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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Pourquoi les nations ne reconnaissent pas Jérusalem comme capitale de l’Etat d’Israël

Pourquoi les nations ne reconnaissent pas Jérusalem comme capitale de l’Etat d’Israël - © Le Monde Juif

En – 997 de l’ère civile, Le Roi David établit la capitale de son royaume à Jérusalem.

C’est en – 968 que le Roi Salomon, son fils, construisit le Temple à Jérusalem et sanctifia ainsi la ville.

Depuis la destruction du Temple de Jérusalem et la dispersion du peuple juif, le judaïsme a toujours évoqué dans ces prières, un retour à Jérusalem.

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L’identité juive est restée liée à Jérusalem à travers l’héritage biblique et historique qui a continué à être transmis de générations en générations. Ainsi, tous les ans durant la fête de Pessa’h (pâque juive), les mots « L’an prochain à Jérusalem » viennent clôturer la narration de notre sortie d’Egypte.

25 commentaires
Pourquoi les nations ne reconnaissent pas Jérusalem comme capitale de l’Etat d’Israël

La réponse à ce questionnement est de renvoyer les ignorants à la lectures de leurs rouleaux et livres saints : ce qui est valable aussi bien pour les Juifs, les Chrétiens et les Musulmans.

L'ignorance et la propagande, qui serent les intérêts mercantiles des uns et des autres, président aux conflits entre les trois monothéismes
Envoyé par Abraham_016 - le Vendredi 26 Juillet 2013 à 12:00
1950

http://www.linternaute.com/histoire/motcle/evenement/1875/1/d/49831/creation_de_la_jordanie.shtml

"24 avril 1950 La Transjordanie annexe la Cisjordanie et prend le nom de Royaume de Jordanie. A la suite de la création de l'Etat d'Israël en 1948, une active politique d'assimilation est menée, visant à intégrer les Palestiniens, qui obtiennent automatiquement la nationalité jordanienne."
Envoyé par Judith - le Vendredi 26 Juillet 2013 à 12:11
XXe siècle

À l'aube de la Première Guerre mondiale, l'empire ottoman exerce son contrôle sur la Syrie, la Palestine, le Liban et l'Irak. La France conserve des liens commerciaux et sentimentaux avec les Chrétiens de Syrie. Lorsque la guerre se déclenche, l'empire ottoman se range aux côtés de l'Allemagne. Quand, en 1915, les troupes de Jamal Pasha s'approchent dangereusement du canal de Suez, le gouvernement de Londres prend conscience du caractère hautement stratégique de cette position et de l'intérêt de contrôler les régions méditerranéennes du Proche-Orient arabe. Il va trouver auprès des tribus arabes, désireuses de se libérer du joug ottoman, des alliées de taille. Par ailleurs, une lutte sourde s'installe entre les deux alliés France et Royaume-Uni pour le contrôle de la région.

En 1916, s'appuyant sur le sentiment nationaliste arabe et sur le chef des hachémites de la Mecque, Hussein de la Mecque, les Britanniques développent une attaque contre la partie proche-orientale de l'empire ottoman. Le résident général britannique au Caire, Henry Mac-Mahon, promet au chérif Hussein la création, après la guerre, d'un État arabe, allié du Royaume-Uni, et comprenant la péninsule arabique, et la Mésopotamie à l'exception d'une partie de la Syrie, dont la Palestine20. Le 10 juin 1916, la révolte arabe est déclenchée, sous l'influence de l'officier britannique Thomas Edward Lawrence, et est dirigée par le prince Fayçal ibn Hussein, un fils du chérif Hussein. Parallèlement, à Londres, Mark Sykes (pour le Royaume-Uni) et François Georges-Picot (pour la France) signent l'accord Sykes-Picot qui définit les futures zones d'influences française et britannique au Proche-Orient: la France se verrait attribuer la Syrie du Nord et le Liban, tandis que le Royaume-Uni établirait un protectorat sur la Mésopotamie et la Syrie du Sud. Le 2 novembre 1916, le Chérif Hussein est proclamé roi du Hedjaz et est reconnu par la France, le Royaume-Uni et la Russie. En juillet 1917, les troupes de Fayçal reprennent Aqaba aux Ottomans. La Palestine se révolte et le général Allenby entre dans Jérusalem. Le 1er octobre 1918, les troupes britanniques et les troupes arabes pénètrent dans Damas.

En Europe, les grandes puissances se concertent sur les nouvelles frontières à tracer au Moyen-Orient. Les Britanniques se montrent favorables à une présence juive en Palestine mais sans décider de sa forme. Le 2 novembre 1917, la déclaration Balfour se prononce en faveur d'un foyer national juif en Palestine.

En janvier 1919, Fayçal arrive en France pour défendre en vain auprès de la Conférence de la paix la création de l'État arabe promis à son père. Il signe à Londres l'Accord Fayçal-Weizmann de 1919 avec Chaim Weizmann, chef des sionistes, concédant la création d'un "foyer national" pour les Juifs - non d'un État -, à condition que l'État arabe voit le jour.

Le 28 juin 1919, le traité de Versailles est signé, confirmant le partage d'influences franco-britanniques au Proche-Orient. Le 2 juillet 1919, un congrès syrien rejette les accords franco-britanniques et la déclaration Balfour. Une commission, mise en place par le président Wilson et dirigée par Henry Churchill King et Charles Crane, recommande le maintien d'un grand Liban autonome et alerte sur les dangers d'un État juif en Palestine (le projet sioniste présenté en février 1919 prévoyait un État juif comprenant la Palestine, la Transjordanie et le Liban).

Le 7 mars 1920, un congrès syrien nomme Fayçal roi de la grande Syrie, incluant la Palestine et le Liban. Le 25 mars 1920, la conférence de San Remo confirme les accords franco-britanniques. La révolte syrienne est écrasée.

La Société des Nations attribue finalement à l'issue de la guerre:

un mandat français sur la Syrie comprenant un État du Grand Liban;
un Mandat britannique sur la Mésopotamie;
un mandat britannique sur la Palestine (territoire situé à 70 % à l'est du Jourdain).

L'aire du foyer national juif n'exclut les territoires à l'Est du Jourdain qu'à partir de 1921. Abdallah, un autre fils du chérif Hussein, devient émir de Transjordanie en 1921 avec une semi-autonomie par rapport aux Britanniques; l'Arabie tombe entre les mains de l'émir de Nejd, Abdel Aziz Ibn Saoud. Le frère d'Abdallah, Faycal, chassé de Damas, est installé sur le trône de l'Irak. Ali, un autre fils du chérif Hussein, se joint à son frère en 1925 et apporte le district de Maan et Aqaba à la Transjordanie qui s'agrandit. Elle est dotée d'une Constitution en 1928 et constitue un Parlement.

L'armée britannique constitue en 1920 une armée arabe organisée au sein de l'émirat arabe de Transjordanie, la Légion arabe, dont le contrôle est progressivement transféré à l'émirat. À sa création, elle compte 100 soldats sous les ordres de cinq officiers britanniques. En 1921, le nombre de soldats passe à 1000. En 1926, le Corps d'armée de Transjordanie devient une force intégrée à l'Armée impériale britannique. Dans les années 1940, elle intègre dans ses rangs des volontaires des pays arabes limitrophes et participe au renversement du régime de Rashid Ali Al Kaylani pendant la guerre anglo-irakienne au printemps 1941, puis à l'invasion de la Syrie mandataire, alors sous contrôle du régime de Vichy pendant la campagne de Syrie la même année. La Transjordanie soutient l'armée britannique dans tous ses combats au Proche-Orient pendant la Seconde Guerre mondiale.
Depuis l'indépendance

Le mandat britannique se termine le 22 mai 1946. Le 25 mai, la Transjordanie déclare son indépendance. Elle devient le Royaume hachémite de Jordanie et Abdallah devient roi.

La Transjordanie est l'un des pays arabes opposés à une nouvelle partition de la Palestine incluant la création d'un État juif, d'un État arabe et d'un État de Jérusalem, comme proposé par la résolution 181 des Nations Unies. Le 15 mai 1948, le Royaume-Uni met fin à son mandat en Palestine, laissant face-à-face Juifs et Arabes de Palestine. La Transjordanie contribue à la coalition arabe qui déclare la guerre à l'État d'Israël nouvellement créé. L'armée arabe est commandée par le roi Abdallah. Les forces de la Légion arabe obtiennent la reddition du Quartier juif de la vieille ville de Jérusalem, combattent à Shaar Hagaï, à Latrun, Lod et Ramleh. Avec la fin de la guerre de 1948, la Légion arabe reste la force militaire du royaume jordanien, et comptera jusqu'à 25 000 hommes. Le 24 janvier 1949, le roi Abdallah annexe la Cisjordanie et Jérusalem-Est. Le 3 avril 1949, la Transjordanie signe un accord d'armistice avec Israël en insistant sur le fait que la ligne de démarcation ne préjuge pas les frontières à négocier. Cette guerre a conduit à une forte arrivée de réfugiés palestiniens en Transjordanie, dont la population augmente ainsi de 50 %. La Cisjordanie (désignant toute la région sous contrôle transjordanien incluse dans les lignes de démarcation de 1949 et à l'ouest du Jourdain) est annexée immédiatement. Cette annexion n'est reconnue, au départ, que par le Royaume-uni. En 1950, le pays prend le nom de Royaume Hachémite de Jordanie pour entériner cette annexion.

Le 20 juillet 1951, le roi Abdallah, désapprouvé pour son annexion de la Cisjordanie et les accords d'armistice, est assassiné à Jérusalem. Talal, son fils, lui succède. Il ne règne qu'un an avant d'être contraint d'abdiquer, pour raison de santé, en faveur de son fils Hussein, le 11 août 1952. Afin de consolider le pouvoir du nouveau roi, le premier ministre Tawfik Abu al-Huda organise des élections dites "libres". Le caractère démocratique de celles-ci est néanmoins contesté puisque John Bagot Glubb fait voter l'armée dans les circonscriptions où le pouvoir pourrait être en difficulté21.

Fin 1955, la Turquie et le Royaume-Uni cherchent à convaincre la Jordanie d'adhérer au Pacte de Bagdad. À cette fin, début décembre, le chef d'état major général de l'Empire Britannique, le Field-Marshal Gerald Templer, est envoyé pour négocier à Amman. Cette visite suscite une large contestation populaire, particulièrement marquée en Cisjordanie qui, à compter du 8 décembre, semble en état d'insurrection. Les ministres palestiniens démissionnent et le gouvernement de Said Mufti tombe le 14 décembre. Le roi Hussein doit finalement céder et annoncer que son pays ne rejoindra pas le pacte. Au cours de ce même mois de décembre, l'URSS ayant levé son véto, la Jordanie entre à l'ONU. Cette adhésion est effectuée sans réserves territoriales, ce qui vaut reconnaissance par tous de l'annexion de la Cisjordanie en 194922.

Début 1956 se noue l'affrontement entre Glubb Pacha et le roi autour de deux questions. D'abord, le positionnement des troupes en Cisjordanie. Glubb Pacha a positionné ses troupes en retrait des frontières afin de pouvoir intervenir en concentrant ses forces en cas d'attaque. Si d'un point de vue militaire la position est cohérente et correspond à ce que font les Israéliens de leur côté, elle se heurte à l'hostilité de la population qui subit la Guerre des frontières et aspire à une défense statique le long de la ligne d'armistice. L'arabisation de l'armée constitue la seconde pomme de discorde puisque le général britannique estime qu'il faudra 15 ans à la Jordanie pour disposer de l'ensemble des officiers compétents qu'elle nécessite. S'appuyant sur un groupe d'officiers arabes, le roi Hussein décide de relever Glubb Pacha de son commandement le 1er mars 195622.

La Jordanie met fin en 1957 au traité de défense qui la liait au Royaume-uni après avoir terminé, dès mars 1956, l'arabisation de l'armée par le remplacement des derniers Britanniques par des officiers arabes. Face à l'annonce d'union de la Syrie et de l'Égypte dans une République Arabe Unifiée en février 1958, la Jordanie et l'Iraq se rapprochent en une fédération arabe du nom d'Union Arabe ou Fédération arabe d'Irak et de Jordanie qui sera finalement dissoute en août 1958 à la chute de la monarchie irakienne.

En 1965, un accord bilatéral entre la Jordanie et l'Arabie saoudite a réaligné leur frontière commune par un échange de territoires. La côte jordanienne sur la mer Rouge gagne 18 km de plus. Des clauses prévoient d'une part le partage des revenus entre les deux pays en cas de découverte de pétrole et protègent les pâturages des tribus nomades sur ces territoires échangés.

La Jordanie signe un pacte de défense mutuelle avec l'Égypte nassériste en mai 1967 et participe au conflit de juin 1967 contre Israël, aux côtés de la Syrie, de l'Égypte et de l'Irak. À l'issue de la guerre des Six Jours, Israël occupe Jérusalem-Est et le territoire de la Cisjordanie et la Jordanie accueille une nouvelle vague de déplacés. 300.000 nouveaux réfugiés palestiniens de Cisjordanie affluent en Jordanie (ils s'ajoutent aux 700.000 recensés en 1966). Cette même année voit la montée en puissance d'un militantisme palestinien en Jordanie, représenté par les fedayin, qui exerce une menace de plus en plus importante pour la souveraineté et la sécurité du régime hachémite jusqu'à son paroxysme en 1970. La loi martiale est en vigueur de nombreuses années dans le pays. Les gouvernements arabes tentent de trouver une solution pacifique, mais en septembre 1970, les actions fedayin se multiplient avec notamment le détournement de trois vols internationaux. Un tank syrien se poste à la frontière nord en soutien des fedayin. Les tensions entre le roi Hussein et l'OLP sont telles que celui-ci décide d'envoyer l'armée pour éliminer toute trace d'activisme palestinien après une tentative d'assassinat sur sa personne: c'est le Septembre noir. Le 22 septembre, un cessez-le-feu est négocié malgré la poursuite de violences sporadiques. La victoire des forces jordaniennes sur les fedayin est décisive en juillet 1971, entrainant leur expulsion du pays.

En 1973, alors que se déroule la guerre de Kippour, aucun tir n'intervient sur la frontière israélo-jordanienne le long du Jourdain. La Jordanie envoie toutefois une brigade en Syrie pour la soutenir quand les unités israéliennes pénètrent sur son territoire. Le 24 octobre 1974, Hussein renonce à toute revendication sur la Cisjordanie et reconnait l'OLP comme seul représentant légitime du peuple palestinien. La rupture des liens administratifs avec la Cisjordanie est définitivement prononcée le 31 octobre 1988.

Le mois d'avril 1989 est marqué par la crise économique et une révolte dans le sud du pays, notamment à Ma'an. Des mouvements de protestations se sont également organisés dans les universités jordaniennes comme l'Université de Yarmouk et dans les villes pour réclamer davantage de libertés. Un processus de libéralisation politique rapide est entrepris avec la fin de la loi martiale, le rétablissement d'un Parlement et la participation d'une trentaine de partis à la vie politique, incluant le Front d'Action Islamique. Le succès des forces islamistes est large lors des premières élections libres en novembre 1989. Par contre, les nouvelles élections de novembre 1993 montreront un recul de l'opposition et des islamistes.

La Jordanie ne participe pas à la guerre du Golfe commencée en 1990 et qui amène les États-Unis à stopper leur aide financière à la Jordanie à cause du soutien répété du roi Hussein à Saddam Hussein. L'année suivante, la Jordanie participe, en même temps que les autres voisins arabes d'Israël, à la Conférence de Madrid de 1991 qui constitue le début de négociations directes de paix, soutenues par les États-Unis et la Russie. Dans le cas de la Jordanie, cela met un terme aux hostilités vis-à-vis d'Israël. Le 25 juillet 1994 est signé le traité de paix israélo-jordanien, donnant lieu à des modifications mineures sur les frontières et restant en attente d'un règlement final du conflit israélo-palestinien.

Le roi Hussein meurt le 7 février 1999. Quelque temps avant sa mort, le Roi Hussein destitue son frère Hassan, héritier du trône depuis 1964, et confie le pays à son fils Abdallah II de Jordanie. Celui-ci poursuit les réformes politiques et économiques du pays commencées dans les années 1990, vers davantage de libéralisme. Amman organise les Jeux panarabes de 1999.

Par ailleurs, le gouvernement jordanien se montre régulièrement soucieux de rester en paix avec ses voisins, malgré les événements affectant la région, notamment le déclenchement d'une seconde Intifada par les Palestiniens en septembre 2000 et malgré les efforts nécessaires à la lutte contre l'implantation de réseaux islamistes en Jordanie dans les années 2000. Ces derniers revendiquent les attentats du 9 décembre 2005 à Amman.
Voir aussi
Références

↑ Ancient Jordan - History [archive], Site kinghussein.gov.jo
↑ Dead Sea Plain [archive], Expédition d'Archéologie
↑ Histoire générale, livre V, chap.XV [archive] de Polybe
↑ Umm Qais [archive]
↑ Flavius Josèphe, A. J. [lire en ligne [archive]], « Livre XIII, chap. xiii, 3 » ; G. J. [lire en ligne [archive]], « Livre I, chap. iv, 2 ».
↑ Flavius Josèphe, A. J. [lire en ligne [archive]], « Livre XIII, chap. xiii, 5 » ; G. J. [lire en ligne [archive]], « Livre I, chap. iv, 3 ».
↑ Flavius Josèphe, A. J. [lire en ligne [archive]], « Livre XIII, chap. xiv, 1-2 » ; G. J. [lire en ligne [archive]], « Livre I, chap. iv, 5 ».
↑ Maurice Sartre, op. cit., « Les transformations de la Syrie hellénistique », p. 393-394 qui cite Flavius Josèphe, A. J. [lire en ligne [archive]], « Livre XIII, chap. xv, 4 ».
↑ Flavius Josèphe, A. J. [lire en ligne [archive]], « Livre XIV, chap. iv, 4 » ; G. J. [lire en ligne [archive]], « Livre I, chap. vii, 7 »
↑ Maurice Sartre, op. cit., « Les transformations de la Syrie hellénistique. », p. 396
↑ Plutarque, Les vies de hommes illustres. [lire en ligne [archive]], « Vie de Pompée. XLII. Insolence d'un de ses affranchis nommé Démétrius. »
↑ Maurice Sartre, op. cit., « La fin de la Syrie séleucide. », p. 450
↑ Flavius Josèphe, A. J. [lire en ligne [archive]], « Livre XIV, chap. v, 2-5 »
↑ Maurice Sartre, op. cit., « La fin de la Syrie séleucide. », p. 456
↑ Maurice Sartre, op. cit., « D’Auguste à Trajan : l’achèvement de la provincialisation. », p. 470 qui cite Flavius Josèphe, A. J. [lire en ligne [archive]], « Livre XVII, chap. xi, 4 » ; G. J. [lire en ligne [archive]], « Livre II, chap. vi, 3 »
↑ Maurice Sartre, op. cit., « D’Auguste à Trajan : l’achèvement de la provincialisation. », p. 525 et Maurice Sartre, op. cit., « De Trajan aux Sévères : conquêtes et réorganisation. », p. 610.
↑ Maurice Sartre, op. cit., « De Trajan aux Sévères : conquêtes et réorganisation. », p. 612.
↑ Maurice Sartre, op. cit., « De Trajan aux Sévères : conquêtes et réorganisation. », p. 626.
↑ Coran, Les Quraych, CVI, 1-4
↑ « The districts of Mersin and Alexandretta, and portions of Syria lying to the west of the districts of Damascus, Homs, Hama and Aleppo, cannot be said to be purely Arab, and must on that account be excepted from the proposed delimitation. »-Lettre du 24 octobre 1915 de Mac-Mahon à Hussein (extrait)
↑ Henry Laurens, La question de Palestine à partir de 1949, cours au Collège de France le 15 novembre 2006, Consultable en ligne [archive]
↑ a et b Henry Laurens, La question de Palestine à partir de 1949, cours au Collège de France le 22 novembre 2006, Consultable en ligne [archive]
Envoyé par Judith - le Vendredi 26 Juillet 2013 à 12:11
http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_Jordanie
Envoyé par Judith - le Vendredi 26 Juillet 2013 à 12:12
ISRAEL-DE-TOUT-MON-COEUR
Samedi 30 juillet 2011
SI JE T'OUBLIE JERUSALEM



« Les intérêts des nations guidèrent le tracé étonnant de la carte du futur état juif, tel qu’il fût proposé dans le plan de partage, aux Juifs et aux Arabes, palestiniens, qui peuplaient cette terre lors du départ de britanniques.
Les réactions des pays occidentaux, encore aujourd’hui, restent fidèles à cette ligne de conduite, continuant de diriger leurs interventions, leurs pressions envers Israël, sous des prétextes unilatéralement « humanitaires »… quand ce sont leurs propres intérêts qu’ils servent, tandis que celui du peuple Juif est sa survie, sa vie, sur la terre de ses ancêtres. Personne n’est en droit de lui en concéder ou de lui en retirer la moindre parcelle, que lui-même.
S’il reste à savoir quelle place donner aux habitants, arabes, de la Palestine mandataire, disparue en même temps que la fin du mandat britannique, mais demeurée réelle, bien que virtuelle, pour certains, tout comme le terme de peuple palestinien (les habitants de la Palestine mandataire étaient tous nommé palestiniens, il suffit de lire les journaux de l’époque, dont le « Palestine Post » et les livres d’Histoire) la véritable cause d’un problème, complexe, monté en épingle par les médias, est à chercher ailleurs et il serait réducteur de le limiter à ceux qui sont aujourd’hui appelés palestiniens.
La réalité c’est que les Juifs ne sont pas des conquérants, et s’il y avait bien des habitants arabes en Palestine, il ne pouvait y avoir un autre peuple que celui constitué par ceux des hébreux qui n’avaient jamais été déportés lors des diverses conquêtes de royaumes d’Israël.


Où a-t-il jamais été écrit qu’en deçà d’un certain nombre, un peuple cesse d’avoir droit à ce titre, alors même que, bien que citoyens dans les pays de l’exil, le peuple juif l’est resté, a été reconnu et persécuté en tant que tel ! Comment ceux qui ont pu se maintenir sur leur propre terre dans la continuité des millénaires, seraient-ils déposséder de cette reconnaissance !


La terre des rois d’Israël, le Temple de Jérusalem, construit par Salomon, roi hébreu d’un royaume hébreu, bien que deux fois détruit, dont même les ruines sont encore convoitées, ne peuvent qu’appartenir à leurs descendants. Ce ne peut-être discutable!


Les Juifs palestiniens sont devenus israéliens lors de la création d’Israël. C’est la même logique qui aurait dû présider à l’intégration des autres « palestiniens », arabes, de langue et de culture arabe, de religion musulmane, par les pays arabes, à commencer la Jordanie, peuplée très majoritairement de palestiniens, puisque prise sur la terre d’Israël, (alors appelée palestine mandataire, allant jusqu’à l’Irak actuel), quand fût trahi l’engagement pris par la loi Bafour, d’établir le Foyer national juif sur la globalité de la Palestine, tant il était normal que les Juifs, de retour dans leur patrie, le soient sur l’intégralité de leur terre.
Dans le monde entier, des millions de personnes déplacées furent intégrés – à commencer par le million de Juifs chassés des pays arabes – mais les Arabes, palestiniens, furent maintenus dans une misère propagandiste, les guerres ne suffisant manifestement pas à « jeter les Juifs à la mer » ! Officiellement annoncé par Y.Arafat, la technique du saucisson se devait donc d’être appliqué pour réduire les Juifs obstinés à se maintenir sur le Dar Islam.
Pour cela on utilisa :


- la compassion, des occidentaux, afin de les aider à troquer leur culpabilité envers les survivants de la Shoah, au profit des arabes palestiniens, entassés dans des camps (tandis que leurs leaders gonflaient leurs comptes en banque),
- des mots « gâchettes » soigneusement choisis, tels que : occupation, camp, déportation, nazis…
- la manipulation et la superposition des images : à l’enfant juif des combattants du ghetto de Varsovie se jetant avec des cocktails molotov de fortune sous les chars SS, celle des enfants palestiniens armés de leurs pierres face aux chars de Tsahal…


Trucages et distorsions de la réalité, mises en scène les plus flagrantes, réussirent à faire passer les Israéliens pour des barbares, réveillant les fantasmagories d’un antisémitisme toujours latent au cœur de l’Europe, le délire des médias, les actes de barbarie les plus débridés, arabes comme « palestiniens ».


Si dans une démocratie, la polémique, les échanges d’opinions, sont naturels et souhaitables, cela doit se dérouler dans un total respect de l’autre, et l’objectivité de l’information étayée par la vérité historique, et non ce lavage de cerveau distillé, jour après jour.


Je me suis laissée aller à imaginer quelle aurait pu être la situation si la « Loi » sur la restitution des territoires « conquis » avait été faite avant… la conquête de la Judée Samarie par les légions arabes de Transjordanie, avant… que celle-ci ne les annexe, ainsi que Jérusalem, avant… qu’elle ne prenne le nom de …Jordanie !
Car enfin ! quand on nous demande de « rendre » notre propre terre, dont nous portons le nom, naïve, je demande : A QUI ? car même si nous étions devenus les « conquérants » de la Judée Samarie, depuis quand un conquérant doit-il rendre sa conquête au conquérant précédent ?


Tout cela est fou, illogique ! comme de ne s’intéresser aux avancées des armées que lorsque l’armée israélienne parvient aux portes des capitales arabes ! Mais l’inverse ? Lorsque ce sont les armées arabes qui menacent l’existence des populations et villes d’Israël ? Les hurlements hystériques précédant la guerre des 6 jours, retransmis sur les ondes du monde entier, scandés par les appels au meurtre, ne glaçaient-ils pas d’effroi… ils étaient pourtant éloquents sur le sort réservé aux Juifs qui tomberaient entre leurs mains ! Quelle rage, quelle obsession à vouloir nous rayer de la surface de la terre, quelle barbarie, quelle inhumanité pour tenter d’y parvenir !


Peuple témoin de l’Histoire, sans doute le plus persécuté, jusqu’à tenter d’effacer toute trace de notre passage sur cette terre, nous avons survécu à tous ces empires qui cherchaient notre extermination ! Il ressort une inquiétude justifiée par le passé.
Mais… la donne a changé.
Nous avons un pays. Nous l’avons retrouvé.
Mais il est menacé et pour cela nous n’avons pas le choix. Nous lui devons allégeance. Quelle que soit notre opinion sur ses gouvernants.
Quelle que soit la difficulté d’y vivre.
Au nom de tous les nôtres qui ont prié pour le retour à Sion.
Au nom de tous les nôtres qui furent exterminés,
Au nom de tous les nôtres qui se battent, au quotidien, pour que survive ce minuscule pays.
Le nôtre.
Le seul."
Y.B






Par Yehudit
Envoyé par Judith - le Vendredi 26 Juillet 2013 à 12:19
---bonjour Jocelyne-dGagnya--je ne peux plus écrire en lisan tous ces posts
interéssants, tout est dis en détail,,la lecture est parfois plus importante que
l'écriture,où parfois, l'on bute sur des buches encombrantes,tu ne m'a pas répondue
sur les posts te concernnant ? j'espère que tu les a lu ? depuis ce matin je ne cesse
de t'appeler au telp, sans résultat,,((un disque me répond ))
** Shabbath Shalom **
Envoyé par Chabbat - le Vendredi 26 Juillet 2013 à 14:58
Jérusalem est synonyme de paix .
Envoyé par Saoud_002 - le Vendredi 26 Juillet 2013 à 15:01
Hier, j'avais le blouze, et je pleurais abondamment et je me sentais amputée à l'idée que les nations nous enlève Jérusalem-Est et divise notre capitale. je ne voyais pas le mur des lamentations coupé du monde du temple avec le dôme du rocher et aussi la mosquée construite.
si, une fois entre les mains des arabes non pacifistes ou des frères musulmans ceux-ci pratiquent le judenrein, je me sentirais prisonière dans ma propre ville. alors qu'elle était belle sans frontières où le dialogue s'effectuait entre les 3 religions au dôme du rocher.
si les arabes prenaient Jérusalem-Est, en tant que juive à Jérusalem-Est je me sentirais amputée. et je pensais que pour m'éviter cette amputation je me sentirais mieux en musulmane. même si ils vocifère ou maudissent ce qui leur servira d'exutoire ; j'essairai de les comprendre ça ne m'atteindra pas je me sentirai musulmane je prierai D... pour qu'il me protège comme le jugement de Salomon entre les deux mère, je prèfèrerai être musulmane à Jérusalem-est que d'êtra amputée d'elle.
et au retour à jérusalem ouest (en passant cette frontière) au mur des lamentations je me sentirais à nouveau juive pour être entière et j'y prierai ardemment pour que Ashem reconstruise notre troisième temple.
ce serait ma seule et unique façon de tenir le coup
Envoyé par Anne_011 - le Vendredi 26 Juillet 2013 à 16:06
Anne ! ma sœur Anne ! ne vois-tu rien venir ? ma pauvre tu dérailles complètement ; c'est du délire ? tu voudrais être musulmane le matin et juive l'après midi ! désolé pour toi, mais chez nous ça n'existe pas, on n'a pas cela en magasin; va plutôt te faire voir chez les Grecs, leur Panthéon est plein de dieux parmi lesquels tu pourra choisir; Shabbat chalom !
Envoyé par Daniel_097 - le Vendredi 26 Juillet 2013 à 18:01
oui peut-être avec tous les déraillements de trains en ce moment, j'ai attrapé le virus
j'ai rien attrapé de mieux.malheureusement
Envoyé par Anne_011 - le Vendredi 26 Juillet 2013 à 18:29
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 41 minutes