Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Il ressort de la seule souveraineté de l’État d'Israël a disposer de quelle ville est sensée représenter sa capitale. Dans le cas de Jérusalem il est absolument patent que Jébus conquise par David HaMelek, dénommée par lui Yeroushalaïm est depuis la capitale du royaume hébreu, l'est restée jusqu'à sa totale destruction par les romains en 70 AC. Des religions étrangères en revendiquent la gestion, principalement les Églises chrétienne catholique romaine, et orthodoxe et récemment l'islam s'appuyant sur une histoire à dormir debout suivant laquelle son prophète aurait dans un songe fait un voyage sur un cheval flottant dans les airs en direction de celle-ci, en fait le troisième lieu saint de cette abjecte religion. On mesure ici toute l'inanité de telles revendications religieuses au regard du fait que J'lem est depuis plus de 3000 ans la capitale officielle de l’État hébreu par tant celle de l’État moderne d'Israël. A moins de nier la véracité et de rejeter les Saintes Écritures, il ne fait aucun doute que seuls les Israéliens, héritiers directs de leurs devanciers, ont le droit de priorité dans la désignation de Yeroushalaïm comme capitale éternelle de l’État démocratique et souverain d'Israël. Il en ressort que l'avis contraire des nations est sans aucun objet, Israël ayant souverainement au terme du droit de la guerre annexé et désigné l'entièreté de la ville éternelle comme sa Capitale, cela ne se discute même pas et l'opinion de l'Oncle Sam n'a pas force de loi.