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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientPourquoi la directive anti-israélienne de l’UE est contraire au droit internationalDepuis ce vendredi 19 juillet, avec la très controversée directive de l’Union européenne, les implantations israéliennes ne pourront plus désormais bénéficier de nouveaux projets de coopération économique, financements, bourses, programmes de recherches ou prix, émanant de l’Union ou de ses États membres. Cette directive est certes conforme à la politique officielle de l’UE et de ses Etats membres, qui ne reconnaissent pas l’annexion unilatérale israélienne de Jérusalem-Est et du Golan, et considèrent comme illégales les implantations israéliennes en Judée et Samarie (Cisjordanie), mais elle n’a aucun fondement juridique et est contraire au droit international. Articles connexes
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- Cette relance ( mais qui ne convaincrait pas, apparemment, la bande de Ramallah ) est à rapprocher de la récente Directive de l'Union Européenne conditionnant tout accord entre l'UE et Israël, à partir de 2014, à une reconnaissance quasi de jure et en tout cas a priori par rapport à toute négociation des " frontières de 1967 " .
- Elle est, à mon sens, à rapprocher également de la déclaration, hier, je crois, de Mme Catherine Ashton, demandant au gouvernement égyptien, au nom de l'Union Européenne, la libération de Mohamed Morsi ;
- et de la déclaration, aujourd'hui, je crois, d'un autre fonctionnaire de l'UE, Bernardino Leon, demandant que le gouvernement égyptien ouvre un " dialogue " avec les " Frères Musulmans " .
Il me semble que le rapprochement entre ces différents éléments permet de dire qu'après une période de relatif désarroi consécutif à son échec en Syrie et surtout à son échec en Egypte ( rejet massif, par la population, des " Frères Musulmans " ), l'équipe qui définit la politique étrangère de la Maison Blanche est repassée à l'attaque,
en mettant en avant ( comme en Lybie, comme en Syrie ) les chevau-légers européens.
Ce qui est, je crois, particulièrement intéressant est que la contre-attaque se développe simultanément sur deux fronts : l'Egypte ; Israël - tous deux mis sous pression. La " bande noire " qui élabore la politique proche et moyen-orientale du Département d'Etat et de la Maison Blanche n' a donc renoncé à rien : ni à faire, d'une manière ou d'une autre, des " Frères Musulmans " le pivot du pouvoir en Egypte ; ni à imposer à Israël les diktats du lobby arabo-palestinien. La simultanéité de l'offensive en cours depuis quelque jours démontre, à mon sens, le lien fondamental entre ce que j'avais appelé, à l'automne 2010, le " Plan B " du Département d'Etat ( en gros : circonvenir Israël et l'obliger à céder en l'entourant d'un chapelet d'Etats aux mains de l'alliance Washington - " Frères Musulmans " ) et l'objectif profond de cette " bande noire " : réduire Israël, l'obliger à passer sous les Fourches Caudines.
La femme à Rachid