanienne à seulement 200 m de ma maison de Jérusalem. Je me souviens de l’expression de la peur sur le visage de mon père quand nous avons entendu à la radio pendant la guerre du Kippour en 1973 que les soldats égyptiens avaient pris possession de la plupart de nos positions sur la ligne Bar Lev dans le Sinaï. De mon service militaire dans le nord d’Israël, j’ai des souvenirs vifs de l’horrible sifflement des roquettes Katyusha lancées depuis le Liban.

Aujourd’hui, après des décennies d’attentats suicide barbares, nous sommes confrontés à une autre menace majeure, celle d’un Iran nucléaire, qui menace de rayer Israël de la carte, tout en préconisant une version révisionniste de l’histoire qui nie l’existence de l’Holocauste.

Comme tous les Israéliens, je suis fier du fait que nous avons réussi à bâtir une nation dynamique pour nous-mêmes en dépit de cette menace constante pour notre existence même.

(…)

En tant que diplomate, je considère que c’est un privilège de servir mon pays à l’étranger. L’un des principes directeurs de la diplomatie israélienne a toujours été d’utiliser l’expertise que nous avons acquise au fil des ans pour aider les pays moins développés et plus jeune à l’élaboration de leurs infrastructures. Le point culminant de ma carrière était de servir comme ambassadeur au Cameroun, où nous avons lancé de nombreux projets dans les domaines de l’agriculture, la médecine, le développement rural et de l’éducation. Le plus émouvant pour moi a été d’assister aux “camps des yeux” que les ophtalmologistes bénévoles israéliens ont mis en place afin d’effectuer des dizaines d’opérations de la cataracte pour la population locale. Voir les expressions de joie sur les visages de ceux qui ont retrouvé leur acuité visuelle est une expérience inestimable.

Néanmoins, agir comme un diplomate israélien, c’est aussi avoir à affronter des obstacles uniques liées à la critique quotidienne. Bien que la critique rationnelle et raisonnable d’Israël soit légitime, ce à quoi nous assistons aujourd’hui est un Etat d’Israël faisant face à un deux poids, deux mesures.

Alors que nous entrons dans notre 62 e année de l’indépendance, j’espère sincèrement que le monde verra Israël et les Israéliens vraiment comme nous sommes. Plus important encore, j’espère que cette année apportera la paix entre nous et tous nos voisins, et que nous venions ensemble, dans l’amitié, travailler côte à côte à la construction de notre région, de notre terre, en pleine coopération et prospérité pour le bénéfice de tous les peuples.

Par Yoram Elron – texte original en anglais, adapté (et coupé) en français par JSSNews. Mr Elron est consul général d’Israël pour le Québec et les provinces de l’Atlantique.
Envoyé par Judith - le Lundi 19 Septembre 2011 à 00:02
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