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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientObama propose à Netanyahou : patience en échange d'une logistique pour une frappe contre l'Iran après sa réelectionLors de son entretien avec Binyamin Netanyahou, Barack Obama aurait proposé au dirigeant israélien un "package deal" : Israël s'engage à ne pas attaquer les installations nucléaires iraniennes avant l'éventuelle réélection du président américain en novembre. En contrepartie, Obama fournira à Jérusalem des bombes ultrasophistiquées contre les bunkers et des avions de ravitaillement en vol à long rayon d'action. Ces informations sont rapportées par le journal Maariv citant des sources diplomatiques et sécuritaires occidentales. Articles connexes
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Dernière mise à jour, il y a 9 minutes
défendre et surtout de contre attaquer si besoin est une aubaine qui ne faut pas
manquer.
Nous savons que les russes ont perfectionné les radars de surveillance en Syrie
pour mieux prévenir l'Iran d'une attaque israélienne il faudra si nécessaire mettre
hors d'usage les dits radars
J'espère aussi, si les révolutionnaires syriens se débarrassent du tyran Assad
qu'ils sauront se souvenir de l'aide apporter par Poutine contre eux et qu'ils
rompront les relations privilégiées avec la Russie, cet état complice de la répression
sanglante et inhumaine qu'ils subissent actuellement.
Enquête et révélations.
Aujourd’hui face à la menace iranienne, le dispositif de réplique s’appelle le Projet Daniel issu des limiers du Ministère de la Défense Israélien.
Les experts du domaine s’accordent à dire que quelques 20 têtes nucléaires sont braquées sur Israël en permanence.
Les sites islamistes aux origines de l’internationale terroriste Al-Quaïda avancent aussi ces chiffres.
Quels sont les pays qui braquent leurs armes nucléaires sur Israël ?
« Le Pakistan, avant tout, pour les autres, nous avons de sérieux doutes, mais la menace existe bien » confirme un expert israélien proche du dossier et de passage en France
« de toutes façons ce n’est un secret pour personne, les pays arabes savent que si nous identifions une menace, nous prendrons les mesures nécessaires, voire une option définitive en cas de lancement nucléaire contre Israël. »
Qu’on le veuille ou non, la fondation de l’état hébreu est étroitement liée à la recherche du nucléaire, c’est un fait historique, tactique et géostratégique avéré.
Dès 1949, soit presque une année après la création d’Israël, les savants atomistes israéliens collaborent avec leurs homologues français et se mettent à fouiller le désert du Néguev pour y trouver de l’uranium, une entre aide qui va durer jusqu’à la fin des années 60.
C’est en partie grâce à la France que se construiront les fondations solides du programme nucléaire israélien, civil et militaire.
En 1952 est créé le CEA israélien sur le modèle français, son président Ernst David Bergmann s’est toujours déclaré favorable à l’arme atomique.
Dès 1953, Israël produit alors de l’uranium métal et de l’eau lourde ce qui permet de faire fonctionner le premier réacteur nucléaire.
Eisenhower alors président des Etats-Unis (1952-1960), s’est opposé à toute prolifération nucléaire en refusant de vendre des armes conventionnelles à Israël, le message est clair : Les Etats-Unis ne veulent pas d’autres puissances nucléaires et il n’est donc pas question qu’ils aident Israël dans son programme nucléaire.
C’est Lewis Strauss, Président de la Commission américaine pour l’énergie atomique qui aidera presque en secret Israël pour la construction du premier réacteur de recherche de Dimona.
Celui-ci entre en service deux ans plus tard, en 1955. En Novembre 1956 est passé un accord secret entre la France et Israël pour la construction d’un nouveau réacteur plus puissant toujours à Dimona (24 MW).
Les deux négociateurs français sont le ministre de la Défense, Bourges Maunoury et le Ministre des Affaires étrangères, Christian Pineau. Un accord qui sera complété par une disposition non écrite autorisant Israël à retraiter les combustibles du réacteur pour en extraire le plutonium nécessaire à la fabrication de la bombe.
Pendant que la construction du réacteur se poursuit en 1958, la France et Israël sont à l’apogée de leur coopération et de leurs échanges, ainsi des techniciens français travaillent à Dimona alors que leurs homologues israéliens travaillent à Marcoule où un réacteur similaire à Dimona est installé par le CEA !
La suite nous la connaissons tous, Charles De Gaulle prend le pouvoir et écarte les hommes politiques français fidèles des israéliens, sa campagne de dénigrement commencera le jour de son arrivée à la tête de l’État.
Bien que les experts israéliens soient invités aux premiers essais atomiques français en plein Sahara, le gouvernement français, toujours via De Gaulle, commence à ‘s’inquiéter’ officiellement de la production d’armes atomiques par Israël.
La politique et la haine congénitale du vieux général envers Israël et le sionisme fera le reste.
Le droit avéré pour les pays arabes
Arrive l’affaire Vanunu (cet ingénieur israélien fait alors fuiter des documents et photos sur la centrale atomique de Dimona), des révélations largement récupérées par les pays arabes, les islamistes, les gauchistes mais aussi l’extrême droite.
Acteurs de la vie politique qui ne se privent pas de dénoncer le « danger israélo-nucléaire ou israélo-sioniste » .
Israël est alors fustigé à travers le monde entier pour avoir enlevé ce pauvre chercheur qui n’avait pas à trahir son pays, et on oublie que n’importe quel autre pays fait de même avec ses traîtres…
Puis la goûte qui fait déborder le vase vient depuis la France, cette même France qui aida jadis Israël à devenir une puissance nucléaire : Quelques jours après le 11 septembre 2001, le député européen Paul Marie Coûteaux suggère une livraison d’armes nucléaires aux pays arabes pour faire plier Israël.
N’en étant pas à son premier coup d’essai, cet ancien collaborateur de Michel Jobert, de Jean-Pierre Chevènement, de Boutros-Ghali et de Philippe Seguin justifie encore la livraison par la France à l’Irak de la centrale nucléaire d’Osirak par Jacques Chirac en 1976.
Il est clair qu’aujourd’hui le nucléaire israélien, civil ou militaire fait plus peur que le nucléaire sauvage et incontrôlé du Pakistan, de l’Iran et de la Corée du Nord…
« Certains pays arabes n’ont toujours pas digéré les multiples défaites que leur a infligé Israël, de grands dirigeants aujourd’hui décédés, et qui ont laissé leurs fils trôner, leur ont fait promettre de ne jamais faire la paix avec Israël, et de tout faire pour, le jour venu, obtenir des armes nucléaires et détruire les juifs quoi qu’il en coûte » peut-on entendre de la bouche d’un expert israélo-américain proche de la gauche israélienne.
Et c’est là tout le problème, plus le temps passe, et plus la technologie nucléaire exportée par Abdul Kadeer Khan – le père pakistanais de la bombe islamique – se retrouve entre des mains plus hostiles que l’état démocratique israélien.
Pendant que le monde vomit des insanités sur Israël et ses bombes, un arsenal estimé selon la CIA à pas plus de 200 têtes, certains pays arabes dont l’Iran en tête progressent dans la course aux armements et à la déstabilisation du Moyen-Orient.
Face à ces faits récents, l’option Samson n’a jamais été aussi d’actualité (voir l’encadré plus bas).
Le Projet Daniel
Selon des ‘sources israéliennes’, cités dans un article du Sunday Times daté du 18 juillet 2004 « Israël a achevé ses répétitions pour une frappe contre l’Iran et ne permettra en aucun cas que des réacteurs iraniens – notamment celui de Bushehr, en construction avec l’aide des Russes – atteignent le niveau critique.
Dans le pire des cas, si les efforts internationaux échouent, nous sommes tout à fait confiants que nous pourrons démolir d’un coup les aspirations nucléaires des ayatollahs ».
Cet article a fait ainsi mention du Projet Daniel : l’avenir stratégique d’Israël.
Ce rapport appelle l’Etat hébreu à adopter une politique de frappe préemptive contre tous les pays, et particulièrement l’Iran, avant qu’ils ne se dotent d’armes nucléaires, et à se munir d’une capacité de deuxième frappe permettant de détruire entre « dix et vingt » grandes villes arabes et iraniennes.
Par ailleurs, le 21 juillet 2004, l’Aman (le service du renseignement militaire israélien) a présenté au cabinet de Sécurité dirigé par Ariel Sharon son estimation nationale de la situation.
Selon le quotidien Ma’ariv, ce rapport affirme que « le développement d’armes non conventionnelles au Moyen-Orient constitue la plus importante menace pour l’existence d’Israël ».
Il avertissait déjà que l’Iran pourrait produire des armes nucléaires dès 2007.
Il faut comprendre qu’aujourd’hui la communauté internationale ne fait absolument rien pour endiguer le programme nucléaire iranien – déjà très avancé – que les mollah cachent sous le prétexte fumant d’une utilisation nucléaire civile et pacifique.
Que ce soit l’AIEA, qui au passage n’a aucun pouvoir, les services de renseignement occidentaux et même des experts reconnus, tout le monde s’accorde à dire que la technologie iranienne a déjà atteint le point de non retour à ce jour, ironie du sort, ce point de non retour aurait déjà été atteint six mois avant le rapport définit sur le nucléaire iranien diffusé récemment par l’AIEA.
Toujours selon ces mêmes sources, l’Iran, après des estimations récentes, pourrait avoir une bombe opérationnelle sur des missiles de type Shahab-3 dans moins de six mois.
« Nous pouvons atteindre Israël »
« Aujourd’hui, notre peuple et nos forces armées sont prêts à défendre leurs objectifs, où que ce soit, un moment clé dans la défense de la cause palestinienne » affirmait en juillet 2004 l’ayatollah Ali Khamenei lors de la cérémonie de livraison d’un nouveau type de missile capable d’atteindre Israël, le fameux Shahab-3.
« La force divine a répondu à toutes les menaces, et nous voyons aujourd’hui que cette force divine est en train de faire la même chose pour les peuples libanais et palestinien », a-t-il ajouté.
La télévision iranienne a montré Khamenei aux côtés d’officiers des Pasdaran, les Gardiens de la révolution, l’armée idéologique et fer de lance du régime, ainsi qu’au moins 1.000 soldats en tenue de cérémonie célébrant tous ensemble le passage de trois missiles Shahab-3 montés sur rampes de lancements mobiles (comme sur l’image ci-dessous).
La télévision a précisé que les Gardiens de la révolution avaient également reçu de nouveaux hélicoptères de transport et de combat, dont le type n’a pas été indiqué, ainsi qu’un nombre non précisé d’avions de combat Sukhoï-25 de fabrication russe.
Yahya Rahim-Safavi, chef des Gardiens de la révolution, a déclaré dans son discours que sa force était désormais « prête à défendre l’Iran contre quelque danger que ce soit » .
Plus discrètement, certains services de renseignement ont rapporté que le 7 juillet 2004, l’Iran avait confirmé avoir procédé à un dernier essai réussi de son missile Shahab-3 d’une portée de 1.300 kilomètres, donc capable d’atteindre Israël depuis le territoire iranien, certains officiers se seraient félicités de pouvoir atteindre enfin « le petit Satan ».
Selon les experts occidentaux, le Shahab-3 serait une variante améliorée du missile sol-sol nord-coréen No Dong-1, capable de transporter une charge utile de 800 kilogrammes, et contrairement à ce qui a été affirmé, ce missile peut embarquer facilement une, voire trois têtes nucléaires.
L’Option Samson
C’est Ariel Sharon qui a résumé jadis cette situation apocalyptique en une courte seule et courte phrase « Les arabes peuvent bien avoir le pétrole, nous nous avons les allumettes ! »
L’option Samson est exposée par le journaliste Seymour Hersh dans un livre qui lui a valu le prix Pulitzer :
« les dirigeants israéliens n’ignorent pas que l’exiguïté de leur territoire ferait de leur population une victime d’une frappe nucléaire sur un pays arabe voisin menaçant, car même en l’absence de riposte militaire immédiate l’effet destructeur de l’explosion et la contamination radioactive ne s’arrêteraient pas à la frontière israélienne (…) »
L’option Samson est, en référence au personnage biblique qui se suicide avec ses ennemis, ni plus ni moins que la dernière terrible et fatale solution, une seule fois, Israël était à un doigt de presser le bouton, c’était en 1973 pendant la guerre du Kippour.
Israël, attaqué par surprise par ses voisins arabes, déclenche immédiatement l’alerte nucléaire et se déclare prêt à frapper.
Aussitôt les États-Unis interviennent et déploient leurs forces nucléaires stratégiques dans la région.
L’alerte nucléaire israélienne est alors suspendue mais reprise lorsque l’URSS annonce elle aussi l’envoi de troupes dans la région.
Passé l’effet de surprise, l’armée israélienne regagne du terrain mais les États-Unis lui imposent d’accepter un cesser le feu…
Mardi 7 mars 2012
http://www.lesgrandesoreilles.com/i...
Obama est vraiment l'obstacle à cette intervention, souhaitée par l'opinion publique américaine et le leadership.
Ils se rappellent les otages de l'ambassade de téhéran, assassinés par les iraniens dont ahmadinedjad qui paradait sur le balcon de l'immeuble avec un pistolet à la main tenant un américain, les yeux bandés...on connait la suite.
Déjà, à l'époque les médias US et l'opinion publique avaient appelé à bombarder l'iran!!!dommage...
Tout le monde sait très bien qu'obamarabe cherche SURTOUT à être réélu (d'où ses démarches éperdues pour récupérer le vote Juif démocrate américain), et à ne pas déplaire à ses "chefs arabes" à qui il a déjà promis "monts et merveilles" sur le dos d'Israêl.
Les anti-sémites, anti-sionistes et tutti quanti savent très bien à quoi correspond ce marché de dupes, et se frottent les mains d'avance.
Les autres gogos, inconscients, dhimmisés, abrutis et bêtes comme nos pieds, doivent penser que le président des States fait des propositions "louables" à Israêl. Comme disait feu Brassens:"quand on est con, on est con"...
AM ISRAEL HAY
En avril 2011, la vice-directrice de la Croix-Rouge à Gaza, Mathilde Redmatn, déclarait qu’il n’y a pas de crise humanitaire dans la brande de Gaza. Pourtant, la Croix Rouge continue sur son twitter officiel à lier vers un article de son site pour y affirmer que “les soins de santé sont en danger, à Gaza” et pointe son doigt accusateur sur Israël.
Et l’article d’ajouter encore que “l’importation de fournitures médicales dans la bande de Gaza est soumise à des restrictions, ce qui entraîne de fréquentes pénuries de médicaments”. Sauf que depuis déjà longtemps, ces restrictions ont été levées, afin de faciliter les conditions de vie de la population palestinienne. Que disait Voltaire ? Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose…
“Il n’y a pas de restriction israélienne sur la quantité et les types de médicaments transférés”
L’équipe du site en français de Tsahal a décidé d’en savoir plus, pour mieux vous informer.
Nous rencontrons le Commandant Moshe Levy, à la base du CLA en bordure de Gaza. Celui ci est responsable de la Branche des Relations Publiques de l’unité de coordination des activités gouvernementales dans les territoires.“Israël autorise le passage de tous les médicaments et les équipements médicaux achetés par l’Autorité Palestinienne.
Aucune restriction de la part d’Israël n’est exercée sur la quantité et le type de médicaments transférés vers Gaza”, explique le Commandant Moshe Levy.
Mais alors, d’où vient le manque de médicament ?
Il existe en effet une certaine pénurie dans la bande de Gaza.
“Effectivement, mais il n’est pas dû à des restrictions israéliennes.
C’est le faible budget consacré à la santé par l’Autorité Palestinienne qui la cause !
A titre d’exemple, le budget annuel de l’Autorité Palestinienne consacré à l’achat de médicaments et de matériel médical pour la population palestinienne de Judée-Samarie et de Gaza (environ 35 millions d’habitants), est inférieur au budget de l’hôpital israélien Tel Hachomer du centre du pays, qui prend en charge moins d’un million de patients par an.”