Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

De toute façon en Israël il y a eu de femmes qui dirigerent , comme Deborah, alors que Hillary Clinton regarde mieux ce que se passe même chez elle et part tout ailleurs comment les femmes sont traites, car en Israël sont bien consideres comme dit le grand rabbin comme des reines, ce ne pas le cas par tout.

Tricky Hillary ... Elle fait mine de ne pas savoir que l'une des toutes premières femmes, si ce n'est LA première, avant même Mme Bandaranaike et avant Indira Gandhi, à avoir dirigé un Etat est Golda Méir, z"l. Tricky Hillary néglige aussi le fait que des femmes sont présentes, et bien présentes - pour le meilleur comme pour le pire - dans la politique israélienne actuelle : je citerai Mme Limor Livnat, ministre, Mme Tzipi Hotovéli, députée. Ou, à l'autre bord, Mme Dorit Beinish, très gauchiste présidente de la Cour Suprême ; Mme Shelly Yehimowitz, toute nouvelle présidente d'Avoda ; ou encore Mme Tzipi Livni, qu'on ne présente plus. Tricky Hillary n'hésite donc pas à MENTIR. On s'en souviendra.

Y a des Rabbins qu'il faudra envoyer en Egypte !!!

Et ily a des femmes dans l´armée de défense nationale!

Rappelons aussi que Tricky Hillary, il y a quelques mois, co-présidait avec l'OCI une réunion destinée à promouvoir des lois pour interdire de critiquer " les " religions - c'est-à-dire, on l'a bien compris, la " RATP " ( " Religion d'Amour, de Tolérance et de Paix " ).

Le poème "Eshet h'aïl" qui est de tradition le vendredi soir m'a toujours laissé rêveur. On fait l'éloge d'une femme qu'on appelait "vertueuse", cette héroïne se sacrifiait complètement à son mari et à ses enfants, elle n'avait aucune vie personnelle, effectivement pour un homme c'est agréable d'avoir un serviteur aussi dévoué. Réciproquement, je pourrais faire l'éloge du mari vertueux qui sacrifierait toute sa vie au bien être de sa femme et de ses enfants en négligeant ses propres aspirations personnelles, il y a peu de chance que mon poème, qui sera sûrement très beau entre un jour dans la litturgie ! !

Et moi je ne sais pas quoi dire, de nos jours peut des gens remplisent leur rôle, on plus aussi la vie ce tres difficil, nous vivons dans une generation qui manque de reperer, des problemes de toute sorte, surtout il faut voir le côte positif et faire tout ce que nous pouvons, un cheveux plus un cheveux plus un autre en ont peut faire une tresse, de nos jours nous devons faire tout ce que nous pouvons sans critiquer, et aider au maximun en tout. Bonsoir a toutes et tous.

Michel, les rabbinim ont bien fait entrer Ben Sira, Le Cantique des Cantiques et quelques autres exotiques!

Bonjour a toutes et tous, Il faut voir les choses dans le contexte,nous nous dirigeons vers le futile et le luxe, plus le prix monte, jusqu' aux produits de snob appeal qui atteignent des côtes faramineuses, la soif du lucre, gloutonnerie et frivolité, ce sont ces trois tendances qui ruinent et sapant la notion de respect.. Azamera, regarder les choses sous l' angle positif, c'est trouvr la pierre philosophale qui transforme tout en or.Rt pour tout le monde re-lire les commandements.

Notre histoire a ... beaucoup d'années ! ! et des rabbanims, il y en a eu beaucoup. Le grand Rabbin Bernheim un jour nous a dit, "si tu entre dans une grande bibliothèque, où il y a des livres partout, tu trouveras un rébele qui te diras que tu as raison !"
Dans tous les temps, la place des femmes a été contestée, et je crois que c'est un combat sans fin.
Notre tradition sépare et divise, "Hamakdile ben kodesh leh'ol", viande et laitage, hommes et femmes, juifs et goyim, lin et laine etc... c'est cela qui a fait que le peuple juif est un peuple à part, non seulement par ce que les autres sont méchants, mais par ce que nous, nous refusons de nous confondre avec eux, et cela depuis Abraham.
On souhaite des femmes feminines, et des hommes viriles, seulement, ce sont des hommes entre eux qui ont déduit les lois de la thora, et beaucoup se sont arrangés pour que les femmes ne participent pas aux débats.
Un de points qui secoue en ce moment le judaïsme orthodoxe et l'accès à la halah'a pour les femmes, on veut bien leur enseigné ce qui leur est utile, les dinims par exemple, mais au delà, c'est du domaine des hommes.
Certaines ruent dans les brancards, et le Grand Rabbin Bernheim vole à leur secours.