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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Sarkozy et Hollande prévoient tous deux un voyage en Israël

Notre confrère Tribune juive a recueilli des entretiens avec Nicolas Sarkozy et François Hollande, notamment sur leur vision de la politique extérieure de la France face au conflit israélo-palestinien. Les deux candidats affirment qu'ils se rendront en Israël en cas de victoire. "Ce voyage fera partie de mes projets", répond François Hollande. Nicolas Sarkozy est plus précis : "Dès le lendemain de ma réélection, si tel est le choix des Français, j'irai en Israël et je prendrai une initiative en faveur de la paix au Proche-Orient." Le candidat socialiste précise sa vision de la paix israélo-palestienne : "Deux Etats voisins et souverains, dont chacun respecte la légitimité de l'autre". "Nous devrons être d'une très grande fermeté à l'égard de l'Iran, dont le programme nucléaire représente un danger vital pour Israël et pour la paix du monde" ajoute-t-il. Il se dit également "opposé au boycott des produits israéliens, qui est illégal et qui ne sert pas la cause de la paix".
23 commentaires
Le site de prévisions et d’analyses économique et politiques, Electionscope, est l’un des rares observateurs à ne pas voir François Hollande vainqueur de la présidentielle.

Les fondateurs du site utilisent un modèle dont les pronostics se sont toujours révélés exacts depuis la fin des années 1990... Ils l’ont refait tourner après le premier tour.

Atlantico : Selon un article publié sur Electionscope, les instituts de sondage auraient tendance à majorer ou minorer certains candidats (écarts de prévisions par rapport à la moyenne des autres instituts). Qu’en est-il du détail ?

Bruno Jérôme : On a remarqué des instituts qui penchaient véritablement pour certains candidats ou blocs politiques.

Par exemple, on note que Jean-Luc Mélenchon a été majoré par les instituts CSA et TNS Sofres.

L’IFOP ou Opinionway avaient tendance à plutôt le minorer.

L’observation est plus nette pour les deux principaux candidats.

On a vu que BVA et TNS avaient une véritable tendance à majorer François Hollande et que Opinionway et Harris Interactive, voire l’IFOP, avaient au contraire tendance à minorer le candidat socialiste.

Il est extrêmement délicat d’être totalement affirmatif sur le fait que ces instituts roulent pour un candidat ou un autre.

Il faudrait regarder à ce moment-là les relations qui existent entre les sondeurs et leurs clients, médias et politiques.

Mais notre constat empirique montre tout de même un biais systématique de 6 instituts sur 8.

On a également observé que certains instituts avaient littéralement changé de comportement en cours de route.

Pendant trois mois, CSA avait tendance à majorer Nicolas Sarkozy et, au dernier moment, ils se sont mis à le minorer.

TNS Sofres a eu exactement le même comportement. Il y a donc un mimétisme entre certains instituts.

L’institut qui majore le plus est BVA. Sofres et Ipsos ont également tendance à sur-majorer ou minorer des candidats.

Les bons élèves seraient plutôt Opinionway, Harris Interactive ou l’Ifop. En quoi votre méthode diffère-t-elle de celle des instituts de sondage classiques ?

Il s’agit d’un modèle statistique qui est fait sur des séries de données très longues (sur la 5ème République).

Nous ne mesurons pas des intentions de vote mais des facteurs qui pourraient statistiquement impacter le vote.

Nous prenons principalement en compte le taux de chômage, la variable clé en France depuis 1974.

Ensuite, nous évaluons la crédibilité et la popularité de l’exécutif.

La popularité, retravaillée et réinterprétée, est un indicateur qui nous permet de déterminer le socle de crédibilité de l’exécutif.

Les tests empiriques qui ont été faits sur l’indicateur de popularité montrent que l’économie à court terme représente au minimum 50% de ce dernier.

Quels résultats obtenez-vous alors pour le second tour de l’élection présidentielle ? Nous obtenons le chiffre de 50,2% pour Nicolas Sarkozy au second tour.

Il est important de noter que le modèle place la droite en tête depuis octobre 2010, date à laquelle le chômage a commencé à s’améliorer avant de se dégrader à nouveau à la fin de l’année 2011.

Cette étude a été réalisée avant le premier tour.

La donne n’a-t-elle pas changé depuis ?

Nous ne toucherons pas à nos prédictions.

En réalité, nous modélisons également le second tour.

Nous transformons les voix du premier tour en voix de second tour mais notre formule de transformation est purement politique.

Elle prend en compte les grands rapports de force sous la 5ème République, la déperdition des voix entre les blocs dans cette période, les disparités régionales et l’influence et la déperdition du Front national et du Modem sur le bloc de droite.

Historiquement, il y a toujours eu une déperdition des voix pour la droite d’un tour à l’autre.

Dans ce cas précis, nous avons pris en compte la déperdition moyenne encourue dans les régions à cause du FN et du centre.

L’intérêt de notre démarche est également dans son découpage régional.

L’influence du Modem, par exemple, n’est pas la même selon les régions.

Dans certaines régions, on retrouve un Modem de gauche qui se rapporte à gauche.

Dans d’autres, on remarque l’inverse.

C’est la même chose pour le Front national, les gauches « lepinistes », lorsqu’elles sont en majorité dans certaines régions, se rapportent à gauche.

Le sondage typique mesurera un effet global sur un panel global.

De plus, nous fixons la situation économique quatre mois avant le premier tour.

Empiriquement, c’est la mesure la plus pertinente.

Cela a aussi l’avantage d’éviter les bruits de campagne, les évolutions volatiles de dernière minute qui peuvent être manipulées et les effets de campagne qui s’annulent entre eux.

Enfin, notre outil est révisable.

Quand on se trompe, il est assez aisé de savoir pourquoi, d’identifier des facteurs objectifs qui ont conduit à ce que l’on s’éloigne du résultat.

Cette méthode de prédiction n’oublie-t-elle pas de prendre en compte la personnalité du président de la République qui est, si l’on en croit les sondages, à l’origine de beaucoup de ralliements de droite ou centre droit vers la gauche, le Modem et le Front national ?

Tout d’abord, il est nécessaire de préciser que notre modèle comporte une marge d’erreur de + /- 1,7%. 50,2 % est une mesure moyenne optimale.



On pourrait se retrouver avec un François Hollande au dessus de 50% ou un Nicolas Sarkozy à presque 52%... Ensuite, vous avez raison, le delta qui manque est celui de l’image.

Mais ce modèle n’est pas fait pour cela.

Il y a une autre chose qui peut jouer sur l’écart entre notre méthode et celle des instituts de sondage classiques, c’est ce que l’on appelle l’autoréalisation des anticipations.

Parfois, quand certains électeurs observent des sondages et ne se fondent que sur eux pour voter, il peut arriver qu’ils soient tentés par la majorité.

Or, jusqu’à présent, sous la 5ème République, cela n’a pas eu vraiment d’impact.

Il était impossible de dire que les sondages modifiaient quoique ce soit.

Nous sommes ici en présence d’un fait exceptionnel.

La gauche au premier tour est à 43,7% et elle se retrouverait à près de 55% au second tour.

Ce qui, au vu de l’histoire de la 5ème République, est du jamais vu.

Jusqu’à présent, il a fallu qu’elle atteigne 49% des voix au premier tour pour l’emporter.

Notre modèle ne mesure pas cela.

Il mesure seulement les reports moyens et la déperdition à droite que l’on a constatés jusqu’à présent.

Or cette déperdition n’est pas de l’ordre d’une perte de 10 points.

Atlantico.fr
Envoyé par Roland_017 - le Vendredi 4 Mai 2012 à 11:48
des juifs qui votent marine quelle hontecertainon la memoire tres tres coutes
Envoyé par Denis_014 - le Vendredi 4 Mai 2012 à 11:54
Ce dimanche 22 avril, les attaques informatiques perpétrées contre le secteur pétrolier iranien sont presque passées inaperçues.

Pourtant, c’est une véritable guerre que se livrent Téhéran et les puissances occidentales, dans un nouveau champ de bataille : le cyberespace...

Dans le bras de fer politique qui oppose les puissances occidentales à l’Iran autour de son programme nucléaire controversé, les « théâtres d’opérations » sont multiples.

Le terrain diplomatique tout d’abord, comme en témoigne le caractère itératif des rencontres entre émissaires iraniens et leurs homologues du groupe des 5+1 (les 5 membres du Conseil de sécurité des Nations-Unies plus l’Allemagne), lequel rassemble les Etats en charge de la gestion des négociations sur le dossier nucléaire de Téhéran.

Ces négociations sont infructueuses depuis maintenant presque 10 ans.

Cela dit, les discussions perdurent, et à en croire les protagonistes tout espoir n’est pas vain.

En une décennie cependant, les avancées technologiques effectuées par l’Iran ont progressivement fait pencher la balance en sa faveur.

Pourquoi ?

Parce que plus l’Iran assure sa mainmise sur la maîtrise des divers aspects de la technologie nucléaire, plus il sera difficile de l’y faire renoncer, chaque pas en avant constituant un acquis présenté comme une illustration de la grandeur de la nation iranienne par ses dirigeants.

Le nationalisme, le populisme, et par-dessus tout la victimisation par rapport à ce qui est présenté comme une attitude « injustement belliqueuse » de la part des puissances occidentales, constituent autant d’ingrédients qui caractérisent la rhétorique d’un régime en mal de légitimité, qui s’identifie depuis plus de trente au travers de l’animosité qu’il éprouve à l’encontre des Etats-Unis, et plus largement de l’Occident.

Outre la diplomatie, le domaine économique constitue également un terrain d’action propice dans la lutte contre les ambitions iraniennes.

En plus des 4 résolutions votées depuis 2006 par le Conseil de Sécurité, des sanctions unilatérales ont été prises aussi bien par Etats-Unis que par les Etats-membres de l’Union Européenne.

L’option militaire, bien que non encore mise en œuvre, constitue un troisième moyen d’action dont la crédibilité se doit d’être préservée si les puissances occidentales désirent être en mesure de faire plier l’Iran sur le terrain diplomatique.

Quatrième théâtre, mais non des moindres : les opérations clandestines de terrain.

Celles-ci se sont multipliées ces dernières années, comme en témoignent les assassinats de scientifiques iraniens travaillant dans le domaine du nucléaire.

En outre, d’autres faits troublant sont à mentionner comme l’explosion survenue le 12 novembre 2011 sur la base militaire d’Alghadir, près de Téhéran, suivie le 28 de ce même mois par une autre explosion survenue sur un site de recherche nucléaire situé à Ispahan.

S’agit-il de l’œuvre du Mossad ?

Cela ne fait pas de doute pour le régime iranien.

Côté israélien en revanche, on se contente de déclarer, à l’instar d’Ehud Barack, que d’autres incidents de ce type sont toujours les bienvenus…

Le cyberespace, nouveau champ de bataille de la guerre Iran / Occident

Enfin, il existe un cinquième théâtre d’opération où s’affrontent l’Iran et ses plus virulents opposants : le cyberespace.

L’avantage de celui-ci, c’est qu’il jouit d’un vide juridique complet.

Rien ne codifie sur le plan international les agressions informatiques interétatiques.

En l’absence de lois, l’état de nature prévaut et tous les coups sont permis.

Dans ce jeu nouveau qui n’est rien de moins qu’un corollaire des avancées technologiques inhérentes à notre époque, l’avantage va à celui qui en maîtrise le mieux la substance.

Inutile de préciser que le rapport des forces penche ici du côté occidental de la balance.

Le savoir comme les moyens dont disposent des Etats comme les Etats-Unis ou Israël sont sans commune mesure avec les ressources à la disposition de Téhéran.

Or depuis 2010, les attaques informatiques à l’encontre d’installations iraniennes ont connu une forte hausse.

Phénomène le plus médiatisé de cette lutte d’un genre nouveau, l’affaire Stuxnet, survenue en septembre 2010 et qualifiée de « véritable guerre électronique » par les dirigeants iraniens.

Pour rappel, ce ver informatique s’était différencié de ses congénères par ses caractéristiques bien spécifiques.

Il avait en effet été spécialement programmé pour s’en prendre à un certain type d’installations industrielles.

Plus précisément, ce sont les installations pilotées par « Scanda », un système de contrôle mis au point et fourni par la firme allemande Siemens, qui constituaient la cible de Stuxnet.

Se transmettant aussi bien par une simple clé USB que via un réseau interne, Stuxnet ne se contentait pas de voler des données.

Il permettait littéralement une reprogrammation des infrastructures visées, tout en leurrant leurs superviseurs quant à l’état réel de leur fonctionnement.

Au final, ce ver aurait infecté plus de 30 000 ordinateurs industriels en Iran et ses cibles principales n’ont été ni plus ni moins que les sites nucléaires de Busheyr (une centrale à eau légère – fournie par la Russie) et le site d’enrichissement d’uranium de Natanz.

Sur ce dernier, Stuxnet s’est attaqué aux centrifugeuses iraniennes en en poussant les moteurs de rotor jusqu’à leurs fréquences de résonnances.

Les vibrations ainsi engendrées en ont alors assuré la destruction.

Au final, ce sont approximativement 1000 centrifugeuses qui ont été endommagées.

Peu de temps après, selon un rapport de l’AIEA, seule 4000 centrifugeuses sur les 8000 que comptait à l’époque de site de Natanz se sont avérées être en fonctionnement.

Quel est le poids de la responsabilité de Stuxnet dans cet état des faits ?

Difficile à dire.

Les dirigeants iraniens, bien qu’ils aient admis la réalité de l’attaque, ont toujours cherché à en diminuer la portée.

Quoi qu’il en soit, si Stuxnet n’a pas mis un coup d’arrêt au programme d’enrichissement iranien, et nonobstant le fait que sa portée demeure encore aujourd’hui difficile à évaluer, il n’en ressort pas moins une véritable volonté de la part des adversaires de Téhéran d’agir sur tous les fronts en vue de contrecarrer les desseins de la République islamique.

Mais qui donc porte la responsabilité de cette attaque informatique ?

Selon le New York Times, Stuxnet serait le fuit d’une coopération américano-israélienne et aurait même fait l’objet de tests au cours de l’année 2009 dans le désert du Néguev, sur une cascade de centrifugeuses test.

Bien qu’ils ne soient jamais passés aux aveux, ni Washington ni Tel Aviv n’ont émis de démenti quant à une possible implication de leurs services, se contentant de constater que l’Iran rencontrait « des problèmes techniques ».

Détail important : les installations nucléaires visées n’étaient pas connectées à internet. L’assistance d’un tiers – conscient ou non – a donc dû être requise sur le terrain afin d’infecter le premier ordinateur et ainsi permettre au ver de s’étendre sur le réseau interne.


Moins médiatisé que son grand frère, le virus Stars a frappé l’Iran en avril 2011, soit seulement 8 mois après l’éclatement de l’affaire Stuxnet.

Cette fois-ci, bien qu’admettant quelques dégâts, les autorités iraniennes ont déclaré avoir repoussé l’attaque avec succès.

Il faut dire que Téhéran prend la menace au sérieux et s’est donc doté d’une unité, au sein des Gardiens de la révolution, en charge de la « guerre informatique ».

Les moyens de cette unité demeurent méconnus, mais à en croire les déclarations officielles, l’Iran serait fin prêt à mener le combat sur ce nouveau théâtre d’opération.

Entendez par là que, partisan d’une posture défensive, Téhéran entend aujourd’hui passer à l’offensive.

Il s’agit là d’une rhétorique propagandiste brassant des dires pour le moins peu crédibles aux yeux de l’observateur avisé.

Les principaux faits d’arme iraniens dans cette « cyber-guerre » se résument pour l’heure au piratage ponctuel de quelques sites d’opposition au régime situés à l’étranger, tel que Voice of America.

Mais l’Iran a besoin de faire croire qu’il peut dominer en un tour de main n’importe quelle technologie.

Les exemples se comptent à foison.

Comme lorsque Téhéran a déclaré en décembre 2011 que la capture sur son territoire d’un drône américain RQ-170 résultait d’une prise de contrôle à distance de l’appareil par une unité spécialisée qui l’avait par la suite forcé à se poser.

Alors que les Iraniens fanfaronnent, à l’instar du Général de Brigade Ali Fazli, en déclarant que la République islamique va prochainement se doter d’une « cyber-armée » composée de « milliers de hackers », il apparaît utile de souligner que la première des ressources dans ce nouveau type d’affrontement demeure la maitrise du savoir-faire.

Etant donné leur retard dans ce domaine, il est pour l’heure difficile d’imaginer voir les Iraniens parvenir à faire jeu égal avec les Israéliens et les Américains du jour au lendemain.

La qualité du matériel mais aussi et surtout du personnel impliqué dans la lutte dans le cyberespace reste pour l’heure l’apanage d’un cercle restreint de pays dont l’Iran ne peut pas prétendre faire partie, en dépit de ses envies. Ainsi, de l’avis d’experts, la programmation de Stuxnet, extrêmement complexe dans sa réalisation, aurait nécessité l’appui de seulement 6 à 10 développeurs accomplis sur une durée minimum allant de 6 à 9 mois.

Un parallèle peut être effectué entre les attaques contre l’Iran et la volonté affichée ces dernières années par l’Etat hébreu de donner un coup de fouet à ses capacités de guerre informatique.

Depuis 2007, cette dernière constitue même l’un des piliers stratégique d’Israël. Tsahal dispose d’ailleurs d’une unité spécialisée dans les cyber-attaques : l’unité 8200.

Pas plus tard que le 22 avril dernier, le Général Gantz admettait à l’occasion d’une interview que les opérations clandestines à l’encontre des ennemis d’Israël constituaient une constante de la stratégie de l’Etat hébreu, et que leur nombre allait croissant depuis le début 2012.

C’est dans ce contexte que s’inscrivent les attaques informatiques survenues le 22 avril dernier contre le secteur pétrolier iranien, sur lequel repose la survie économique du pays.

Au regard de l’ensemble des cibles visées, l’objectif de ces cyber-attaques prises dans leur globalité présente une double finalité : il s’agit d’une part d’affaiblir économiquement et politiquement l’Iran, pour le forcer au compromis sur le terrain diplomatique tout en retardant d’autre part ses progrès dans le domaine du nucléaire, et repousser ainsi l’échéance au-delà de laquelle l’option militaire cesserait d’être une possibilité, pour devenir une nécessité.

Vincent Eiffling/Atlantico.fr

Vincent Eiffling est chercheur au CECRI (Centre d’Etude des Crises et des Conflits Internationaux, Université Catholique de Louvain, Belgique) et chercheur-associé au CREC (ESM de Saint-Cyr Coëtquidan).

Il est aussi membre de l’Alliance Géostratégique et gestionnaire du blog Chroniques Persanes.
Envoyé par Roland_017 - le Vendredi 4 Mai 2012 à 12:00
Sam Westrop :

"Je dirais que non-Juifs sont davantage engagés dans la défense d’Israël en Grande-Bretagne.

C’est bizarre qu’il faille compter davantage sur les non-Juifs que sur la communauté juive."

Un des principaux militants pro-israéliens britanniques estime qu’on "ne peut pas faire confiance" à la communauté juive dans son ensemble pour défendre Israël et que ce sont les non-Juifs qui mènent le combat contre les campagnes de délégitimation d’Israël.

Sam Westrop, l’un des fondateurs de la British Israel Coalition (BIC), a évoqué "la paralysie" qui frappe les dirigeants de la communauté juive qui ne parviennent pas à se mettre d’accord sur la politique à adopter concernant Israël.

Selon lui les responsables de la communauté juive "évitent" de parler d’Israël chaque fois que c’est possible.

"J’ai vraiment l’impression que la communauté juive fait le strict minimum pour défendre Israël, soit par peur de susciter des provocations soit parce qu’elle considère que ce n’est pas de son ressort", a déclaré Sam Westrop.



Selon lui ce qui compte pour les organisations communautaires et leurs dirigeants c’est de projeter une "bonne image" aux yeux du public plutôt que le désir de"faire ce qu’il faut".

"Je dirais que non-Juifs sont davantage engagés dans la défense d’Israël en Grande-Bretagne", a-t-il déclaré.

"C’est bizarre qu’il faille compter davantage sur les non-juifs que sur la communauté juive."

La BIC est un groupe de coordination des partisans d’Israël créé l’an dernier qui compte plus de 2.500 membres, y compris des chrétiens et des musulmans , et dont le but est de lutter contre un réseau engagé dans la délégitimation et qui véhicule une haine viscérale d’Israël.

Depuis sa création, BIC a aidé à coordonner des contre-manifestations lors d’événements et manifestations organisés par Palestine Solidarity Campaign.

M. Westrop, qui est aussi l’attaché de presse du Jewish National Fund, a rapporté qu’une équipe de 30 militants de la BIC avait pendant six mois collecté des informations concernant l’opération "flytilla" qui avaient été transmises aux responsables israéliens et aux compagnies aériennes.

Sam Westrop s’étonne et s’inquiète du fait de ne pas avoir pas été contacté par le leadership juif britannique.

Lire l’article ICI

Le blog de Sam : Fighting Back

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Envoyé par Roland_017 - le Vendredi 4 Mai 2012 à 12:03
Si il veut venir en ISRAEL, Holland peut prendre la prochaine flotille. Il sera avec ses petits copains et ses petits camarades et de plus, vue l'état des finances de la France c'est gratuit
Envoyé par Serge_009 - le Vendredi 4 Mai 2012 à 12:26
si l etat de la france et en piteu etat merci sarko c est lui qui est au pouvoir depuis 10 ans
Envoyé par Denis_014 - le Vendredi 4 Mai 2012 à 13:28
chorom Sarko n est point juif par sa mere .Son grand-pere pour se marier a une catho c est convertie en 1915.Si mes souvenirs sont bon il s appeller Mellah .A verifer sur le net .Sous le reigne de S. il y a eu en F rance pas mals d actes antisemites en France Il a traite N.de menteur , il y a un consul de france a Gazza quand les Gazzuites sont nos pires ennemis et maintenant pour continue a reigner il tend sa main au fn
Envoyé par Danielle_037 - le Vendredi 4 Mai 2012 à 14:07
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Chorom - le Vendredi 4 Mai 2012 à 14:35
Je vote Sarko, non pas pour lui, il m'a trop déçu, mais contre Hollande. Entre la peste et le choléra, il faut choisir le moindre mal. Ne pas voter Sarko, c'est donner sa voix à Hollande si on vote blanc, non seulement les socialos sont antisémites, mais en plus les verts et les communistes, n'en parlons pas !
Envoyé par Paula_001 - le Vendredi 4 Mai 2012 à 18:29
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Johanan - le Samedi 5 Mai 2012 à 23:26
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 57 minutes