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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient1000 juristes à l'UE : "les implantations sont légales"Une importante pétition de juristes a été délivré à la chef de la politique étrangère de l'Union Européenne, Catherine Ashton, indiquant que l'UE à tort de considérer les villes et villages juifs de Judée et Samarie comme illégaux, et que le terme "lignes de 1967" n'existe pas en droit international. La lettre est signée par plus de 1000 juristes à travers le monde. Parmi les signataires on trouve l'ancien ministre de la justice, le professeur Yaakov Neeman, l'ancien ambassadeur à l'ONU, le Dr Meir Rosen, la baronne anglaise Ruth Deech, le professeur Eliav Shochetman et la professeur Talia Einhorn. On y trouve des juristes des Etats-Unis, d'Australie, de Belgique, de Bolivie, du Brésil, du Canada, de Suisse, du Chili, de Tchécoslovaquie, de Grèce, d'Inde, d'Irlande, d'Italie, du Mexique, de Malte, des Pays-Bas, de Norvège, de Nouvelle Zélande, du Pérou, de Singapour, de Taiwan, d'Afrique du Sud, de Suède, et bien entendu d'Israël. L'homme derrière cette initiative est le Dr Alan Baker, ancien ambassadeur d'Israël au Canada et conseiller juridique du ministère des affaires étrangères, qui dirige actuellement la division de l'action internationale du forum juridique pour Israël. Baker a également été membre du comité de trois personnes dirigé par l'ancien juge de la cour suprême, Edmond Lévy, connu comme le comité Lévy, qui a prononcé que la Judée et la Samarie ne sont en aucun cas des territoires occupés. Le Dr Baker a expliqué qu'il "n'existe pas une telle chose" comme les lignes de 1967. "Il n'y a jamais eu une telle chose. La question des frontières est à l'ordre du jour, l'UE ne peut pas dicter un sujet qui est à l'agenda des négociations. Les lignes d'avant 1967 sont les lignes d'armistice de 1949. Ce ne sont pas des lignes reconnues ou des lignes de sécurité. Dans le processus d'Oslo, il a été convenu entre nous et les palestiniens que la question des frontières sera négociée. Le terme "lignes de 1967" n'apparaît nulle part dans notre accord avec les palestiniens, donc c'est une aberration juridique et factuelle de déterminer que ce sont nos lignes." "La seconde chose est de déterminer que les implantations (juives) sont illégales au regard du droit international. C'est vrai que la plupart du monde la pense, mais cela n'est fait pas une vérité juridique. Légalement, la clause de la Convention de Genève qu'ils utilisent pour dire que les implantations sont illégales n'était pas destinée à se référer à des cas comme celui de nos implantations, mais à empêcher le transfert forcé de populations par les nazis. Ce n'est pas pertinent pour les implantations israéliennes." 200 commentaires
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Quoi qu'il en soit, il faut constater que l'Union Européenne a toujours adopté une politique défavorable à Israel.
Avec l'attitude hypocrite de l'Allemagne qui se cache derrière l'UE.
une fois de plus Léon Rozenbaum a résumé de façon concise et nette le problème de l'Europe
Je vous invite à lire ce site très intéressant si vous ne le connaissez pas encore
Ce qui est en jeu ce sont les financements de projets ou partenariat entre des entreprises et universités de Cisjordanie et d’Israel. Ca c'est le levier!
L'idée est de sortir de ce territoire physiquement économiquement et administrativement Israel comme à Gaza! afin que l'Europe et ses futurs alliés administrent financent gèrent les territoires à leurs envies le tout pour le compte de palestinien qui occupent en partit la cisjordannie. Eliminant la donnée cruciale qui est la sécurité des juifs Israéliens. Ensuite il restera aux institutions Européenne de faire voter le tout auprès des Nations Unies qui n'attendent que cela.
L'idée est fine et la menace est sérieuse! Et n'oubliez pas qu'Israel ne pèse pas grand chose dans le concert des nations face à l'Europe!
Si Israel n’a pas solutionné le problème, ce ne sont pas les fonctionnaires de UE qui peuvent y arriver ! Ils en sont incapables intellectuellement et puis j’ai un doute sur leurs vrais intentions
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2014 est tellement proche qu’il est difficile de se retourner, c’est l’heure de la diplomatie et du profil bas ne vous étonnez pas dans les semaines à venir des promesses de Bibi, faisons lui confiance et soutenons le !. Israel est encore mis à l’épreuve elle doit se réorienter avec des partenaires plus fiables à chaque chose malheur est bon.
La France de Marine elle, gagne de nouvelles voix
D'autant, ne l'oublions pas, que si l'Europe occidentale conserve ( mais pour combien de temps encore ? ) un poids financier, économique et commercial, elle n'en est pas moins sérieusement en difficulté, en recul, voire sur le déclin. Et que, si elle garde encore de beaux restes sur les plans commercial etb économique, elle n'est plus en mesure d'imposer nulle part ( pas même chez elle : souvenons-nous des guerres en ex-Yougoslavie ) la moindre solution militaire ( et donc, politique ).
Donc, une grande dose d'outrecuidance quant aux effets territoriaux et politiques possibles de ce chantage.
Au-delà, que signifie cette " directive " ? - Deux choses, selon moi. L'une est l'emprise croissante sur l'Europe occidentale ( et en particulier sur la France ) des colossaux capitaux qataris, qui achètent des positions économiques et aussi, très certainement, des agents d'influence dans les médias et dans le onde politique.
L'autre est, paradoxalement,
Soutenons Israel en dénonçant le fait que des Juifs expulsés en 1948 du Quartier Juif soient interdit de retour selon cette directive de l'Union Européenne !
Dénonçons l'attitude hypocrite de l'Allemagne qui affirme etre attaché à l'existence de l'Etat d'Israel.
Rappelons nous que cette même Allemagne interdît aux avions américains ravitaillant Israel pendant la Guerre du Kippour de faire escale sur son territoire.
que cette mesure, cette " directive " , révèle, par son caractère extrême même, que la cause d'un [ deuxième, puisqu'existe déjà la Jordanie ] Etat arabo-palestinien est " en grand danger d'être battue " , pour parler comme La Fontaine. Les lobbies pro-arabes font agir les quelques leviers qu'ils croient pouvoir encore manoeuvrer ( notamment à Paris et à Bruxelles ) précisément parce que les forces susceptibles de faire réellement pression sur Israël sont en échec.
Il faut, pour bien le saisir, revenir en arrière. La période qui va du 20 janvier ( première investiture de Barack Obama ) au 4 juin 2009 ( discours dudit au Caire ) semble aux yeux des pro-arabes et pro-palestiniens du monde entier ( particulièrement dans le monde arabe et dans sa zone d'influence eurabe ) devoir inaugurer une époque des merveilles : les Etats-Unis vont renverser leurs alliances, ils vont " jeter Israël sous les roues de l'autobus " et le contraindre à reculer et à céder sur tous les points : le Golan, les quartiers Est de Jérusalem, les constructions juives en Judée-Samarie, le retour aux ( prétendues ) " frontières de 1967 " , la " solution à deux Etats " , le retour des soi-disants " réfugiés " ... - A ce moment-là et pendant un an et demi, c'est de Washington que les lobbies pro-arabes attendent tous les miracles, et non de l'Union Européenne, qui ne peut prétendre qu'au rôle de cinquième roue du carrosse ( comme d'habitude ... ) ou de mouche du coche.
Mais ces espoirs, ces fantasmes
ces illusions sont demeurés des vues de l'esprit ; n'ont nullement pris corps. Toute la puissance des Ettas-Unis n'est pas parvenue à imposer à Israël de faire hara-kiri. En dépit de toutes les pressions, inouïes, de toutes les manoeuvres et de toutes les manipulations, Israël n'a rien cédé d'essentiel sur aucun des points mentionnés ci-dessus. A partir de la fin de l'été 2010, les équipes qui menaient à Washington les politiques pro-arabes et anti-israéliennes se disloquent : George Mitchell jette l'éponge ; Rahm Emanuel se reconvertit dans les magouilles chicagoannes, le général James Baker renonce ... A l'automne 2010, la première politique moyen-orientale de l'administration Obama a échoué, est morte. Les conseillers secrets - ou discrets - qui, derrière Barack Obama ou Mme Hillary Clinton, élaborent la politique moyen-orientale de l'administration démocrate mettent alors en oeuvre ce qu'à l'époque j'avais qualifié de Plan B : il s'agit derien de moins qu'un bouleversement complet de la politique américaine : circonvenir l'irréductible Israël en l'entourant d'Etats passés aux mains d'islamistes militants - les " Frères Musulmans " - avec qui le Département d'Etat et la Maison Blanche passent une sorte de deal, dans le prolongement de ceux que les équipes brzezinskiennes avaient passés, naguère, avec des forces de même type, notamment en Afghanistan, en 1979. Ce " Plan B " n'est autre que la succession des " Printemps arabes " .
Une remarque s'impose ici :