|
Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientL'UE va augmenter ses liens avec IsraëlL'UE va proposer une mise à niveau de ses liens et des ses relations diplomatiques avec Israël dans plus de 60 domaines lors d'une réunion de haut niveau prévue mardi à Bruxelles, quelques semaines après que les ministres des affaires étrangères de l'Union Européenne aient averti que la politique israélienne en Judée Samarie "menace de rendre une solution à deux états impossible." Une source diplomatique a partagé les détails avec le journal anglais The Guardian, soulignant l'ensemble des avantages qui seront offerts au ministre israéliens des affaires étrangères Avigdor Lieberman. Selon le rapport, l'UE prévoit d'élargir ses relations avec Israël dans une série de domaines, y compris la migration, l'énergie et l'agriculture. Elle va supprimer les obstacles qui entravent l'accès d'Israël aux marchés européens et renforcer la coopération d'Israël avec neuf agences européennes, y compris Europol et l'Agence Spatiale Européenne. Un important diplomate européen a critiqué la décision, citant le "non-respect par Israël de ses obligations en vertu du droit international." Il a noté que pas un seul ministre n'était prêt à s'opposer à l'accord de mardi de peur de la réaction des communautés juives. "J'ai été frappé par le fait que toute une gamme de relations était offerte à Israël, à la demande d'Israël, comme si rien ne se passait sur le terrain," a déclaré le diplomate, oubliant que justement rien du tout ne se passe sur le terrain, à la demande expresse des palestiniens. "La plupart des ministres ont trop peur d'en parler au cas où ils seraient désignés comme étant trop critique envers Israël, parce qu'en fin de compte, les relations avec Israël sont dans un sens les relations avec la communauté juive en général, et dans l'autre, avec Washington, et personne ne veut avoir de problème avec Washington." "Donc, les ministres se sentent très bien avec des déclarations politiques, mais ils s'abstiennent de prendre des mesures concrètes." Il faut tout de même souligner que ce diplomate, qui parle avec véhémence de la lâcheté des ministres européens, a insisté pour que ses remarques soient publiées sous condition… d'anonymat. En janvier 2009, au cours de l'opération Plomb Durci, l'UE et Israël avaient reporté les pourparlers sur la mise à niveau des liens en raison de la situation à Gaza. Articles connexes
31 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 3 heures - Juif.org
5 Mai 2025 - Le Figaro
5 Mai 2025 - Le Figaro
5 Mai 2025 - i24 News
4 Avril 2025 - Slate .fr
29 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Guillemette
21 Avril 2025 par Claude_107
18 Avril 2025 par Claude_107
4 Mai 2025 - Le Monde Libre
4 Mai 2025 - Identité Juive .com
1 Mai 2025 - Torah-Box
1 Mai 2025 - Torah-Box
16 Avril 2025 - Identité Juive .com
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
3/4 sont des mensonges,que jamais ils ne tiendront ,
l 'EU et la France veulent noyer leurs diffilcutées, et leurs peurs
sur nous, en faisant semblant de s'interresser à nous==bla-bla-bla ,
---je COMPARE l' EU et la FRANCE à une grande maison bourgeoise qui
a besoin de personnel pour gérer sa MAIson ? ET PRENDRE ISRAEL COMME
PERSONNEL QUALIFIE QUI RESOUDRA TOUS SES PROBLEMES
QUI LES DEPASSENT §§§ DONC iSRAEL DOIT FAIRE LE MENAGE===
Les larges finances et l'organisation des "Frères Musulmans" ont contribué à leur succès en Europe. Mais leur acceptation dans le courant principal de la société, et leur irrésistible ascension vers le pouvoir n'aurait pas été possible si les élites européennes avaient été plus vigilantes, avaient donné plus de valeur à la substance qu'à la rhétorique, et compris les motivations des ceux qui financent et construisent ces organisations islamistes. Pourquoi les européens ont-ils été aussi naïfs ? Bassam Tibi, un professeur allemand d'ascendance syrienne et expert de l'Islam en Europe, pense que les européens – et les allemands en particulier – craignent l'accusation de racisme (78). Des radicaux sous une peau de mouton ont appris qu'ils peuvent faire taire presque tout un chacun sous l'accusation de xénophobie. Toute critique des organisations liées aux « Frères Musulmans » est suivie de tollés de racisme et de persécution antimusulmane. Des journalistes qui ne sont pas effrayés par ces appellations sont inondés de poursuites judiciaires sans fondement et sans succès mais coûteuses.
Dans certains cas, des politiciens échouent tout simplement à vérifier les déterminants de ceux qui prétendent être les représentants légitimes de la communauté musulmane. Comme aux Etats-Unis, des représentants autoproclamés de la communauté musulmane sont beaucoup plus radicaux que les populations qu'ils représentent. Dans d'autres cas, des politiciens réalisent que ces organisations ne sont pas les partenaires idéaux pour un dialogue constructif mais ils ne prennent pas le temps de rechercher des organisations moins visibles mais plus modérées, dont plusieurs existent seulement au niveau de base, gênés par des contraintes financières.
Ce que la plupart de politiciens européens ne parviennent pas à comprendre est que, en rencontrant des organisations radicales, ils leur donnent du pouvoir et assurent la légitimité des « Frères Musulmans ». Il y a un appui implicite à toute réunion, spécialement quand les mêmes politiciens ignorent les voix modérées qui n'ont pas accès au généreux financement saoudien. Cela crée un cycle auto perpétué de radicalisation, parce que plus la politique de légitimation politique des « Frères Musulmans » est grande, plus 'opportunité pour qu'eux et leurs groupes affiliés gagnent en influence et radicalisent diverses communautés musulmanes européennes. L'ironie ultime est que le fondateur des « Frères Musulmans », Hassan al Banna rêvait de répandre l'Islamisme à travers l'Egypte et le monde musulman. Il n'aurait jamais rêvé que sa vision aurait pu aussi devenir une réalité en Europe.
Lorenzo Vidino est directeur adjoint du Projet d'Enquête, un institut de recherche antiterroriste basé à Washington D.C.
Mais je crois qu'il faut avoir une juste perspective, une appréciation qui puisse jauger des menaces réelles, sans les majorer ni les minorer.
Tu avances que la majorité des adhérents du Front de Gauche est musulmane. Sur quelles données factuelles te bases-tu ? - Le Front de Gauche est un regroupement à visées électoralistes. Il comprend plusieurs composantes, dont la plus importante est le parti communiste, qui ont repris leur autonomie après des élections qui, grosso modo, ont été plutôt un échec, que ce soit l'élection présidentielle ou que ce soit les élections législatives. Un échec par rapport et aux ambitions démesurées de ce regroupement et par rapport à la dynamique qui semblait le porter, mais que l'électorat n'a pas confirmée.
Le Front de Gauche, c'est, avant tout et essentiellement, le PC, qui avait besoin d'un camouflage, et d'un leader plus stimulant que le pâle Pierre Laurent ; s'y ajoutent un Parti de Gauche dont on ne voit guère que le leader, Jean-Luc Mélenchon ; la Gauche Unitaire, scission de l'ex-LCR, et une poussière de groupuscules d'extrême-gauche dont les adhérents se comptent, pour chacun, sur les doigts des deux mains ...
Ces différents groupes draguent certes depuis longtemps les immigrés musulmans - mais quoique je ne dispose pas de statistiques ( si tu en as, je suis preneur ), je crois que les masses islamiques sont aux mains des imâms, et que ceux-ci, qui savent certes utiliser les
" idiots utiles " , sont très peu disposés à favoriser l'embrigadement politique de leurs ouailles par des groupes athées et qu'ils ne contrôlent pas. Mais bien sûr, il y a pourtant une lente pénétration. Cela dit, les trotskystes, par exemple, qui sont experts en pénétration et en noyautage ( l' " entrisme " ), savent ne pas se laisser eux-mêmes noyauter, tout en mettant en avant des musulmans s'ils le jugent utile ( tu te rappelles peut-être cette candidate du NPA à je ne sais plus quelle élection dans le Midi qui se présentait voilée ... )
Cela dit, il est certain que la tactique des " Frères Musulmans " - telle en tout cas qu'on la voit fonctionner avec et autour de Tariq Ramadan - est, comme le dit Lorenzo Vidino, de s'appuyer sur l'extrême-gauche, mais peut-être moins pour conquérir des positions de pouvoir au sein des appareils que des réseaux d'influence dans les milieux intellectuels ( presse, Universités - On voit bien comment ça se passe, en France, avec, par exemple, " Le Monde Diplomatique " et des gens comme Alain Gresh ou Dominique Vidal ).
Mais les " Frères Musulmans " ne contrôlent vraiment ni le PS français en tant qu'appareil de pouvoir et de conquête du pouvoir ( même s'ils y pénètrent ), ni la CDU ou la SPD allemandes. Les politiciens d'origine musulmane en sont encore relativement loin. Mais si le droit de vote aux élections locales devait, en France, être accordés aux immigrés ( non-communautaires ), ils auraient fait un grand pas dans ce
sens. Et, de toute façon, la démographie joue et jouera en ce sens ( cf. Bernard Lewis, Mme Bat Ye'or, Walter Laqueur, Christopher Caldwell ... ). Les visions d'André Malraux, que tu rappelles, indiquent la même direction.
Cela dit ( mais on pourrait discuter longuement là-dessus ), je vois moins une submersion totale ( sauf là où, comme en Suède, ou en Belgique peut-être, le rapport démographique est déjà très menacé ) qu'une sorte de " libanisation " de pays comme la France.
En attendant, et pour passer à un autre élément, je crois que les effets des campagnes " BDS " sont limités - quoique certains. Il n'y a pas - à ma connaissance, mais tu as peut-être d'autres infos - de cas de " saccage " de grands magasins : l'effet du boycott de produits israéliens ( alimentation, surtout, produits de beauté, etc. ) se traduit surtout par la disparition, ou le camouflage de produits israéliens ( ou, tout simplement, juifs ) dans les gondoles des grandes surfaces. Mais par exemple pour les produits de l'électronique ou des industries pharmaceutiques, l'effet est, jusqu'à présent, à peu près nul - ce qui ne veut pas dire qu'il ne pourrait pas se développer ... L'Europe est prise en tenailles entre les intérêts économiques - qui la conduisent et qui conduisent les groupes privés du commerce, de la banque, de l'industrie, à intensifier ses relations économiques avec Israël - et l'action des pays arabes et des groupes de pression politiques comme celui de Barghuti en faveur
d'un renforcement et d'une diversification tous azimuths des actions de boycottage.
L’ancien cadre du Parti socialiste remporte même la faveur d’une grande partie des musulmans, qui le placent en pôle position dans leurs intentions de vote. Selon le sondage réalisé sur Saphirnews.com entre le 15 et le 20 avril auprès d’un panel de 1 045 lecteurs, 29,2 % (306 votants) ont déclaré vouloir donner leurs voix au leader du Front de gauche, allié avec le Parti communiste.
Une position de leader confirmée par d’autres sondages, dont celui qui a été lancé par l’Union des associations musulmanes de Seine-Saint-Denis (UAM 93) avec 39,5 % des voix. Son image d’homme contestataire à même de faire bouger les lignes politiques plaît visiblement, tout comme son programme socio-économique qui casse une logique libérale et sa rhétorique anti-Le Pen et anti-Sarkozy.
Ses prises de position lors des « dérapages » de Claude Guéant et de la polémique du halal, qualifiée d’« histoire grotesque », avait ainsi été vivement appréciée. Marine Le Pen « veut nous faire croire que l'on attrape l'islam par le manger », avait ironisé le député européen, avant de fustiger une « extrême droitisation de la droite ». Lors de l’affaire Merah, il a déclaré vouloir « protéger les musulmans de la vindicte ».
Face à ces affaires, « le PS a eu une réponse molle alors que Mélenchon a tapé du poing sur la table en disant : "Vous nous emmerdez avec cette polémique", et ça, les musulmans l’ont entendu », commente M'Hammed Henniche, secretaire général de l'UAM 93.
Mais les électeurs n'ont en fin de compte pas donné corps à ces rêveries. Et je dirai, de plus, que la défaite cinglante de Jean-Luc Mélenchon à l'élection législative d'Hénin-Beaumont a brisé net les espoirs de ce Mussolini de carnaval d'incarner un recours à la gauche du PS. Les islamistes devront se trouver un autre champion.