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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientUn nouveau Moyen-Orient, version turqueLe ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu, a présenté la vision de son pays pour une domination régionale et une coopération stratégique avec l'Egypte qui jettera de l'ombre sur Israël et la Syrie -ex-partenaires d'Ankara- devenus des ''pays isolés et qui sombrent'', selon ses termes. Peu avant son départ pour l'Assemblée générale de l'Onu, Davutoglu a indiqué dans une interview au New York Times qu'''Israël porte seul l'entière responsabilité de la dégradation de ses relations avec la Turquie''. Il a parallèlement qualifié le président syrien Bachar al-Assad de ''menteur'', et estimé que les Etats-Unis perdaient du terrain, avant de conclure à ''la création d'un véritable axe démocratique depuis la mer Noire jusqu'aux confins du Nil''... 8 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 30 minutes
L'une des forces du monde arabo-musulman fut, tout au long du XXe siècle, la bénédiction pétrolière. De cette énorme manne, les Arabes ont fait puissance, de nuisance surtout ; mais ils n'ont pas transformé leurs pays en puissances économiques : pas de Corée du Sud, de Chine, de Singapour, d'Inde, parmi les pays arabes.
Il risque d'arriver au monde arabe ce qui est arrivé à l'Espagne : formidable puissance militaire et diplomatique auXVIe siècle et pendant la première moitié du XVIIe, appuyée sur l'or et l'argent du Nouveau Monde ; mais incapacité profonde à transformer ces flots de métaux précieux en développement économique. La roue est en train de tourner et le monde arabe a manqué son heure : la quasi-totalité des pays arabes pétroliers ont atteint et même dépassé le " peak, oil " .
Des Etats pétroliers dont le déclin est prévisible à l'horizon 2030-2040. Une puissance démographique ( l'Egypte ) étranglée par sa démographie même. Un monde arabo-musulman dont toutes les énergies et tous les rêves sont tendus vers la haine des Juifs, la haine de l'Occident,
hitler a fait la guerre avec une économie allemande travaillant a plein rendement alors que l'économie turque (comme l'egyptienne) est en train de piquer du nez (deficit budgétaire actuel a 11 % du GDP
Je me marre !
les fantasmes mythico-historiques ( restauration du Califat ; retour aux valeurs des Salafs ; désoccultation du XIIe imâm ; etc. ) - alors que l'état de l'enseignement et de la recherche est, dans la plupart des cas, lamentable et, dans tous les cas, hors de toute proportion et par rapport à la puissance financière ( pétro-dollars ) et par rapport à la puissance démographique ... Les perspectives, à mon avis, sont très sombres pour le monde arabo-musulman.
Il risque donc de se retourner vers ce qui a toujours été à travers les âges la grande ressource historique de l'Islâm : la guerre et la conquête.
Dans toute cette affaire, ce qui frappe, c'est la grande faillite historique des élites. Celles-ci se sont attachées à toutes les guenilles idéologiques fournies successivement par ... mais oui, ne cherchons pas : par l'Europe : nationalisme - socialisme - fascisme ... La quasi-totalité des intellectuels égyptiens, au lieu de se jeter dans la bataille de l'éducation et de la science, s'est consumée au brasier de la haine antisémite. L'antisémitisme, la haine d'Israël, des Juifs, de l'Occident ont tenu lieu de tout, ont servi de substitut universel.
il me semble que la menace iranienne est toujours prioritaire (enrichissement croissant de U)
La turquie ne bougera pas .
Je disais ( sur le fil de discussion " Energie : La Turquie montre les dents ... ) que je croyais la Turquie incapable de rembourser sa dette. Je lis à l'instant ici et là que l'on s'attend à une banqueroute de le Grèce, voire qu'on la préconise ( il paraît que DSK se serait prononcé hier en ce sens ; de même, me semble-t-il, quev le FMI par la voix de son représentant permanent en Grèce ).