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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientUne directive explosive de l’UE provoque un “tremblement de terre” diplomatique pour IsraëlL’Union européenne a publié une directive contraignante pour tous les 28 États membres interdisant tout financement, coopération, attribution de bourses, de fonds de recherche ou des prix, à toute personne résidant dans les implantations juives en Judée-Samarie (Cisjordanie) et à Jérusalem-est. Le règlement, qui entrera en vigueur vendredi, exige que tout contrat signé par un pays de l’UE avec Israël comporte une clause indiquant que les implantations ne font pas partie de l’Etat d’Israël et ne font donc pas partie de l’accord. Un haut responsable israélien, s’exprimant sous couvert d’anonymat, a décrit la nouvelle décision comme un « tremblement de terre ». Articles connexes
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Dernière mise à jour, il y a 22 minutes
- Cette relance ( mais qui ne convaincrait pas, apparemment, la bande de Ramallah ) est à rapprocher de la récente Directive de l'Union Européenne conditionnant tout accord entre l'UE et Israël, à partir de 2014, à une reconnaissance quasi de jure et en tout cas a priori par rapport à toute négociation des " frontières de 1967 " .
- Elle est, à mon sens, à rapprocher également de la déclaration, hier, je crois, de Mme Catherine Ashton, demandant au gouvernement égyptien, au nom de l'Union Européenne, la libération de Mohamed Morsi ;
- et de la déclaration, aujourd'hui, je crois, d'un autre fonctionnaire de l'UE, Bernardino Leon, demandant que le gouvernement égyptien ouvre un " dialogue " avec les " Frères Musulmans " .
Il me semble que le rapprochement entre ces différents éléments permet de dire qu'après une période de relatif désarroi consécutif à son échec en Syrie et surtout à son échec en Egypte ( rejet massif, par la population, des " Frères Musulmans " ), l'équipe qui définit la politique étrangère de la Maison Blanche est repassée à l'attaque,
en mettant en avant ( comme en Lybie, comme en Syrie ) les chevau-légers européens.
Ce qui est, je crois, particulièrement intéressant est que la contre-attaque se développe simultanément sur deux fronts : l'Egypte ; Israël - tous deux mis sous pression. La " bande noire " qui élabore la politique proche et moyen-orientale du Département d'Etat et de la Maison Blanche n' a donc renoncé à rien : ni à faire, d'une manière ou d'une autre, des " Frères Musulmans " le pivot du pouvoir en Egypte ; ni à imposer à Israël les diktats du lobby arabo-palestinien. La simultanéité de l'offensive en cours depuis quelque jours démontre, à mon sens, le lien fondamental entre ce que j'avais appelé, à l'automne 2010, le " Plan B " du Département d'Etat ( en gros : circonvenir Israël et l'obliger à céder en l'entourant d'un chapelet d'Etats aux mains de l'alliance Washington - " Frères Musulmans " ) et l'objectif profond de cette " bande noire " : réduire Israël, l'obliger à passer sous les Fourches Caudines.
La femme à Rachid