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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientLe prince héritier de Jordanie en visite secrète sur le Mont du TempleLe prince héritier de Jordanie, Hussein bin Abdallah, âgé de 18 ans, a tenu une visite secrète sur le Mont du Temple à Jérusalem escorté par les forces de sécurité israéliennes. Il est arrivé sur le site le plus saint du judaïsme via le pont des Maghrébins. Un responsable palestinien a déclaré que le prince se rendrait également au Caveau des Patriarches à Hevron plus tard mercredi. Il a dit que la visite avait été coordonnée et initiée par Israël et que par conséquent le prince Hussein se rendra dans la partie israélienne du Caveau. Mardi, la cour suprême a ordonné à la planification nationale et au comité de construction d'adresser un nouveau plan d'expansion de la section des femmes au Kotel (mur des lamentations). Le plan vise aussi à remplacer le pont temporaire menant au pont des Maghrébins qui mène au Mont du Temple. Il y a quatre mois, le pont agitant tant les arabes a été fermé suite a une demande de l'ingénieur municipal de Jérusalem qui a averti des dangers pour la sécurité. Il a été rouvert deux jours plus tard sous la pression de la Jordanie et d'autres états arabes. Le prince Hussein est le fils aîné du roi Abdallah et a été déclaré prince héritier en 2009. Le roi Abdallah et la reine Rania ont un autre fils et deux filles. Selon la constitution de la Jordanie, le roi a le droit de nommer son frère en tant que prince héritier, avant son fils. Articles connexes
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Comme l’avait fait remarquer courageusement l’homme politique américain Newt Gingrich, le prétendu “peuple palestinien” a été inventé de toutes pièces par les arabes comme une arme contre Israël (lire). En effet, on a beau chercher dans l’histoire, on ne trouve aucune trace de ce peuple palestinien. Aussi, les palestiniens ont-il décidé de remédier à cette lacune gênante, en s’appropriant une Histoire.
Un professeur d’une université palestinienne est venu expliquer dans une émission religieuse à la télévision de l’Autorité palestinienne, que Moïse est un musulman, et qu’il a conduit ”les enfants d’Israël musulmans hors d’Égypte.” et appelant la conquête de la Terre d’Israël qui s’en suivit, la première “libération musulmane … de la Palestine”. Cette conquête, enseigne-t-il, a été dirigée non pas par Josué, comme le dit la Bible, mais par Saul (Talut) qui aurait également tué Goliath selon ce professeur. Le fait que l’islam n’existait pas encore à cette époque, ne semble pas trop le gêner.
Voici l’interview du Dr Omar Ja’ara, Maître de conférences à Université Al-Najah de Naplouse et spécialiste des affaires israéliennes, invité du programme religieux de PA TV:
TRADUCTION:
“Nous devons faire comprendre au monde que David de la Bible hébraïque n’est pas lié au David dans le Coran, Salomon dans la Bible hébraïque n’est pas lié au Salomon dans le Coran, et que ni Saül ni Josué ne sont les fils de Nun [comme dans la Bible ].
Nous avons un grand chef, Saul, [dans le Coran] qui a vaincu la nation des géants et a tué Goliath. C’est une grande victoire musulmane. Les musulmans des enfants d’Israël sortirent d’Egypte sous la conduite de Moïse, et, malheureusement, de nombreux chercheurs nient l’Exode de ce peuple opprimé libéré par un grand chef, qui était Moïse le musulman, ce leader croyant, ce grand musulman, succédé par Saul, à la tête de ces musulmans qui ont libéré la Palestine.
Ce fut la première libération palestinienne par la lutte armée pour libérer la Palestine de la nation de géants menés par Goliath. Ceci est notre logique et notre culture. “
[…]
Source : PA TV (palestinienne) via Palwatch
Dans ce courrier adressé au président de l’UOIF, Ahmed Jaballah, le chef de l’État écrit: « je ne tolèrerai pas que puissent s’exprimer au cours d’une manifestation publique organisée sur le sol français les porteurs de messages d’appels à la violence, à la haine, à l’antisémitisme, qui constituent des attaques insupportables contre la dignité humaine et les principes républicains ».
Pour notre part nous demandons au Gouvernement d’interdire purement et simplement l’UOIF, qui n’est autre qu’un forum pour islamistes radicaux qui prêchent la haine antisémite et anti-chrétien !
L‘UOIF prône un islam radical, politique, contre la mixité hommes-femmes, contre les relations entre musulmans et non musulmans, pour la Charia (jugée incompatible avec la démocratie par la Cour Européenne des Droits de l’Homme).
Un aperçu les islamistes radicaux de l'UOIF
UOIF: pourquoi ne pas interdire le congrès islamiste du Bourget ?
se demande Yves Thréard
Il a fallu les tueries terroristes de Toulouse et Montauban pour qu’enfin la France mette un peu plus son nez dans le congrès annuel du Bourget, organisé du 6 au 9 avril par l’Union des organisations islamiques de France. Plus connue sous le sigle d’UOIF, cette structure intégriste, fondamentaliste, qui représente un pourcentage infime des musulmans de France (à voir…), prend pourtant beaucoup de place dans notre pays.
Elle prône un islam radical, politique, contre la mixité hommes-femmes, contre les relations entre musulmans et non musulmans. Et tient un double discours sur l’antisémitisme et le voile. Bref, l’UOIF, proche des thèses des Frères musulmans, est plus favorable à la charia qu’à la laïcité. Et dire qu’elle siège au très officiel Conseil français du culte musulman (CFCM), fondé par Nicolas Sarkozy, qu’elle forme des imams en France et qu’elle dirige des mosquées sur notre territoire…
Sa réunion annuelle du Bourget, qui existe depuis 1988, est l’occasion pour elle de faire venir des prédicateurs du Proche Orient qui disent des horreurs sur l’Occident et notre pays. Il est heureux que le gouvernement ait décidé, cette année, de dissuader ou d’interdire la venue de six d’entre eux. Mais le sulfureux Tariq Ramadan sera malheureusement là.
Deux questions : pourquoi le gouvernement n’interdit pas tout simplement, et définitivement, ce congrès islamiste du Bourget ? Il en a les moyens. Pourquoi ne surveille-t-il pas d’un peu plus près les activités de l’UOIF ? Il en a aussi les moyens puisqu’il les met en œuvre contre bien d’autres structures prétendument confessionnelles. source
C’est quoi la différence se demande Michel Garroté
Y a-t-il une différence entre, d’une part, l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), et d’autre part, le Conseil français du culte musulman (CFCM) ? Y a-t-il une différence entre, d’une part, la tablette de chocolat aux noisettes entières, et d’autre part, la tablette de chocolat aux éclats de noisettes ? Y a-t-il une différence entre, d’une part, une burqa de couleur bleu, blanc rouge, et d’autre part, une burqa de couleur verte ? Y a-t-il une différence entre d’une part, se moquer légèrement du monde, et d’autre part, se foutre carrément de la gueule des gens ?
Après qu’une vingtaine d’islamistes aient été interpellés en France, Yves Thréard s’interroge dans ‘Le Figaro’ sur le congrès de l’UOIF : « Il a fallu les tueries terroristes de Toulouse et Montauban pour qu’enfin la France mette un peu plus son nez dans le congrès annuel du Bourget, organisé du 6 au 9 avril par l’Union des organisations islamiques de France. Plus connue sous le sigle d’UOIF, cette structure intégriste, fondamentaliste, qui représente un pourcentage infime des musulmans de France, prend pourtant beaucoup de place dans notre pays. Elle prône un islam radical, politique, contre la mixité hommes-femmes, contre les relations entre musulmans et non musulmans. Et tient un double discours sur l’antisémitisme et le voile. Bref, l’UOIF, proche des thèses des Frères musulmans, est plus favorable à la charia qu’à la laïcité ».
Yves Thréard ajoute : « Et dire qu’elle siège au très officiel Conseil français du culte musulman (CFCM), fondé par Nicolas Sarkozy, qu’elle forme des imams en France et qu’elle dirige des mosquées sur notre territoire. Sa réunion annuelle du Bourget, qui existe depuis 1988, est l’occasion pour elle de faire venir des prédicateurs du Proche Orient qui disent des horreurs sur l’Occident et notre pays. Il est heureux que le gouvernement ait décidé, cette année, de dissuader ou d’interdire la venue de six d’entre eux. Deux questions : pourquoi le gouvernement n’interdit pas tout simplement, et définitivement, ce congrès islamiste du Bourget ? Il en a les moyens. Pourquoi ne surveille-t-il pas d’un peu plus près les activités de l’UOIF ? Il en a aussi les moyens puisqu’il les met en œuvre contre bien d’autres structures prétendument confessionnelles », précise Yves Thréard.
Par ailleurs, la revue de presse LSB reproduit ce commentaire judicieux : « Youssef al-Qaradaoui et Mahmoud al-Masri ont ‘renoncé à venir’ au rassemblement de l’UOIF : Nicolas Sarkozy avait dit à l’émir du Qatar que ces prédicateurs n’étaient pas bienvenus chez nous. En outre, nous dit un communiqué conjoint des ministères de l’Intérieur et des Affaires étrangères, ‘à la demande du président de la République, Nicolas Sarkozy, le gouvernement a décidé d’interdire l’entrée sur le territoire français de quatre personnalités étrangères invitées au congrès de l’Union des Organisations Islamiques de France’ : Akrima Sabri, Ayed Bin Abdallah Al Qarni, Safwat Al Hijazi, Abdallah Basfar ».
LSB : « Bref, ce sont six orateurs du rassemblement de l’UOIF qui sont interdits de séjour, parce que ‘les positions et les propos tenus par ces personnes qui appellent à la haine et à la violence portent gravement atteinte aux principes de la République et, dans le contexte actuel, représentent un fort risque de troubles à l’ordre public’. Autrement dit, les orateurs étrangers de l’UOIF portent atteinte aux principes de la République, mais l’UOIF est une organisation reconnue par la République parce qu’elle en respecte les principes. Ça va durer longtemps, ces palinodies ? », conclut, sur le mode ironique, le commentateur cité par la revue de presse LSB.
Pour ce qui me concerne – cela sera ma conclusion – je ne crois pas un seul instant à une modification des relations étroites entre d’une part, les autorités françaises, et d’autre part, l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) et le Conseil français du culte musulman (CFCM). Je crois simplement, que les autorités françaises sont actuellement mal prises entre d’un côté, les meurtres perpétrés par Merah, et de l’autre, la campagne des présidentielles et des législatives. D’une main, les autorités françaises font mine de durcir le ton ; de l’autre, elles continuent de ménager, l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), le Conseil français du culte musulman (CFCM), le Qatar, l’Arabie saoudite, les Frères musulmans, les wahhabites et les salafistes. La politique intérieure et extérieure de la France à l’égard de l’islam n’a pas changé sur le fond et elle n’est pas prête de changer, que cela soit avec Sarkozy ou avec Hollande.
Copyright Michel Garroté 2012 & Sources citées
www.dreuz.info
bon au moins il est favorable au partage et non à lislamisation totale