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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient800.000 palestiniens devraient affluer sur Israël dans les prochaines heures. Pile tu perds. Face je gagne.Allez comprendre… Quand Israël refuse l’entrée d’un palestinien sur son territoire, Israël pratique « l’apartheid » – enfin, c’est ce que l’on veut nous faire croire, oubliant un peu rapidement qu’Israël ne doit rien à personne et encore moins aux habitants d’un pays qui n’est pas le nôtre. C’est comme si on accusait la France d’apartheid car elle refuserait le libre déplacement d’Algériens en France. Enfin bref. Pour contrer cela, et parce qu’au final, les israéliens sont trop bêtes pour comprendre qu’on les prends pour des cons, l’Etat Juif délivre presque 1 million de visa pour visiter l’Etat Juif. C’est énorme. Rapporté proportionnellement, c’est comme si 16 millions d’Algériens recevaient un visa pour visiter la France le temps de fêter la fin du Ramadan. Enorme. Et pourtant véridique. Et vous savez quoi ? Cela ne convient à pas grand monde. 24 commentaires
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EN L ETAT DE L AMBIANCE QUI REIGNE DANS LE MONDE ARABE LES PALESTINIENS POURRONT APPRECIER LA DIFFERENCE ET DEVENIR MOINS HOSTILES ENVERS L ETAT JUIF
Israel n a pas d autre choix ce sont des voisins des familles qui veulent feter un evenement majeur en famille et ce seront les voisins de demain et d apres demain.....
ALORS LES CONSEILLEURS NE SONT PAS LES PAYEURD ET CEUX QUI TROUVENT A REDIRE SONT DANS LEURS PLEINS DROITS
ISRAEL EST UN PAYS DEMOCRATIQUE ET DES LOIS SONT VOTEE ET APPLIQUEES
ce serait une erreur de comparer FRANCE/ALGERIE
Al Aqsa : j’ai découvert l’entrée du Second Temple
En grandissant, j’ai acquis l’habitude de mon père, qui consiste à collectionner les visites d’édifices pour me nourrir l’esprit. C’est ainsi que cette passion m’a amenée ici, sur le Mont du Temple. Sous ce Dôme, je peux enfin savourer l’héritage de mon père : son attachement sans bornes au romantisme des architectures délabrées, qui, à présent, nous communiquent à tous deux, les formes d’expression hors-pair de la beauté sanctuarisée, le testament le plus précieux pour une fille digne de son père.
Les anciens architectes de l’Islam possédaient une imagination débridée, de telles appétences pour la beauté, mais aujourd’hui, tout ce qu’il en reste, ce ne sont que comme des os blanchis par le soleil, des mosaïques décolorées, des jardins presque chauves, et rares sont ceux, parmi les visiteurs aveugles, qui pourraient comprendre la beauté originelle qui nous entoure.
Différences évidentes entre ancienne et nouvelle structure.
En quittant le Dôme, nous avons marché vers le Sud, vers Al Aqsa. Il faisait encore très chaud. Sur le seuil de la porte, quatre hommes bavardaient gentiment, intrigués par cette scène de la touriste américaine arrivant avec son guide. Patiemment, ils attendaient la prière d’al Asr. Je reprenais mes esprits. La scène paraissait plus animée, l’expression de leurs visages, d’une amabilité rafraîchissante.
Un labyrinthe d’échafaudages.
Alors que nous entrions, mon regard tomba sur les étagères de livres encerclant des piliers massifs. Ils semblaient d’une homogénéité suspecte –des copies du Coran, toutes du même éditeur. Personne n’en avait bougé un seul de sa place. D’autres étagères délabrées étaient à nu, attendant de recueillir les chaussures des fidèles. Nous étions là entre deux temps de prière. Al Aqsa était singulièrement vide.
Les mêmes échafaudages, avec du recul.
Des toîts bas en forme de dôme s’arqueboutaient au-dessus de nos têtes, tous taillés dans le même calcaire. Des couloirs agréables s’étiraient vers les halls longitudinaux. Ici et là, une femme isolée étudiait son Coran.
A part cela, Ibrahim et moi étions seuls. Nous avons tourné au coin de l’allée et, en nous approchant d’un vestibule plus petit, nous nous sommes trouvés confrontés à d’énormes colonnes. Leur diamètre était plus épais que la taille d’un géant et ils apparaissaient disproportionnés, en comparaison avec le toît plutôt bas. Chacun de ces piliers massifs était soigneusement soutenu par des contreforts modernes de béton et des gaines d’acier. Ces piliers semblaient tellement plus anciens. De toute évidence, ils n’appartenaient pas à Al Aqsa.
Tout près de moi, Ibrahim indiquait le toît au-dessus de nos têtes. Une claire distinction, tranchant net dans l’assemblage des divers travaux de maçonnerie, était flagrante.