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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientLa Russie et la Chine se joignent à une résolution critiquant l'IranLa Russie et la Chine se sont jointes mercredi aux puissances occidentales dans une critique de l'Iran à l'agence internationale de l'énergie atomique. Selon un rapport de l'AFP, après plusieurs jours de marchandage, les Etats-Unis, la Russie, la Chine, la Grande Bretagne, l'Allemagne et la France ont négocié une résolution critiquant Téhéran, lors d'une réunion du conseil d'administration des gouverneurs de l'agence internationale de l'énergie atomique à Vienne. La résolution met en évidence le mépris par l'Iran des résolutions du conseil de sécurité pour suspendre l'enrichissement d'uranium, son refus de permettre aux inspecteurs de l'AIEA d'inspecter la base militaire de Parchin, et le déplacement de preuves d'une recherche sur les armes nucléaires. Elle souligne, selon l'AFP, "une fois de plus sa profonde préoccupation que l'Iran continue à défier les exigences et les obligations contenus dans les résolutions du conseil des gouverneurs de l'AIEA et du conseil de sécurité de l'ONU." Les grandes lignes du texte ont été adoptées mardi, mais il était difficile de savoir si elles deviendront simplement une déclaration qui sera lue à la réunion du conseil des 35 nations ou une résolution plus importante qui sera présentée à un vote. La résolution ne va toutefois pas jusqu'au renvoi de l'Iran devant le conseil de sécurité, a rapporté l'AFP. La résolution de l'AIEA, susceptible d'être votée jeudi, est la 12e en neuf ans. Le rapport de l'AFP note qu'il est important que les pays occidentaux aient pu obtenir le soutien de Moscou et de Pékin, qui sont traditionnellement plus cléments envers Téhéran, la Chine étant un important acheteur de pétrole iranien et les russes ayant des liens commerciaux étroits avec Téhéran. Un diplomate à Vienne a déclaré à l'AFP que la résolution devrait passer, avec seulement deux pays qui ont encore "besoin d'être convaincu". Le dernier rapport de l'AIEA datant du 30 août a dit que l'Iran avait doublé, depuis mai, la capacité de son site souterrain de Fordo en installant près de 1000 nouvelles centrifugeuses. Vendredi, il a été signalé que plusieurs pays de l'Union Européenne envisageaient une série de nouvelles sanctions contre l'Iran en réaction au blocage des pourparlers sur le programme nucléaire contesté de la dictature islamique. Lundi, le chef de l'AIEA, Yukiya Amano, a appelé l'Iran à "ouvrir sans délai" le site militaire de Parchin, où de "puissants outils" pourraient détecter des traces d'activité clandestines en dépit des nettoyages effectués par Téhéran. 3 commentaires
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21 Juillet 2014
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Puis quelques jours après on pouvait lire que « l’Allemagne était sous le choc après l’agression d’un rabbin ».
Rien d’étonnant ! L’Europe connaît ces dernières années une vague d’antisémitisme, encouragée par certains dirigeants qui remettent en question des traditions juives et qui envisagent de les interdire quand ce n’est pas déjà le cas.
On a voulu nous faire croire que l’Europe s’est débarrassée à jamais du vieil antisémitisme, de celui qui, porté à son paroxysme, s’est traduit par l’Holocauste.
On a voulu nous faire croire qu’aujourd’hui on n’en veut plus aux Juifs, qu’on attaque simplement le gouvernement israélien.
Mais le proverbe dit bien « Chassez le naturel, il revient au galop ». La vérité est là sous nos yeux, écrite en lettres noires, et il nous faut faire face à cette réalité que nous tentons de chasser de notre esprit : l’antisémitisme n’a pas été éradiqué. La bête est toujours là, elle ne dort même pas, elle sommeille !
Et la voilà qui, de nouveau, montre le bout de son nez avant de se mettre à nu. Encouragé par les prises de position de certains pays contre des rituels juifs, l’antisémitisme renaît de ses cendres avec plus de vigueur que jamais.
Après avoir tout mis en œuvre pour délégitimer Israël (mouvement BDS), après avoir conduit les gens à se poser la question du droit à l’existence de l’État juif, on a décidé maintenant de s’en prendre au peuple juif. Car ce peuple dérange.
Pourquoi ? Parce que, comme disait Edmond Fleg, « Nous ne sommes pas comme les autres »
Le Juif n’est pas comme tout le monde
Différent des autres, il l’est d’abord par son histoire qui fait de lui un peuple à part.
Il faut reconnaître, en effet,
1. qu’il est étrange que ce peuple ait survécu quand son État a disparu. Exception faite du peuple juif, aucun peuple n’a résisté au temps en l’absence d’un État.
2. qu’il est étrange que la souffrance non seulement n’ait pas réussi à l’anéantir, mais qu’elle ait fait naître en lui le besoin ardent de vivre en tant que peuple.
3. qu’il est étrange qu’il soit le seul dont l’histoire ne se limite pas au récit du passé, même si ce passé est prestigieux puisque c’est celui de la Bible. Il est le seul peuple dont l’histoire n’a pas fini de s’écrire, dont l’histoire s’écrit au jour le jour.
Alors, de nouveau, comme dans les années 30, on veut aujourd’hui effacer tout ce qui fait la singularité du juif.
Différent de ses concitoyens non-Juifs, il l’est surtout par la positivité de sa religion. Il est Juif dans un monde de non-Juifs et, en dépit de son besoin d’universalisme, il n’aspire pas à se fondre dans la masse. C’est sans doute là l’ambivalence du juif : être comme les autres tout en ses voulant différent des autres, c’est le conflit entre particularisme et universalisme.
- Il ne mange pas comme tout le monde
Alors, on décide d’interdire l’abattage cacher (la shehita), une pratique vieille de plus de 4000 ans, mais désormais jugée hors normes. Et c’est ainsi que le Parlement néerlandais, vote une loi qui met fin à cette pratique. La Norvège, la Suède, l’Islande, la Nouvelle-Zélande et la Suisse interdisent de facto l’abattage rituel, et d’autres pays songent à leur emboîter le pas.
Évidemment, on invoque des raisons économiques ou encore humaines –on se soucie du bien-être des animaux- pour justifier cette interdiction.
Mais on se garde bien de rappeler qu’une mesure similaire avait été prise par le régime nazi. D’ailleurs, aussi surprenant que cela puisse paraître, c’est le président de l’État polonais lui-même, Bronislaw Komorowski, qui l’a rappelé et qui a jugé que cette loi traduit une « crise de la tolérance ».
Comme par une ironie du sort, c’est aux Pays Bas, dans le pays qui a vu naître la liberté religieuse, que des associations qui se disent « pour la défense des droits de l’homme » ont milité pour que soit votée cette loi. Un beau pied de nez à cette liberté !
Certes, on nous objectera que nombreux sont les Juifs qui ne mangent pas casher. C’est vrai, mais c’est leur choix : nul n’est venu le leur imposer. Et même eux conçoivent mal qu’on veuille interdire l’abattage rituel.
Et comme si cette mesure était insuffisante, c’est maintenant à la circoncision, qui consiste en l’excision du prépuce, qu’on choisit de s’attaquer.
- Il est circoncis, donc différent des autres
En Finlande, où la communauté juive est extrêmement petite, une plainte a été déposée contre les rabbins qui pratiquent la Brit mila qu’on estime à « l’encontre de la loi finlandaise ».
En 2010, l’Association médicale royale néerlandaise, condamne cette pratique qui viole, selon elle, le droit fondamental de l’enfant à l’intégrité physique, à l’autonomie et à la dignité.
En août 2011, des rabbins et des organisations juives ont tout tenté pour que la circoncision ne soit pas interdite. Sans grand succès, semble-t-il, puisque, le 7 mai 2012, après avoir été saisi d’une plainte concernant un garçon musulman opéré pour des problèmes consécutifs à la circoncision, le Tribunal d’instance de Cologne – ville où résident 5000 Juifs- interdit ce rituel religieux, signe distinctif des Juifs.
En réalité, cette plainte a servi de prétexte pour relancer un débat juridique amorcé en 2008 sur « le droit de l’enfant à bénéficier de la protection de l’État contre une atteinte à son corps et à sa santé qui prime sur l’exercice irresponsable du droit des parents ». Et on précise que « Si un procureur a connaissance d’une circoncision non nécessaire médicalement, son devoir est d’intervenir ».
circoncision ce qu'il est contre la parole de Dieu.
shalom