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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

La reconnaissance de la Palestine, et après'

Dans les prochains jours, la question des droits, de l'unité et de la reconnaissance de l'Etat palestinien sera beaucoup évoquée au sein des Nations unies et dans les capitales du monde. L'Organisation de libération de la Palestine (OLP) ? le premier mouvement nationaliste palestinien ? parviendra soit à obtenir le nouveau statut d'«Etat observateur non membre» de l'ONU, soit à faire adopter une résolution de l'Assemblée générale en faveur de la reconnaissance d'un Etat palestinien.
Mais au-delà des expressions de solidarité, des célébrations et du battage médiatique, une réalité beaucoup plus sombre se profile à l'horizon: le mouvement national palestinien est désormais fracturé, ce qui a de graves conséquences sur la paix entre Israël et la Palestine, sur la stabilité de la région et sur les Palestiniens eux-mêmes.
Les Palestiniens sont un peuple dont la cause est convaincante et juste; leur nationalisme et leur attachement à la Palestine ne peuvent être atténués ou effacés facilement. Il suffit de regarder les Juifs de la diaspora, dont l'attachement et le désir d'une terre d'Israël a résisté à des siècles de déracinement, de persécutions, et même à un génocide.
Pourtant, l'éthique, la moralité et la mémoire ne sont pas les seuls à faire l'histoire; la géographie, la démographie et le pouvoir politique jouent également un rôle important. Sur ce point, l'histoire palestinienne est ... Lire la suite
3 commentaires
" Les Palestiniens sont un peuple dont la cause est convaincante et juste ... ", selon Aaron David Miller, l'auteur de cet article sur " Slate " .
J'ai déjà eu l'occasion, il y a quelques jours, de préciser ici qui est exactement Aaron David Miller. Mais j'y reviens : aujourd'hui chercheur dans l'un des principaux " think tanks " de la gauche du parti démocrate, le " Woodrow Wilson International Center for Scholars " , Aaron David Miller appartient au petit groupe de ceux qui, depuis plusieurs années, élaborent la politique pro-palestinienne du Département d'Etat, et ce, aussi bien sous des Présidents démocrates que sous des Présidents républicains. Il fut conseiller politique poour le Proche-Orient des républicains Schultz ( celui-ci,, très lié aux Séoudiens ) et James Baker, sous l'autorité desquels il prépara la mise en place de la conférence de Madrid ( 1991 ). Sous Bill Clinton, il fut l'un des principaux concepteurs et activistes des funestes accords d'Oslo.
Envoyé par Edmond_002 - le Vendredi 23 Septembre 2011 à 08:34
APRES LA CISJORDANIE IL N'Y AURA PLUS QU'A REVENDIQUER LE RESTE:
Même si a Dieu ne plaise les arabes de Palestine obtenaient ce qu’ils demandent à l’ONU, un état dans les « frontières de 67 » avec Jérusalem-est comme capitale, cela n’éteindrait pas leurs revendications comme le prouve l’article ci-dessous écrit par un éminent politologue italien qui m’a l’air bien pétri de palestinisme :
« Des revendications insuffisantes
Surtout, le mouvement Hamas affirme que la reconnaissance d'un État sur les lignes du 4 juin 1967, c'est-à-dire la Cisjordanie, la bande de Gaza et Jérusalem-Est est insuffisante. Non seulement cela implique de renoncer à un État comprenant la totalité de la Palestine historique mais cela ferait aussi «perdre le levier de négociation qu'est le premier plan de partage de l'ONU, de 1947, qui donnait beaucoup plus de terres aux Palestiniens», explique dans le Felesteen, journal affilié au Hamas, son rédacteur en chef Mustafa as-Sawaf. Cela revient en même temps à reconnaître la souveraineté de l'État d'Israël, ce que le Hamas a toujours refusé de faire, «même si en pratique, le fait d'accepter les accords d'Oslo afin de participer aux élections administratives en 2005 et législatives en 2006 impliquait la reconnaissance d'Israël», nuance Riccardo Bocco. En fait, il est bien possible que le Hamas ne reconnaisse formellement Israël que le jour où ce sera réciproque».(à suivre)
Envoyé par Serge_067 - le Vendredi 23 Septembre 2011 à 10:00
(Suite)
Ensuite, la démarche d'Abbas ne traite pas du «droit au retour» des réfugiés vivant dans les pays arabes avoisinants. Le Hamas tient à ce que ces Palestiniens puissent retourner dans les villages qu'ils ont quittés en 1948, y compris à l'intérieur d'Israël. Ainsi, si la demande aboutissait, le Hamas estime que les Palestiniens feraient beaucoup de sacrifices pour une victoire somme toute symbolique qui n'améliorerait pas les conditions de vie sur le terrain, puisque «l'Occupation dominerait encore les territoires palestiniens», écrit Mustafa as-Sawaf. »
Que pèsera alors Abbas qui n’est même plus élu depuis 2009 face aux islamistes qui reprendront la main et qui mettront à la poubelle tous ses engagements ?
Israël a fait l’amère expérience avec Gaza que l’équation la terre contre la Paix était un leurre. Il faut etre journaliste à Haharetz pour croire encore à ces balivernes et oser écrire « les cinquante raisons qu’a Israël d’accepter un état palestinien » à 15 km de Tel-Aviv !!
Envoyé par Serge_067 - le Vendredi 23 Septembre 2011 à 10:01
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 59 minutes