Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Le représentant de l'Organisation des Nations Unies (ONU), Mathias Bank, a déclaré samedi que son organisation ne se hâtait pas pour répondre aux nombreuses analyses réfutant le décompte des victimes dans la bande de Gaza. Ces chiffres ont été utilisés pour focaliser la haine contre Israël dans le monde entier, avec, donc, la participation de l'ONU.

Et ce, bien entendu, sans compter le fait que l'ONU cachait dans ses écoles à Gaza des dizaines de roquettes appartenant au Hamas, avant de les rendre au groupe terroriste islamiste pour qu'il les tire sur la population israélienne.

"Parce que nous avons à traiter avec de multiples victimes dans un court laps de temps, nous nous sommes concentrés sur le premier décompte du nombre total," a déclaré Bank. "Nous n'avons pas encore abordé une analyse détaillée des données," a-t-il ajoute sans gêne, alors que les medias du monde entier ont déjà revus ces comptes depuis quelques jours. Manque de budget à l'ONU ou simplement un manque de volonté de rétablir la vérité ?

Bank a insisté, cependant, que l'ONU allait "prendre des mesures" pour faire la distinction entre les terroristes et le victimes civiles.

"Lors de la collecte des données initiales, nous avons comparé les différents rapports des medias (soumis au Hamas) et des organisations des droits de l'homme (soumises au Hamas), mais aussi, par exemple (!!!), des rapports de Tsahal avec les noms des terroristes," a-t-il insisté.

L'ONU a été l'un des principaux promoteurs des affirmations de "disproportions" dans l'opération antiterroriste israélienne à Gaza, qui a vu près de 2000 habitants de Gaza tués depuis le lancement de l'opération il y a 33 jours.

Récemment, la BBC et le New York Times, des medias TRES loin d'êtres pro-israéliens, ont finalement admis que les analyses des chiffres du "ministère de la santé palestinien" ne soutiennent pas les affirmations que la plupart des décès sont des victimes civiles, notant que les jeunes hommes d'âge militaire sont représentés de manière disproportionnée dans le décompte.

Une analyse en profondeur de la part de sources israéliennes a révélé que quelques 900 des personnes tuées, soit 47%, étaient des terroristes. Un tel rapport entre combattants et victimes non-combattantes (environ 1:1) serait presque sans précédent dans l'histoire de la guerre urbaine.

D'autres sources, comme la MeNA, ayant des contacts dans la bande de Gaza, citent des chiffres bien plus importants concernant le nombre de terroristes morts :

"Notre évaluation, au 9 août, s’établit de la manière suivante : le total des pertes palestiniennes s’élève à 2 049 individus, soit 1 843 qui sont passés par les hôpitaux et les morgues officiels, et 206 miliciens, qui ont été enterrés par le Hamas dans des cimetières clandestins, afin de les soustraire au bilan et de réduire ainsi, aux yeux des Gazaouis, des Arabes et du monde, l’étendue de sa défaite.

D’après Sami el Soudi, le nombre réel de miliciens tués lors de Rocher Inébranlable est proche de 1 400, soit plus de deux tiers des morts."

Le nombre de victimes civiles gonflé est du, au moins en partie, à la manipulation statistique, y compris la répétition des noms, le refus de donner les âges de certaines victimes, ou l'omission ou la falsification des registres officiels, tout en ajustant sournoisement des morts dans les jours précédent le début de l'opération. C'est également du au Hamas encourageant le civils, voir forçant les civils à devenir des boucliers humaines.

En outre, le Hamas est connu pour compter les décès dus a des incidents qui n'ont rien à voir avec les attaques israéliennes sur sa "liste de victimes civiles", y compris les victimes des tirs de roquettes ratés du Hamas et ses dizaines d'exécutions de soi-disant "collaborateurs d'Israël", en général des gens qui s'opposent à la politique génocidaire du groupe terroriste islamiste.