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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Le Hamas accepte l'invitation de Téhéran, Abbas semble perdu

Le Hamas accepte l'invitation de Téhéran, Abbas semble perdu - © Juif.org

L'Iran a invité le premier ministre du Hamas a Gaza, Ismail Haniyeh, à participer à un sommet de 120 pays en développement, ont indiqué samedi des responsables.

Le premier ministre des arabes de Judée Samarie, Salam Fayyad, a pour sa part exhorté son homologue de Gaza de ne pas assister au sommet, mais le porte parole du groupe terroriste Hamas a déclaré samedi après-midi que le chef terroriste a accepté l'invitation.

"Il s'agit d'une grave escalade de l'Iran contre l'unité palestinienne et contre le rôle de l'autorité palestinienne en tant que gardienne du peuple palestinien dans la bande de Gaza et en Judée Samarie, y compris Jérusalem," a déclaré Fayyad dans un communiqué.

"Malheureusement, cette position hostile de l'Iran a bénéficié au Hamas comme représentant des arabes de la bande de Gaza. Les adeptes de cette revendication disent ne pas vouloir prendre parti quand il s'agit des partis palestiniens, comme si l'autorité palestinienne n'était qu'une partie plutôt que d'être un parapluie pour toutes les personnes et factions palestiniennes à la fois en Judée Samarie et dans la bande de Gaza," a-t-il ajouté.

Fayyad a appelé Haniyeh à "donner la priorité à sa loyauté envers la 'Palestine' et son patriotisme sur toute autre considération."

Le président Mahmoud Abbas, qui a également été invité à la réunion, a eu l'impression qu'il allait être le représentant des arabes qui se disent palestiniens et a annoncé qu'il allait diriger la délégation.

Le ministre des affaires étrangères de l'AP a déclaré qu'Abbas ne participera pas au sommet des pays non alignés en Iran si le Hamas y participait également.

Riad Malki a déclaré samedi que l'AP attend des éclaircissements de l'Iran après que le Hamas a annoncé qu'il avait été invité au sommet, et que son premier ministre, Ismail Haniyeh, y assistera.

Le comité exécutif de l'OLP a également publié un communiqué samedi en disant que l'invitation d'Haniyeh indique que "l'Iran a rejoint les objectifs des israéliens."

L'Iran espère obtenir une reconnaissance diplomatique en organisant un sommet du groupe des pays non alignés entre le 29 et le 31 août à un moment où l'Occident cherche à paralyser son économie et l'isoler diplomatiquement à cause de son programme nucléaire.

Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a déclaré qu'il y assisterait, défiant les appels en provenance des Etats-Unis et d'Israël pour boycotter cette réunion.

L'invitation a Haniyeh met en évidence le fossé existant entre les arabes de la bande de Gaza et ceux de Judée et Samarie, et complique les choses pour Abbas, dont le gouvernement soutenu par l'Occident se voit comme le seul représentant de ces deux populations.

Les forces d'Abbas ont perdu le contrôle de la bande de Gaza en 2007 lors d'une brève guerre contre les islamistes du Hamas, et ne gouverne depuis qu'en Judée et Samarie.

L'autorité palestinienne a déjà accusé l'Iran de comploter contre elle et d'intervenir dans ses affaires intérieures en incitant les factions comme le Hamas à mener des attaques contre Israël pour saboter le processus de paix… inexistant.

Le Hamas, en revanche, est ouvertement voué à la destruction d'Israël (contrairement à l'AP, qui reste plus discrète), une position plus en phase avec le point de vue des dirigeants iraniens, dont Ahmadinejad, qui a répété la semaine dernière qu'il n'y avait pas de place pour Israël au Proche Orient.

26 commentaires
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Envoyé par Thérèse_001 - le Samedi 25 Août 2012 à 22:02
ken!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!nakhon!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Star
Envoyé par Bar-oni - le Dimanche 26 Août 2012 à 07:10
c'est une divine comédie macabre à laquelle on assiste avec 1 milliard et demi de musulmans chiites et sunites qui se battent entre-eux mais qui sauront se reconcilier le moment venu pour taper sur Israël considéré comme le bouc émissaire; et quand ils en auront terminé avec les juifs qui ne sont que 10 millions sur terre , il recommenceront à s'égorger entre eux et chercheront à exterminer la race humaine jusqu'à la fin des temps parce que c'est le Coran qui leur commande de faire couler le sang des juifs, des chrétiens et de tous les infidèles que représentent les 5 millions d'être humains sur la planète qui ne sont pas musulmans; je ne suis pas optimiste pour la suite des évènements surtout avec un président de la république Israélien comme Shimon Perez qui prône la solution diplomatique alors qu'il existe des preuves tangibles d'un génocide mondial en cours de préparation par les Arabes et les Perses contre les juifs.
Envoyé par Daniel_097 - le Dimanche 26 Août 2012 à 09:32
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Envoyé par Johanan - le Dimanche 26 Août 2012 à 09:47
EN 1 MN? TU DEVIENS MUSULMANS, chrétien, mais pour se convertir au judaisme, la vie n est pas un long fleuve tranquille ,il est facile d estre des milliards dans le monde, reciter une formule de 30 secondes, et te voila musulman,une formule sur la sainte trinité , te voila chrétien,
La question « qui est juif ? » est depuis des millénaires un sujet de perpétuels débats et de perpétuelle discorde.

Depuis la fondation de l’État d’Israël en 1948 et avec l’immigration des juifs soviétiques, le problème a revêtu encore plus d’âpreté.

La loi du retour [1] stipulant dans son article premier « Chaque juif a le droit de retourner dans ce pays comme immigrant », il redevenait urgent de savoir qui était juif ?

Controverses

La solution adoptée, après bien des controverses, fut que toute personne ayant au moins un de ses grands-parents juif pouvait prétendre à la citoyenneté israélienne, en tant que juif.

Et toute personne née de mère juive ou convertie était considérée comme juive, sans préciser qui avait qualité pour effectuer cette conversion.

Cela permit à la Cour Suprême de reconnaitre les conversions non orthodoxes effectuées hors d’Israël.


Alyah

Mais le fait d’acquérir la citoyenneté israélienne n’impliquait nullement pour les instances religieuses du pays que le nouveau citoyen soit juif.

Sur ce point, le Rav Haim Amsalem [2], rapportait que sur le nombre estimé en 2007 de 985.000 émigrés de l’ex-URSS, environ 300.000 n’étaient pas juifs d’après la loi juive, et parmi eux, 110.000 ne l’étaient pas, car de père juif et de mère non juive.

Et il ajoutait « Aujourd’hui le chiffre réel est supérieur à 400.000 c’est dire l’importance et l’urgence du problème.

Un jeune avec un nom juif comme Cohen ou comme Meltzer qui a été maltraité en Russie parce que juif, arrive en Israël où il se voit considéré comme non-juif… »

Selon les rabbins, la judéité d’un enfant est déterminée par celle de sa mère.

On parle de transmission « matrilinéaire » de la judéité, bien qu’au sens strict, la matrilinéarité soit un principe de filiation qui relève du lignage de la mère, particulièrement en matière d’héritage, de propriété, de noms de famille ou des titres.



La matrilinéarité dans la Torah



Dans la Torah, on ne trouve nulle part de règle de la filiation matrilinéaire, au contraire un grand nombre de personnages ne sont présentées que par leur seule filiation paternelle. Shaye Cohen [3], professeur de littérature et de philosophie hébraïque à l’université de Harvard, fait par exemple remarquer que « Dans tout mariage où il n’y a pas eu de faute, l’enfant a le statut du père (Cohen, Lévi, Israël).

Quels sont les cas ?

Lorsque la fille d’un prêtre ou d’un Lévi ou d’un juif ordinaire épouse une Cohen, Lévi ou Israël… » [4].

Cela signifie que la qualité de Cohen ou de Lévite de la loi juive utilise une ascendance patrilinéaire et qu’ainsi pour le sacerdoce héréditaire, on n’est pas Cohen par sa mère, mais par son père.

Sous la dynastie constantinienne (de 312 à 363 ) un certain R. Ya’akov, de Kfar Niboraya, enseignait à Tyr que l’enfant d’un père juif était juif à part entière même si sa mère ne l’était pas ; à l’appui de sa thèse [5], il invoquait un passage de la Torah :

« 18 Puis ils convoquèrent toute la communauté, le premier jour du second mois ; et on les enregistra selon leurs familles et leurs maisons paternelles, en comptant par noms ceux qui avaient vingt ans et plus, chacun individuellement, 19 ainsi que l’Éternel l’avait prescrit à Moïse.

Leur dénombrement eut lieu dans le désert de Sinaï. On les enregistra selon leurs familles, selon les maisons de leurs pères » [6].

On constate que les mariages mixtes intéressent des personnages fondamentaux de la bible, mais la mère israélite qui épouse un non-israélite sort de l’histoire fait remarquer le Rabbin Delphine Horvilleur [7].

Ce fut par exemple le cas de Dinah, fille de Jacob, qui dut épouser Shechem, le fils non israélite du chef de la ville de Sichem.

Chez les hommes, Moïse avait épousé une étrangère, Tsipora, fille du prêtre madianite Jethro et ses enfants sont hébreux comme leur père.

Juda fils de Jacob épousa la cananéenne Thamar qui lui donna deux garçons jumeaux : Perets et Zérah.


Le roi david

Le roi David est un descendant de Perets [8] qui ne serait pas aujourd’hui reconnu comme juif.

Son père Ichaï est le fils d’Oved, lui-même fils de Boaz et de Ruth la Moabite qui n’était pas juive.

Mais Ruth est considérée s’être convertie après avoir déclaré à sa belle mère Naomi « N’insiste pas auprès de moi pour que je te quitte et que je m’en retourne sans te suivre, car là où tu iras, j’irai ; là où tu demeureras, je demeurerai ; ton peuple sera mon peuple et ton Dieu sera mon Dieu.

Là où tu mourras, je veux mourir aussi et y être enterrée, que l’Eternel m’en fasse autant et plus, si toute autre chose que la mort me séparait de toi. » [9]

Malgré son ascendance qui aujourd’hui pourrait être regardée comme embarrassante par certains puristes, David, juif, a engendré l’une des lignées les plus prestigieuse de l’histoire juive.

Le frère de Juda, Joseph épousa Asénath, fille du prêtre égyptien Potiphéra et ses enfants Ephraïm et Manassé, également non juifs, sont considérés comme le modèle de transmission de la judaïcité : les parents juifs religieux, le vendredi soir, avant le premier repas du chabbat, bénissent leurs garçons en terminant par la phrase :

« que Dieu te mette comme Éphraïm et comme Manassé ».

Les descendants d’Ephraïm constituent une des douze tribus d’Israël.

Hormis la « conversion » de Ruth, nulle part il n’est fait état de conversion : la conversion n’existait pas à cette époque.

Ce que dit la Torah

Quelques textes peu nombreux sont habituellement cités pour justifier l’existence d’une transmission matrilinéaire de la judéité dans la Torah.

A propos des peuplades présentes en terre promise, il est écrit dans le Deutéronome [10] :

« Ne t’allie avec aucun d’eux : ta fille, ne la donne pas à son fils, et sa fille, n’en fais pas l’épouse du tien !

Car il détacherait ton fils de moi, et ils adoreraient des divinités étrangères, et la colère du Seigneur s’allumerait contre vous, et il vous aurait bientôt anéantis. »

On peut toutefois faire remarquer qu’en cas d’union mixte, le danger d’idolâtrie peut venir de chacun des deux partenaires, peu importe le sexe.

On lit aussi dans Ezra [11] :

« Oui, dès maintenant, contractons avec notre Dieu l’engagement de renvoyer toutes ces femmes et les enfants nés d’elles, conformément au conseil de mon seigneur et de ceux qui sont zélés pour le commandement de notre Dieu.

Que tout se passe selon la loi ».

Ce que dit la Mishna [12]

Il faut attendre beaucoup plus tard la Mishna pour y lire que « Dans tout mariage où il n’y a pas eu de faute, l’enfant a le statut du père.

Dans tout mariage où il y a eu une faute, l’enfant suit le parent entaché de la tare.

Dans tous les cas où il n’y a pas eu de mariage ni avec sa mère ni avec les autres femmes, il est comme sa mère.

Dans quels cas ?

Celui de l’enfant d’une esclave ou d’une non-juive. » [13]

Ce que Sylvie Coirault-Neuburger, professeur de philosophie et auteur de nombreux ouvrages sur la religion, interprète ainsi :

« Dans tous les cas où il y a mariage et sans transgression, l’enfant issu de cette union est selon le père. [Cela veut dire qu’il est juif seulement si le père et la mère sont juifs]… » [14] Mais dans aucun de ces textes il n’est affirmé la matrilinéarité.

Autres justifications

D’autres s’appuient sur l’incertitude de la paternité pour justifier la matrilinéarité.

Le professeur Shaye Cohen écrit :

« L’argument de la filiation matrilinéaire, donnée par les laïcs dans les mouvements orthodoxes et conservateurs (bien que pas par leurs rabbins) est la « certitude » de la maternité par opposition à l’« incertitude » de paternité. »

Ce qui signifie qu’on est sûr de la mère et pas du père.

On pourrait faire valoir que la certitude de paternité n’est pas davantage assurée s’il s’agit d’un couple juif plutôt que d’un couple mixte.

Pour Shaye Cohen, même dans le cas du fameux jugement de Salomon, il y a incertitude sur la certitude de l’identité de la mère.

Il est écrit en effet [15] « 22 Non pas ! dit l’autre femme, mon fils est vivant, et c’est le tien qui est mort !

Point du tout, reprit la première, c’est le tien qui est mort, celui qui vit est le mien !"

C’est ainsi qu’elles discutaient devant le roi.

23. Le roi dit alors : "L’une dit : Cet enfant qui vit est le mien, et c’est le tien qui est mort ; l’autre dit : Non, c’est le tien qui est mort, celui qui vit est le mien." »

Aujourd’hui les tests ADN pourraient facilement lever toutes les incertitudes.

Une autre explication réside dans l’affirmation que cette transmission aurait été édictée pour intégrer les enfants des femmes juives violées par les soldats romains lors des répressions sanglantes d’Hadrien en 135.


Sylvie Coirault-Neuburger

A ce propos, se référant à la Mishna, Sylvie Coirault-Neuburger écrit « Et si une femme a une relation sexuelle avec un homme qui n’est pas son mari, et qu’elle n’est pas mariée elle-même par ailleurs, l’enfant est selon elle, esclave si elle est esclave, non-juif si elle est non-juive.

[Et donc on peut en déduire : juif si elle est juive.

On peut préciser cela par un autre texte tiré du Traité Ketoubot (12-13) : l’enfant peut être considéré fils de père inconnu, ce qui lui donne un statut de simple juif.

Cette jurisprudence ici explicitée alors que la conclusion n’est qu’implicite en Ketoubot permet de donner un statut et un respect à tous les enfants nés d’un viol qui seront tous juifs] [16].

Ou est l’erreur ?

Il n’est pas de notre propos de trancher en quoi que ce soit ce problème.

Nous n’en avons ni la compétence et ni les connaissances.

Il s’agit uniquement de faire remarquer les conséquences ambigües des choix effectués.

Examinons le petit calcul suivant :

Un juif épouse une non-juive.

Ils ont un garçon Simon et une fille Rachel qui ne sont pas juifs au titre de la matrilinéarité rappelée dans ce qui précède.

La fille Rachel épouse un juif Gabriel.

Ils ont une fille Léa qui n’est pas d’avantage juive selon la loi juive.

Elle a 50% de « juif » en elle.

Cette dernière épouse un juif David, ils ont une fille Rivka encore non juive malgré 75% de juif.

Cette dernière épouse un juif Moché, ils ont une fille Shulamit qui n’est toujours pas juive malgré ses 87.5 % de « juif ».

On peut continuer…

De l’autre coté, le garçon Simon épouse une juive Hanna. Ils ont une fille Dafna qui selon la loi juive est juive avec 50% de « juif » en elle.

Cette dernière épouse Robert un non juif, ils ont une fille Suzana qui est juive avec 25% de « juif ».

Cette dernière épouse un non juif Pierre, ils ont une fille Sarah qui est juive malgré se seuls 12,5% de gènes juifs.

Ainsi en tenant compte des origines de chacun des enfants, on aboutit à ce que Sarah est juive avec 12,5 % de gènes juifs, alors que Shulamit elle, avec 87,5 % de gènes juifs, n’est pas juive.

Epilogue

Beaucoup de mouvements juifs libéraux en Europe et aux Etats-Unis considèrent, depuis les années 80, que la transmission patrilinéaire vaut la transmission matrilinéaire et que les enfants d’un père juif et d’une mère qui ne l’est pas ont « la présomption d’être d’ascendance juive » à confirmer par une éducation juive appropriée.

Ils font remarquer que la matrilinéarité peut avoir des effets pervers, la mère étant assurée que ses enfants sont juifs, n’aura pas une volonté forte de leur enseigner le judaïsme.

De même un père juif qui a épousé une non-juive sera découragé de le faire s’il n’a aucune chance de succès pour que ses enfants soient reconnus comme juifs.

Le problème comme on le sait est fort complexe, d’autant qu’il y a dans le caractère juif d’un individu à la fois une dimension ethnique (notion de peuple ou de nation) et une dimension religieuse.

Mais si la patrilinéarité était utilisée de la même façon que la matrilinéarité, au lieu de 16 millions, les juifs seraient peut-être dix fois plus nombreux dans le monde et le problème de leur devenir ne se poserait certainement plus dans les termes actuels.

Fabien Ghez/Temps & Contretemps
Envoyé par Roland_017 - le Dimanche 26 Août 2012 à 13:39
Bonjour, Roland. Outre des remerciements pour l'intéressant article de Fabien Ghez que tu reproduis ci-dessus, je voudrais répondre à ton post de 13 : 01 dans le fil de discussion " Dichter : " l'Iran est une menace existentielle " " - fil qui m'est maintenant fermé ( je ne sais pourquoi ).

Je suis bien d'accord que le mot de " Shoah " désigne un événement unique ( D. permette qu'il le reste ) et exceptionnel ( même prière ) dans l'Histoire. En l'employant comme je l'ai fait, je n'entendais pas faire un usage laxiste de ce mot - dont l'aura maléfique fait encore peur aux bien-pensants et aux dhimmis français ( regarde les tentatives pour éliminer ce mot de l'enseignement français ) ; je ne faisais que suivre et quasiment répéter le serment de Binyamin Netanyahu lors de son discours d'investiture ( en 2009 ) : " Il n'y aura pas de deuxième Shoah " .
Par ailleurs, s'il est très vrai que la Shoah - celle qu'ont perpétrée les hitlériens ( D. veuille, encore une fois qu'il nous soit permis d'en empêcher la répétition, par tous moyens nécessaires ) - avait notamment pour caractères, ainsi que tu le rappelles, son ampleur et son caractère industriel - les deux étant liés - ,ces caractères ( l'ampleur du massacre projeté : " effacer Israël de la carte " ; la puissance de l'industrie mise au service d'une ambition proprement satanique ) se retrouvent précisément dans le projet iranien.

Ce pourquoi il importe absolument d'écraser " l'oeuf du serpent " dans son nid iranien.
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 26 Août 2012 à 15:12
Je voudrais encore, Roland, si tu me le permets, dire que, pour ma part, je n'ai pas lu de déclarations émanant de " centaines d'ayatollahs iraniens contre un conflit nucléaire " - mais seulement les déclarations, par ailleurs assez ambigües, d'UN SEUL ayatollah iranien dans ce sens, au milieu d'innombrables déclarationa ppelant à la destruction d'Israël émanées de pratiquement tout ce que l'Iran compte de dignitaires politiques, religieux, militaires.

Je crois - ceci dit par ailleurs - qu'il peut être important, à l'étape actuelle, que la Diaspora fasse entendre en Israël qu'elle soutient et soutiendra toutes mesures nécessaires à l'élimination du " second Haman " , comme vient de le qualifier rav Ovadia Yosef.
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 26 Août 2012 à 15:39

Le hamas est un mouvement fasciste à visage ouvert , contrairement aux autres à visage fermé
Envoyé par Claire_021 - le Dimanche 26 Août 2012 à 15:56
Je ne sais pas si l'on peut déjà déclarer que Mahmoud Abbas est perdu. Perso, je crois qu'il a perdu la main, il y a déjà plusieurs mois, lorsque, après le succès que fut, pour le 'Hamas, l'opération d'échange d'un millier de tueurs contre Guilad Schalit, l' " Autorité Palestinienne " ( sic ) a raté son opération de " reconnaissance " par l'ONU ( même si, grâce à Nicolas Sarkozy, notamment, elle a pu empocher un lot de consolation avec son admission à l'UNESCO ).
Quant au 'Hamas, bra
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 26 Août 2012 à 17:32
Je ne sais pas si l'on peut déjà déclarer que Mahmoud Abbas est perdu. Perso, je crois qu'il a perdu la main, il y a déjà plusieurs mois, lorsque, après le succès que fut, pour le 'Hamas, l'opération d'échange d'un millier de tueurs contre Guilad Schalit, l' " Autorité Palestinienne " ( sic ) a raté son opération de " reconnaissance " par l'ONU ( même si, grâce à Nicolas Sarkozy, notamment, elle a pu empocher un lot de consolation avec son admission à l'UNESCO ).
Quant au 'Hamas, bra
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 26 Août 2012 à 17:32
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