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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientTuerie de Toulouse : Sarkozy a écrit à NetanyahouNicolas Sarkozy a assuré le Premier ministre israélien Binyamin Netanyahou de sa "totale détermination" à interpeller l'auteur de la tuerie de Toulouse, qui a fait quatre morts de confession juive, dans un courrier rendu public aujourd'hui par l'Elysée. Articles connexes
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comment oses-tu nour reprocher d ' intervenir et de pleurer nos morts...où as-tu vu de la haîne chez le juif lequel
juif n ' est fait que d 'amour pour son prochain...le juif a toujours eu une belle enfance , parce qu ' il est aimé par ses parents , père et mère , contrairement aux autres sectes ( appelées , je ne sais pas pourquoi , religions ) qui n ' ont été éduquées que dans la haîne de l ' autre , ...je cite par exemple , encore aujourd ' hui , dans les églises , " la passion " et chez le musulman le " djihad islmaique " ...ces sectes n ' enseignent à leurs enfants , chez les musulmans que le meurtre et le vol , et chez les chrétiens que la haîne du juif , le juif accusé d ' avoir tué jésus christ !
alors , au lieu de nous reprocher de pleurer nos morts et de maudire les méchants , prends toi par la main , et vas au devant des fous d ' allah et de jésus pour leur demander d ' avoir un peu d ' amour pour leurs enfants , en leur enseignant plutôt l ' amour et le respect de son prochain ...tu piges ?
chez le juif , n ' est enseigné que l ' amour et le respect de son prochain , qu ' il soit juif , chrétien ou musulman... et l ' enfant juif possède ainsi un cerveau libre de toute oppression divagatrice dans le monde de la haîne dévastateur de l ' humanité...penses-y et arrête de dire des méchancetés...je préfère ne pas te répondre , tu n 'en vaux pas la peine 0000000000000000000 tu en as des zéros et rien devant....dommage
Nechikot
Ceci étant dit j'ai voulu ouvrir et enregistrer les deux films que tu nous cite Impossible! pas reconnus par windows media Je tâcherais de le trouver autrement
Concernant ce drame ...hélas il était plus que probable que cela devait arriver sous cette forme ou une autre
Je ne peux que me répéter encore et encore....Yachar le Israël!
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ysgadal voyiskadash shome rabo!
b'almo di-vera kirhusse,v'yamlikh malkhusse,v'yatsme,purkanne,vikarev meshie!
behayehayn,uvyomehayn,uvhate b'kol yisroel baagolo uvizman koriv v'imri ,; amen!
yehe shome rabo!mevorakh ulalme almeyo........................
Par conséquent, il n'est pas du tout irréaliste d'imaginer des acteurs et des intérêts convergents ; l'Iran impliqué ? Pourquoi pas ? Avec des barbouzes du temps de Pasqua ? Pas si délirant ; des précédents comparables ont eu lieu dans le passé. Curieuse coïncidence, en effet, que cette abomination ait eu lieu une semaine après une forme de sanction économique à l'.encontre de la Perse. L'avenir nous éclairera, mais si c'est le signe précurseur, et ce n'est aucunement exclu, d'une nouvelle persécution des juifs, peut-être est-ce le temps que l'Eternel a choisi pour ramener son peuple en Israel.
En ce qui me concerne, je pense liquider mes biens et faire mon aliah.
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mardi 20 mars 2012, par Jonathan Sandler, par Arié, par Gabriel, par Toulouse, par Otsar Hatorah, par Fusillade , par Juifs, par École
Abattu lundi, le rabbin Jonathan Sandler, 30 ans, venait d’arriver au collège-lycée Ozar-Hatorah à la rentrée 2011.
Le rabbin Jonathan Sandler est mort avec ses deux fils Arieh, 5 ans, et Gabriel, 4 ans, et laisse une veuve et une petite fille. L’enseignant était natif de Bordeaux, où il a vécu avec ses parents. Ancien élève d’Ozar-Hatorah, Jonathan, dont le père Samuel est aujourd’hui président de l’Association culturelle israélite de Versailles, était ensuite parti étudier dans une yeshiva à Jérusalem.
Après un séjour de trois ans, il était revenu en France en 2007. Marié, il était ensuite retourné en Israël et s’était de nouveau installé à Jérusalem. Jonathan Sandler y enseignait à des étudiants français souhaitant devenir rabbins et professeurs. Depuis septembre dernier, outre ses fonctions d’enseignement à Ozar-Hatorah à Toulouse, il enseignait chaque semaine le talmud à des étudiants juifs à Bordeaux, où il était attendu mardi soir. Lundi soir, Edgar Cohen, un membre de la communauté juive de Toulouse, rendait hommage à « un homme brillant, respecté, ses cours étaient remarquables ».
Aux côtés des Sandler, une autre enfant est également tombée sous les balles. Âgée de 7 ans, Myriam était la fille du directeur d’Ozar-Hatorah, Yaacov Monsonego. Elle était scolarisée, comme Arieh et Gabriel Sandler, dans l’école primaire Gan Rachi. Dans la cour de l’établissement, Yvan Lévy, président du comité régional du Fonds social juif unifié, s’insurge : « C’est la communauté qui a été visée. Il n’y a pas de doute possible. Ici, vous avez d’un côté les bâtiments dédiés à l’enseignement et, juste en face, vous avez notre synagogue. Il faut trouver celui qui a fait cela le plus rapidement possible. Les enregistrements des caméras de vidéosurveillance sont d’une rare violence. »
Deux jeunes collégiennes viennent à peine d’arriver sur place alors que dans la rue, le balai des ambulances et des voitures de police se poursuit. Elles sont effondrées : « Nous devions être en cours à 8 heures mais nous sommes arrivées plus tard. Nous aurions pu être dans la cour à ce moment-là. Le tueur s’en est pris à des enfants. Il a visé la tête. C’est barbare ! » Serge Selmen fait partie également de cette communauté sous le choc : « Les mots du président de la République sont des mots justes, adaptés à la situation. Pour nous, il était important d’entendre de tels propos. Nous ne sommes pas seuls aujourd’hui. Nous avons été touchés en plein cœur. » Corinne est la maman d’un élève scolarisé dans l’établissement, elle a quitté Bordeaux quelques heures plus tôt, lorsqu’elle a appris la nouvelle : « S’en prendre à des enfants, c’est ce qu’il y a de plus sacré » !
Par Jean-Wilfrid Forquès
Comment annonce-t-on à une maman qu'elle vient de perdre son mari et leurs deux jeunes fils ? Comment annoncer ce genre de nouvelles ?
Était-elle en train de prendre son café matinal quand le téléphone a sonné ou que quelqu'un a frappé à sa porte ? S'affairait-elle au ménage de Pessa'h ou était-elle à l'extérieur ? Où était Mme Sandler quand on lui a appris que son mari et ses enfants âgés de trois et six ans avaient été assassinés ?
Perdre un être cher est toujours tragique. Mais perdre ses enfants et son mari, froidement abattus à bout portant par un assassin alors qu'ils attendaient devant une école juive est au-delà du supportable.
Il n'y a pas de mots. Il n'y a pas de mots pour exprimer la peine et la détresse des familles des quatre précieuses vies qui ont été ravies aujourd'hui. D'autres victimes sont actuellement entre la vie et la mort. Quant à ceux qui n'ont pas été atteints physiquement, le traumatisme subi par les élèves de l'école est inimaginable, et la communauté juive tout entière est en état de choc.
Et le choc engendre le silence. C'est de fait l'une des raisons pour lesquelles, dans la tradition juive, le premier repas d'un endeuillé est constitué d'un simple œuf dur, car un endeuillé n'a pas de bouche. C'est également l'une des raisons pour lesquelles, lorsque l'on se rend auprès d'un endeuillé pour le réconforter, c'est seulement après que celui-ci ait décidé de parler et qu'il ait entamé la conversation qu'il convient de parler. Si les endeuillés préfèrent le silence, alors le silence demeure.
Et pourtant, pouvons-nous nous permettre de ne rien dire ? Pouvons-nous assister au meurtre d'innocents et ne pas faire entendre notre voix ?
Nos frères et nos sœurs à Toulouse ne peuvent pas parler. Leur voix leur a été ravie. Pour le moment.
Pendant leur deuil, nous devons parler pour eux. Nous devons faire savoir au monde que nous ne bougerons pas de là où nous sommes, et notre voix ne fera que s'amplifier à mesure que certains tenteront de l'étouffer. Ce terroriste et ceux qui le soutiennent ont réussi à causer une grande douleur. Ils ont causé une énorme perte à des familles et à des amis, à une communauté et au monde juif tout entier. Mais ils ne nous ont pas détruits et ils ne nous détruirons pas.
Tout au long de notre histoire, ils ont tenté de nous détruire. Nous sommes à deux semaines de la fête de Pessa'h, lors de laquelle nous évoquons le terrible esclavage qui avait asservi l'esprit, le corps et l'âme de nos ancêtres. Nous avons été torturés et tués. Et pourtant nous avons survécu. Nous ne passons pas le Seder de Pessa'h à seulement rappeler la souffrance, mais également à célébrer la rédemption qui la suivit.
En tant qu'esclaves, nous n'avions pas de voix. Nous étions réduits au silence. Mais il est intéressant de remarquer qu'une des interprétations du nom même de « Pessa'h » est « la voix qui parle », car peh signifie « bouche » et sa'h veut dire « parle ». À Pessa'h, nous revendiquons notre voix.
Aujourd'hui nous sommes en deuil. Aujourd'hui nous pleurons. Mais nous devons aussi parler. Nous devons parler pour ceux qui ne le peuvent pas. Nous devons parler pour ceux qui ne parleront pas. Et nous devons parler pour assurer que nous ne serons jamais réduits au silence.
Sara Esther Crispe
Chabad.org
Je suis citoyen israelien depuis 6 ans.