Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

C'est la chanson que chantent aussi Mme Tzipi Livni et toute la gauche ...
1/ - Ca fait des mois que Benyamin Netanyahu propose à Mahmoud Abbas de négocier - sans aucun autre résultat que d'entendre celui-ci poser sans cesse des préalables.
2/ - Les liens avec les autorités politico-militaires égyptiennes ne sont pas à rétablir pour la bonne raison qu'Israël est extrêmement soucieux de les préserver, - malgré les discours incendiaires, les attentats répétés contre le gazoduc, les attentats à Eilat.
3/ - Là aussi, Israël évite soigneusement de tomber dans le piège des provocations ( la dernière en date ; le gouvernement turc asticote les cargos commerciaux israéliens en Méditerranée orientale ).

Tout cela, M. Leon Panetta le sait parfaitement. Ses déclarations ont donc pour but de faire en sorte qu'Israël apparaisse comme le " bad guy " par la faute de qui tout est bloqué - ce qui lui retombe sur le dos sous les espèces de " l'isolement " . Mais apparaisse à qui ? ... - Car il est intéressant que M. Panetta fasse ces déclarations au moment même où, chez lui, aux Etats-Unis, le Congrès menace de sucrer 200 millions de dollars de subventions aux Arabes " palestiniens " et à la veille d'un veto américain probable au Conseil de Sécurité. Au moment aussi où Durban III apparaît déjà comme devant être un fiasco - toutes les démocraties ( à l'exception de l'émirat de Belgique ) s'étant récusées.
Leon Panetta sait donc parfaitement qu'Israël est beaucoup moins " isolé "

(suite)

que ne le prétend la propagande arabo-" palestinienne " dont il reprend le refrain. Il sait sans doute aussi que, s'il s'aventurait à chantonner cette chansonnette aux Etats-Unis mêmes, il ne tarderait pas à être démenti de toutes parts, y compris de la part de nombreux membres et élus du parti démocrate.

Donc, ces déclarations n'ont qu'un seul objectif : faire pression sur l'opinion israélienne, tenter de l'effrayer et la pousser dans les bras de Mme Livni ... Leon Panetta va avoir du mal, beaucoup de mal ...

A tous et toutes CHANA TOVA ! !!!!!! que soit duouce comme le miel.

Mieux vaut etre isolé et vivant que regretté dans la tombe
Shana Tova a Tous,

Peut-etre ? mais quelle vie , ça c'est une vie? just à la creation de l' Etat d' Israêl c' etait la vie de tous les juifs, sans patrie, au bien vouloir des autorites de l' endroit ou ils se trouverent, toujours avec une épé d' damocles sur la tête, et aujourd' hui carrement ont veut exploser toute Israêl comme en 70 l' ont fait les romains, et tous ce qu' ont suivi veulent la même chose,! accusant sans fondement le peuple juif, l' Etat Juif, ses terres, son histoire, sont patrimoine, ses lois, ses croyances, falsifiant, et accomodant a leur gré les lois....

la faute à qui??
Merci Obama qui des son élections à mis un point d'honneur pour que Israël gèle ses constructions en Judée avant toute négociation avec les palestiniens; et son discours au Caire été loin d’être pro israélien.
les USA ont encouragé les printemps arabes et comme toujours sans pensé aux solutions pour chaque pays et en abandonnant leurs ex alliés( le président Moubarak,)comme ils avait fait ça avec le chah d’Iran.
maintenant que leurs politique arabes s'appuie sur la Turquie ils mettent la pression sur Israël.

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Cela dit, il est vrai que, sur le plan régional, les révolutions du prétendu " printemps arabe " font peser un risque que l'on voit fort bien se configurer en Egypte : la solidarisation de gouvernements islamistes, ou fortement influencés par les islamistes, avec les tendances les plus extrêmes du palestinisme. Une solidarisation qui pourrait aller jusqu'à la guerre ( c'est exactement cela qu'est en train de mimer Recep Tayyip Erdogan ). Depuis l'époque 1979-1993, on a traversé une longue période au cours de laquelle la guerre à dominante étatique, ou intra-étatique ( type : 1948-49 ; 1967 ; 1973 ) n'était plus tellement à l'ordre du jour, dans les rapports entre Israël et les Arabes, remplacée, si l'on peut dire, par un mixte de pressions politico-diplomatiques ( dont les accords d'Oslo sont si l'on peut dire le " chef-d'oeuvre " ) et de pressions terroristes. On peut penser que l'on est entré dans la phase de clôture de cette période ( l'échec prévisible de Mahmoud Abbas à l'ONU en sera le signe ). Du coup, l'hypothèse d'une nouvelle période, au cours de laquelle des gouvernements de type " Frères Musulmans " pourraient envisager à nouveau de résoudre les questions par des opérations militaires de grande envergure ( = la guerre étatique ) coordonnées au terrorisme, redevient, je crois, une possibilité ...