Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

La construction d'un mur de sécurité souterrain le long de la frontière israélienne avec la bande de Gaza a provoqué un tollé dans la bande, avec des appels à l'intervention des organisations internationales des droits de l'homme et l'Organisation des Nations Unies pour bloquer le plan israélien.

Le mur, qui descendra à des dizaines de mètres sous terre et est destiné à bloquer les tunnels terroristes du Hamas, sera construit entièrement du côté israélien de la frontière.

Cela n'a pas empêché les palestiniens de pleurnicher, revendiquant que le mur "causerait des dommages environnementaux".

Dans une interview publiée dimanche par le journal Falastin, un journal du groupe terroriste islamiste Hamas, des "écologistes" de Gaza ont averti que le mur de sécurité pourrait bloquer les eaux souterraines d'Israël se déplaçant vers la bande de Gaza. Cela, disent-ils, empêcherait la reconstruction des nappes phréatiques et forcerait les habitants de Gaza à trouver davantage de sources alternatives.

Ne s'arrêtant pas dans le ridicule, ces soi-disant experts ont également suggéré que le mur pourrait provoquer des éboulements le long de la frontière (des tunnels terroristes ?) et pourrait bloquer la circulation des animaux à travers la frontière entre Israël et Gaza. Ce dernier point devrait plutôt être un soulagement pour les défenseurs des animaux, quand on sait les cruautés auxquelles s'adonnent les habitants de Gaza contre les animaux qui leur tombent sous la main.

Qu'on ne s'étonne pas si ces affirmations insultant l'intelligence trouvent bientôt une oreille attentive auprès des organisations des "droits de l'homme", ou des droits des terroristes pour être plus honnête.