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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientKerry "encouragé" par les entretiens va peut être revenir lundiSuite à trois jours de réunions avec le dictateur de l'AP Mahmoud Abbas et le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou à Ramallah et Jérusalem, le secrétaire d'état américain John Kerry se rendra en Jordanie et en Arabie Saoudite, dimanche, pour discuter de ses efforts pour parvenir à une paix israélo-palestinienne, ainsi que d'autres questions régionales. Kerry pourrait retourner à Jérusalem lundi, selon des rapports de medias israéliens, alors qu'il pense que des progrès ont été accomplis en ce qui concerne son projet d'accord-cadre pour les pourparlers. Dans une brève déclaration faite à la presse dimanche matin, Kerry a déclaré que les discussions de ces derniers jours ont été "positives et sérieuses", mais "pas faciles", ajoutant que Netanyahou et Abbas ont pris des risques dans les négociations. Il a ajouté que les deux parties comprennent les ramifications si les pourparlers échouent. Il a mis en garde dans le passé sur une autre intifada et un plus grand isolement international d'Israël si les négociations échouent. Un responsable américain a déclaré à Haaretz que l'un des principaux obstacles qui freinent l'accord-cadre est la demande de chaque partie que leurs réserves sur le cadre apparaissent comme une annexe distincte dans le texte final, plutôt que dans le cadre du texte principal qui détaille le terrain d'entente dans les négociations. "Il est essentiel que si il y a des réserves, elles fassent partie du cadre, pas une partie distincte. Sinon, cela serait dommageable pour l'accord. Par exemple, si le cadre comprend une clause stipulant que les négociations seront basées sur les frontières de 1967, nous ne pouvons pas accepter une réserve indiquant qu'une des parties s'y oppose," a-t-il dit. Tout cadre convenu ne serait pas un document signé, mais traiterait de toutes les questions fondamentales, y compris les frontières entre Israël et un futur état palestinien, la sécurité, les "réfugiés", et les revendications contradictoires sur Jérusalem, a dit le responsable. Il a également dit que si les parties ont convenu d'un cadre pour les négociations pour un accord de paix définitif, il pourrait ne pas être rendu public pour éviter d'exposer les dirigeants à des pressions politiques chez eux. Mais ces pressions montent déjà en puissance. La présidente de la faction Bayit Hayéhoudi, Ayelet Shaked, a déclaré dimanche matin que son parti ne resterait pas dans la coalition si le gouvernement adopte un accord-cadre "sur base des lignes de 1967." "Un gouvernement qui accepte les lignes de 1967 est un gouvernement de suicide national," a-t-elle dit. Kerry a déclaré samedi que des progrès ont été accomplis dans les négociations et que les deux parties sont plus proches de la signature d'un accord, qui créerait un état palestinien aux côtés d'Israël, même si les principaux obstacles sont encore à surmonter. Les entretiens de Kerry dimanche avec le roi Abdallah II de Jordanie et le roi Abdallah d'Arabie Saoudite sont susceptibles d'aborder également la guerre civile en Syrie, la montée de la violence en Irak, et le programme nucléaire iranien. Kerry est censé se réunir la semaine prochaine avec les représentants de la Ligue Arabe et de discuter du processus de paix israélo-palestinien et d'autres questions régionales. 29 commentaires
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et le résultat sera .. ".échec et mat " pour l ' AMêRIQUE DE OBAMA et de son VASSAL KERRY !
Il est temps que l’on leur fasse constater leur abus ! Il existe des raisons humanitaires supérieures et prioritaires oú la vie d’êtres humains en danger de mort appelle du secours ! Le Darfour, le Nigéria, le Sud Soudan, la Centrafrique, par exemple, oú il est question de centaines de milles de vie humaines à sauver ! N’est-pas là, une raison de s’en mêler ? L’Amérique d’Obama a abandonné honteusement le dossier syrien et sa horde de 130.000 de vies perdues. L’Amérique ne peut pas clamer que ses interférences ont pour but de stopper le terrorisme ? C’est faux. L’attentat de Boston montre bien que ses ennemis ont toute sorte de motivation pour la miner et la taquiner, ce qui n’a pas forcément de lien avec le conflit israélo-arabe. Un soldat américain d’origine africaine sort de sa caserne et mitraille la foule au hasard, quel rapport avec le conflit israélo-arabe ? Les palestiniens pratiquent le terrorisme à ciel ouvert et leurs dirigeants ont pour la plus part un passé terroriste. En outre, les palestiniens jubilaient de joie en priant pour que Saddam Hussein foulât une raclée à l’armée américaine. Des voyous brulèrent le drapeau américain et le piétinèrent. Les insurgés libyens lynchèrent à mort l’ambassadeur Chris Stevens et il n’a bénéficié d’aucun secours vital. Israël est une démocratie complète et un Etat souverain. Il respecte et tisse des liens d’amitié avec tous ceux qui l’accepte.
L’Amérique doit laisser Israël régler ses problèmes avec ses voisins. Ce dernier a démontré qu’il est capable de patience et de persévérance. Les dirigeants palestiniens actuels appartiennent à une génération qui a flirté avec le communisme et le KGB. Il ne faut pas s’attendre à une paix avec eux. Il faut comme Golda Meir l’a souligné, que les arabes éduquent leurs enfants dans un climat de paix et de coexistence. Israël peut donc attendre jusqu’à la disparition de cette génération de dirigeant haineux et chefs terroristes, qui tiennent les rênes du pouvoir sans légitimité démocratique. Enfin Israël doit refuser la diplomatie américaine pro arabe quoique qu’elle fasse. Dans tous les cas, l’Amérique défend en sous- main ses intérêts particuliers d’abord.
Vous avez parfaitement raison de poser la question du pourquoi de l'ingérence obamesque, car je fais une nette différence entre la politique des USA en général et celle de Sidi Obama en particulier. Premier élément de réponse c'est que les US ne font de cadeau qu'aux US et s'ils coopèrent avec tel état et pas avec d'autres c'est toujours en fonction du gain qu'ils en retirent. Quand ils ont reconnu la Chine, ils ont honteusement lâché Taiwan. S'ils ont jusqu'à ce jour soutenu Israël c'est en raison des énormes apports technologiques dont ils profitaient jusque là. Aujourd'hui, il se passe un retournement de situation, l'Iran ayant prouvé des capacités technologiques étonnantes malgré le boycott et les sanctions économiques imposées par le monde libre. Aux yeux des US, l'Iran pourrait s'avérer être un partenaire dans le contrôle du Moyen Orient. C'est possible, mais seulement en limant les griffes de l'allié israélien exécré par les perses et par les arabes. Les choses vues sous cet angle éclairent un peu ce qui est en train de se passer. Réduire Israël sans avoir l'air de le lâcher mais de le rendre dépendant, c'est le confiner sur les lignes d'armistice de 1949 dans un espace indéfendable, c'est le contraindre à accepter la partition de J'lem qui deviendrait du coup une enclave ennemie au cœur d'Israël. Cet Israël affaibli aurait la promesse de l'oncle Sam d'user de sa toute puissance pour voler à son secours, une fois que son armée serait dos à la mer
La politique d'Obama n'est pas lisible, elle est machiavélique pour le monde mais aussi pour les Etats-Unis lesquels n'ont pas d'alternative en la personne d'un personnage de la stature de Reagan. La démocratie américaine est malade, tout comme l'est celle de l'Europe et celle en particulier de la France c'est la finance qui mène la danse, le profit rien que le profit. Peut-être n'ai-je pas tout dit, ou tout vu ou voire même me serais-je trompé. L'avenir nous le dira...attendons