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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientIsraël-Palestine: des désaccords émergent déjàJÉRUSALEM - Des désaccords teintent déjà les négociations embryonnaires entre l'État d'Israël et la Palestine, a fait savoir mardi un représentant israélien, ajoutant toutefois que son gouvernement maintenait le cap sur son objectif de conclusion d'un plan pour la paix d'ici un an.
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2 commentaires
| Membre Juif.org
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Dernière mise à jour, il y a 39 minutes























On nage en plein délire: un "président", ex-terroriste avéré, qui n'a aucune légitimité, parlant au nom d'un pays qui n'existe pas!!!!!.....Et les "pantalons à quartz" des pays soit-disant civilisés qui l'écoutent "bouche bée".
Cirque Barnum!!!!
AM ISRAEL HAY
En réalité, il y a un état qui existe réellement: Israêl, et un con-glo-mérat de terroristes sans foi ni loi, auto-proclamés "palestiniens", dirigés par les alamasse, ex-frères musulmans égyptiens, "lourdés" d'égypte par moubarak qui en avait ras-le-chèche de ces cinglés, et les a balancés à gaza pour mieux "véroler" Israêl.
Ces "faux palestiniens", (vrais c..ons) auraient dû rester à amman en jordanie, leur pays, pendant leurs récentes "discussions", et en profiter pour se faire reconnaître par l"une-esse-kon" comme jordaniens pur jus de con-combre. Ca aurait été + proche de la réalité, car les palos sont des jordaniens refoulés en sept. 1970, avec 1 violence inouïe, par les jordaniens locaux qui ne voulaient pas de ces "guenilleux" chez eux, surtout après les avoir volés et trahis (comme d'hab).
La répression en '70 avait été organisée avec zèle et férocité par abou mazen, qui se fait appeler maintenant "père noel abbas" pour faire oublier ses précédents "chefs-d'oeuvres".
Décidément, c'est la "valse des étiquettes" et des noms, chez les enturbannés. Ils en changent comme de "caleçons molletonnés", quoi que pour ce dernier point, il vaudrait mieux ne pas s'y "aventurer"...Hi, hi...
Et n'oublions pas les élucubrations du "défoncé du bulbe persillé ahtehhzera" qui veur "effacer" Israêl de la carte, alors qu'il va être "râclé" en premier (a m e n).