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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientSuite à l'Ukraine, Obama y a été doucement avec NetanyahouLa crise en Ukraine a tout changé. Suite à des commentaires inhabituellement difficiles du président américain Barack Obama faits dans une interview avec Jeffrey Goldberg la semaine dernière, et publiés dimanche, le premier ministre Benyamin Netanyahou s'attendait à recevoir une critique cinglante lundi dans le bureau ovale. Mais le ton d'Obama a été étonnamment doux. Les déclarations d'Obama faites juste avant sa rencontre avec Netanyahou semblaient très différents du contenu de l'interview, dans laquelle il reprochait au premier ministre israélien "la construction agressive continue dans les implantations", mettant en garde que les Etats-Unis pourraient ne plus être en mesure de protéger Israël dans l'arène internationale, et prédisant que "la fenêtre se ferme pour un accord de paix". Obama n'a pas changé radicalement sa position d'un jour à l'autre, pas plus sur l'Iran que sur le processus de paix. Certaines "décisions difficiles vont devoir être prises" a-t-il dit à Netanyahou lundi à la Maison Blanche, et des compromis difficiles devront être faits pour parvenir à un accord avec l'autorité palestinienne. Alors que ses vues sont restées les mêmes, la différence de ton était drastique. Et ce malgré l'annonce par le gouvernement israélien que la construction juive en Judée Samarie a augmenté de 123% en 2013 par rapport à l'année précédente, ce qui aurait pu éventuellement donner à Obama plus de munitions pour attaquer le premier ministre. Selon Goldberg, Obama était prêt à dire à Netanyahou que si il n'approuvait pas le plan de paix américain, Israël "pourrait faire face à un avenir sombre, celui de l'isolement internationale et un désastre démographique." Et pourtant, au moins lors des déclarations publiques des deux dirigeants faites avant leur réunion de trois heures, on n'a pas eu l'impression que le président était sur le point de réprimander Netanyahou avec un sermon sur les implantations. Obama n'a pas prononcé une seule fois le mot "implantation" lundi lors de ses déclarations publiques. De toute évidence, il y a une raison à ce brusque changement de ton. L'interview d'Obama avec Goldberg a eu lieu jeudi dernier, avant que la crise russo-ukrainienne n'escalade. Lundi, Obama a compris que le président russe Vladimir Poutine était sérieux au sujet de ses ambitions concernant la Crimée, et qu'une éventuelle confrontation militaire près de la mer Noire pourrait devenir le moment déterminant de sa présidence. Le public américain n'est pas vraiment inquiet que l'Iran soit au seuil d'obtenir l'arme nucléaire, et le fait que Bachar al-Assad continue de tuer en Syrie ne l'empêche pas de dormir la nuit. Alors qu'aux yeux des israéliens et des états arabes sunnites de la région, Obama est un leader faible que ne respecte même pas les lignes rouges qu'il a lui-même mises en place, le citoyen américain moyen a d'autres soucis. Mais la crise de Crimée, un retour à la guerre froide, est tout autre chose. Le défi lancé par Poutine à l'Occident, et en particulier aux Etats-Unis, qui ont promis qu'il "y aura un prix énorme a payer" pour la violation de la souveraineté de l'Ukraine, est un plus important casse-tête pour Obama que l'ensemble du Moyen Orient. Et la dernière chose que le président a besoin maintenant est une prise de bec publique avec Netanyahou, qui bénéficie d'un soutien quasi unanime au Congrès. Et Obama pourrait avoir besoin du Congrès si il décide d'agir de manière décisive contre l'appétit territorial de Moscou en Europe de l'Est. Est-ce que cela veut dire que l'administration américaine va diminuer la pression sur Israël dans les semaines et les mois à venir ? Certainement pas. Alors que Washington se prépare à ce qu'Israël et l'AP signent un accord-cadre qui permettrait aux parties de poursuivre les négociations en vue d'un accord de paix final, Obama et Kerry seraient incapables d'obtenir que Netanyahou fasse preuve d'encore plus de souplesse, face à Abbas qui n'en a pas du tout, et de faire encore plus de concessions. Tant que le spectre de la guerre se profile en Europe, et que les ukrainiens et les européens se tournent vers le "leader du monde libre" pour contrer les provocations russes, Obama sera prudent de ne pas ouvrir d'autres fronts inutiles. Articles connexes
10 commentaires
| Membre Juif.org
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Compte tenu de ses bons rapports avec Poutine peux il dénouer la crise entre les USA
Ce donnerai à israeĺ une stature internationale
Voila et après on dit que l'islam ne pose pas de problème, juste un période d'adaptation, -- à sens unique __ qui sera vite surmontée, nous voila , des violences jusqu' aux plus graves sont perpétrées au nom de l'islam, pour vous dire que on ferme les yeux sur toutes problématique posse par les musulmans, mais pour Israël ,le plus petit pays au monde, avec une infime minorité de juif dans le monde , et en Israël, tous les regards son focalises, Israël a devenu le gangster n² 1 à abattre par tous le moyens, Israël un gangster, humain, altruiste, travailleur, démocratique, où toutes les religions sont respectes, ont soigne des syriens a leur frontières, sans oublie que certainement ils oublieront ça, et viendront a combattre ses juifs altruistes, bon, cette espèce affreuse que fait du bien, qui fait des écoles, des hôpitaux pour tous, qui donne de travail a tous, qui son pacifistes, qui ne veulent pas assassiner, un pays , qui fait tout son possible pour supprimer, les souffrances, l'alphabètes, où la Cour de Justice, le Parlement, sont des véritables organisme qui font la lumière sur les faits, de quoi Israël est-il coupable ? Coupable de faire ou coupable d'être trop bien ? Pendant ce temps, en Occident, on s'apprête a sortir ses mouchoirs dès que la bombe explosera sur Tel-Aviv, la ville sioniste par , ,
quant à une nouvelle libération des 104 prisonniers arabes , il faut tout d ' abord qu ' il y ait le début d ' un " oui " de la part de la droite arabe dite " palestinienne "...il est hors de question , qu ' à chaque reprise du processus de paix , l ' on assiste à la libération de prisonniers sans que la droite arabe dite " palestinienne "fasse le moindre geste pour avancer dans la bonne direction du processus de paix ...il y a lieu de ne pas oublier que la libération de ces prisonniers sans contrepartie met en péril la sécurité du citoyn israêlien , et surtout des militaires de tsahal à la merci de prise d ' otages , car les prisonniers libérés deviennent une armée de preneurs d ' otages de militaires de tsahal ...il serait normal qu ' il y ait un arrêt concernant la libération de ces prisonniers arabes qui ont ou n ' ont pas du sang dans les mains !
dès l ' instant où un accord-clé se décide à telle date , alors il serait possible de libérer les prisonniers arabes...sans accord-clé , et pour la sécurité de tsahal , c' est non !
CONCERTATION SUR LA PALESTINE NI DE DISCUSSION .
On ne met pas la charrue avant les bœufs et il est bien entendu que si les arabes
ne veulent pas reconnaître Israël comme un état juif il ne peut pas y avoir de discussion.
Déjà, beaucoup d'états arabes nient l'existence d'Israël et ce pays ne figure même
pas sur leurs cartes géographiques.
C'est la preuve que quoi qu'il arrive ils continueront leur politique antisémite et négationniste.
Ceux qui veulent bien se laisser intoxiquer par la propagande arabe ont choisi leur camp !
Mais Israël n'a pas de concession à leur faire.
Am Israël Hay !
" Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a menacé lundi de prendre des “mesures légales et diplomatiques” en saisissant les instances internationales, si l’accord cadre ne prend pas en compte la question de Jérusalem, du gel des implantations et des réfugiés palestiniens, lors d’une rencontre à Ramallah avec la dirigeante israélienne du parti Meretz, Zahava Gal-On .
JËRUSALEM EST JUIVE ,DEPUIS LA NUIT DES TEMPS ELLE S ' EST TOUJOURS APPELËE"JËRUSALEM" et jamais " AL QODS " "tout comme d ' ailleurs peuple arabe palestinien , qui n ' a jamais existé...pour preuve la conférence de san rémo du 24 avril 1920 !
pour ce qui est du " gel des implazntations "les droits d ' ISRAËL , parmi les plus importants , conférés aux juifs , figurent ceux de l ' article 6 du mandat britannique qui reconnaît aux juifsnotamment d ' y établir des colonies de peuplements !
quant aux réfugiés , le chiffre de 4, 5 millions est faux , pour la bonne raison que les dits réfugiés vivent à gaza , en judée-samarie à jérusalem-est et ailleurs pas plus de 10.000...
abbas a conditionné la prolongation des pourparlers de paix, au-delà du mois d’avril, si le Premier ministre Netanyahu déclare ...une nouvelle libération de prisonniers ...