|
Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientAbbas accuse Rice d'avoir inventé une conversation cruciale sur une offre de paix d'Olmert8 Juillet 2012 - Guysen Israel News
   Le chef de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a accusé samedi l'ex-secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice d'avoir inventé une conversation cruciale entre eux, qu'elle cite dans ses mémoires, et où elle évoquait le refus d'Abbas d'une offre de paix du Premier ministre Ehoud Olmert en 2008. Dans une interview samedi à la deuxième chaîne de télévision israélienne, il a nié que cette conversation ait eu lieu. Il a également démenti une autre remarque-clé relative à la proposition d'Olmert reprise cette fois-ci par Jackson Diehl, journaliste au Washington Post. Dans une interview datant de mai 2009, Diehl avait cité Abbas affirmant à propos de l'offre de paix d'Olmert que ''les divergences étaient importantes''. M. Abbas a soutenu n'avoir jamais prononcé cette phrase. 2 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 3 heures - Kountrass
Il y a 4 heures - Juif.org
Il y a 4 heures - Le Figaro
2 Mai 2025 - Le Figaro
4 Avril 2025 - Slate .fr
29 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Guillemette
21 Avril 2025 par Claude_107
18 Avril 2025 par Claude_107
Il y a 5 heures - Le Monde Libre
4 Mai 2025 - Identité Juive .com
1 Mai 2025 - Torah-Box
1 Mai 2025 - Torah-Box
16 Avril 2025 - Identité Juive .com
 28 Juillet 2014
 27 Juillet 2014
 27 Juillet 2014
 27 Juillet 2014
 21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 51 minutes
Mais un Musulman a le droit (et même le devoir) de travestir la réalité si c'est de son intérêt, de l’intérêt de sa religion ou de l’intérêt d'autres Musulmans... C'est la Taqiya (une loi de la religion Musulmane) largement et quotidiennement mise en œuvre dans ce monde glauque d'obscurantisme, de barbarie et de chaos...
Rappelons-nous il y a quelques années comment « Assad le concombre » (expression empruntée à Viviane) a roulé dans la farine successivement, à des époques éloignées de plusieurs mois, le ministre espagnol des affaires étrangères puis l'italien Romano Prodi...
Tous deux, de retour dans leurs pays respectifs, fiers et heureux d'avoir obtenu (pensaient-ils suivant les assurances qu'ils avaient reçues d'Assad...) la promesse que la Syrie contrôlerait totalement sa frontière avec le Liban (contre les trafics du Hezbollah...) ont été tournés en ridicule lorsqu'Assad a formellement démenti leurs déclarations victorieuses...