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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientIsraël devra faire avec : la Palestine va obtenir le statut d'Etat non-membre à l'OnuIsraël a déjà intégré l'échec auquel il devra faire face demain, jeudi 29 novembre, lorsque l'Assemblée générale de l'Onu approuvera à une large majorité l'octroi du statut d'Etat non-membre à l'Autorité palestinienne. Sur les 193 pays à se prononcer, seuls les Etats-Unis, le Canada, la Micronésie et le Guatemala soutiennent la position d'Israël. Un haut responsable israélien a indiqué que l'Etat juif réagira ''modérément au moment opportun. Nous ne resterons ni passifs ni les bras croisés''. Il a toutefois appelé à ''ne pas exagérer" la portée de cette démarche palestinienne à l'Onu. ''Bien entendu, il y aura des feux d'artifice à Ramallah, mais les implantations resteront exactement où elles sont et Tsahal continuera d'agir là où il opère'', a-t-il ajouté. Articles connexes
214 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 23 minutes
Je voudrais utiliser un droit de réponse, je ne sais si c'est possible..quelqu'un le sait-il? je vais rédiger un article et leur proposer, même si cela me répugne d'écrire dans ce journal mais c'est comme cela que nous devons lutter
Nous sommes dans l'ensemble d'accord sur les sites juifs il faut avoir accès au monde non juif. Votre avis...
J'ai réfléchi longuement à ce qu'aurait fait mon grand père,zal, dans une telle situation. il ne serait pas resté passif. C'est certain. Qu'il me guide et m'inspire dans ce combat désespérant Qu'Hachem me, nous soutienne
Tout est simple à Gaza...
par Serge Halimi, décembre 2012
« Aucun pays n’accepterait que des missiles tirés de l’extérieur de ses frontières pleuvent sur ses citoyens. » En énonçant ce constat de bon sens, le président des Etats-Unis ne pensait pas aux Palestiniens de Gaza, proies impuissantes de bombes ou de missiles israéliens parfois largués par des F-16 ou des hélicoptères Apache de fabrication américaine.
Depuis des années, avec une régularité lancinante, les mêmes travers scandent la relation des événements en Palestine. D’abord, celui qui consiste à rabâcher une histoire borgne dans laquelle le « terrorisme » des assiégés justifie forcément la « riposte » des assiégeants. Ensuite, celui qui accorde l’impunité à un belligérant doté d’une supériorité militaire écrasante se grimant en victime juste avant d’enclencher une nouvelle escalade armée. Enfin, celui qui fait valoir la nature démocratique d’Israël, dont le gouvernement inclut pourtant une extrême droite raciste représentée au sein du cabinet par le ministre des affaires étrangères.
Le « printemps arabe » aurait-il changé si peu de choses au Proche-Orient qu’un même scénario puisse se reproduire à Gaza quatre ans après l’opération « Plomb durci » (1) ? Analysant l’évolution de la région depuis 2011, Hussein Agha et Robert Malley ont relevé récemment la faible pertinence des grilles de lecture habituelles : « Les Etats-Unis sont alliés à l’Irak, qui est allié à l’Iran, qui soutient le régime syrien que les Etats-Unis entendent renverser. Les Etats-Unis sont également alliés au Qatar, qui subventionne le Hamas, et à l’Arabie saoudite, qui finance les salafistes, inspirateurs de djihadistes décidés à tuer des Américains (2). » Au moins, à Gaza, les choses ont d’abord paru plus simples… Affaibli par son pari raté en faveur du candidat républicain Willard Mitt Romney, M. Benyamin Netanyahou comptait se refaire une santé électorale sur le dos des Palestiniens. Il a donc estimé que les tirs de roquettes sur des villes israéliennes l’obligeaient à châtier une nouvelle fois le Hamas, incapable selon lui de les empêcher. Il a seulement « oublié » que ces tirs ont commencé le 10 février 2002, à une époque où l’armée israélienne bivouaquait encore à Gaza.
Dans cette affaire, l’Europe s’est comportée comme un relais diplomatique de Tel-Aviv. Et la France a contribué à cet alignement. Début novembre, en présence du premier ministre israélien, le président François Hollande a jugé utile de chapitrer l’Autorité palestinienne, trop tentée selon lui « d’aller chercher, à l’Assemblée générale des Nations Unies, ce qu’elle n’obtient pas dans la négociation (3) ». De quelle négociation au juste parlait-il ? Quelques jours plus tard, le ministre des affaires étrangères Laurent Fabius a résumé en ces termes les prodromes de la crise à Gaza : « Il y a eu des tirs de roquettes pendant tout le week-end contre Israël ; et, du coup, Israël a répliqué (4). » Le plagiat des déclarations officielles américaines ne doit pas devenir le destin de la diplomatie française.
Serge Halimi
Mais tu reste un cretin
La brave jeunesse de TSAHAL que je connais, ne parle pas comme toi.
BYE BYE
Envoyé par Michel_129 - le Dimanche 2 Décembre 2012 à 21:05
aufait michel,puisque tu connais bien, quel est ton Réfoui, pourais tu me dire quel Massa Koumta tu as effectué.. ??? Et puisque tu connais bien, quel etait le point d'entrée et de sortie ?
aller à toi de jouer... attention ce n'est pas dans le dictionnaire
ça n'a rien de secret mais si tu prefere repondre en hebreu vas y
j'ai manqué d'oublier, un stage, d'un an, dans Tahal ? du dois faire la confusion avec l'armée tunisienne
Cêst quoi ton vrai nom... mahmoud, youssouf amid ???
Publié le : 4 février 2011
Les dirigeants arabes en France souhaitent officiellement faire cesser les exportations depuis Gaza vers la France. Ils appellent au boycott des produits importés dans l’Hexagone… Vous avez dit étrange ?
Dans une lettre officielle envoyée au ministre de l’Intérieur du gouvernement Hamas à Gaza, les chefs des communautés arabes de Toulouse, Strasbourg et d’autres villes, lui demandent de « mettre un terme aux exportations des agriculteurs de Gaza ». La raison serait que « ce sont des juifs français qui importent ces produits ici ».
Et oui, on parle bien de juifs et non de sionistes. Et oui, on voit bien que ceux qui se disent pro-palestiniens ne le sont pas. Ils sont uniquement anti-israéliens. Enfin, anti-juifs qui vivent en Israël. Et anti-juif de France aussi visiblement !
La lettre également que « ces juifs de France qui importent vos produits se vantent de cela ». Pourquoi ne feraient-ils pas un peu de publicité pour les produits de Gaza ? Il parait que les fraises de Gaza, quand elles ne sont pas toxiques, peuvent-êtres excellentes.
Les Arabes de France demandent également aux producteurs gazaouis de « ne plus visiter la France » car cela pourrait « casser le moral de tous ceux qui soutiennent le boycott contre l’Entité Sioniste ».
Que dire de plus ?
Jonathan-Simon Sellem – JSSNews