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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientShalit libre : Netanyahou vivement critiqué dans un éditorial du New York TimesUn éditorial du New York Times critique avec virulence le Premier ministre Binyamin Netanyahou pour avoir fait des compromis afin d’arracher la libération de Guilad Shalit, tout en étant peu disposés à agir de la sorte afin de relancer les négociations de paix avec les Palestiniens. "M. Abbas devrait considérer cet échange de prisonniers pour ce qu'il est : un défi à son autorité et à sa crédibilité. Quant à M. Netanyahou, nous avons vu mardi que le problème n'est pas qu'il ne puisse transiger et faire des choix difficiles. C'est qu’il ne le fera pas. Et cela n’assurera pas davantage la sécurité d'Israël." Articles connexes
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Dernière mise à jour, il y a 26 minutes
Ce que j'avançais dans d'autres fils de discussion se confirme et se précise : les partisans à Washington et en Eurabie de l'AP ( et de ce qu'elle charrie et incarne : la pseudo - " solutions à deux Etats " et les accords d'Oslo ) sont furieux du contrepied de Bibi, non pas tant parce qu'il remet en liberté un millier d'assassins patentés, mais parce qu'il enfonce encore un peu plus le tueur de Ma'alot et sa bande.
Il est très intéressant de voir que le " NYT " crédite Bibi de la capacité de " faire des choix difficiles " . Car ce qu'on lui reproche - dans les milieux Obama, Clintons, " J-Street " et Cie - c'est qu'il ne fait pas LES choix difficiles qu'on voudrait lui voir faire - en clair : céder sur des points comme : la construction juive en Judée-Samarie et à Jérusalem et les prétendues " frontières de 1967 " .
Si j'osais, je dirais que c'est la deuxième fois que ceux qui veulent piéger Israël dans une logique de capitulation politique ( celle qui découle des funestes accords d'Oslo ) se font piéger par Bibi.
La première fois, c'était ( et en beauté ! ) lors de son voyage aux Etats-Unis ( en mai, si je ne me trompe ) : Baraq 'Hussein Obama avait tenté de lui imposer les prétendues " frontières de 1967 " . Et Bibi, non seulement avait récusé ces " frontières " , et ce, en présence d'Obama lui-même et devant la presse du monde entier ; mais de plus, le lendemain ou le surlendemain, il avait eu un accueil triomphal du Congrès américain, sénateurs et représentants réunis, démocrates et républicains mêlés, avec plusieurs dizaines de " standing ovations " .