Le président des Etats-Unis, Donald Trump, a accepté la démission de l'ambassadrice des Etats-Unis auprès de l'ONU, Nikki Haley.
Haley a discuté de sa démission avec le président Trump lors de leur rencontre à la Maison Blanche la semaine dernière.
Cette démission choque les responsables de la politique étrangère de Washington.
L'ambassadrice Haley a vivement critiqué la corruption, les préjugés et l'incapacité de l'ONU à faire face à la crise des droits de l'homme dans le monde. Elle était également la plus grande partisane d'Israël à l'ONU.
L'ambassadrice a déclaré que son service à l'ONU "a été l'honneur de toute une vie".
Haley a critiqué la rhétorique de Trump lors de l'élection présidentielle de 2016 et a soutenu son rival Marco Rubio pour l'investiture républicaine. Ses relations avec Trump se sont améliorées après les élections et on lui a offert le poste d'ambassadrice aux Nations Unies.
Elle a déclaré ne pas avoir peur de critiquer le président lors de réunions privées avec lui.
Des sources à la Maison Blanche ont déclaré que Trump avait annoncé que Haley partirait à la fin de l'année et qu'elle "prendrait une pause".
Haley a déclaré qu'elle ne se présenterait pas à la prochaine élection présidentielle et qu'elle ferait campagne pour la réélection de Trump en 2020.
Lors d'une annonce en direct sur la démission, Trump a déclaré que l'ambassadrice Haley avait été "très spéciale pour moi" et "une personne fantastique".
"C'est quelqu'un qui comprend. Elle est aux Nations Unies depuis le début avec nous et a travaillé avec nous. Elle m'a dit il y a six mois : tu sais, peut-être qu'à la fin de l'année, je veux prendre un peu de temps libre," a dit Trump.
S'adressant à Haley, Trump a dit : "j'espère que vous reviendrez à un moment donné, peut-être avec un autre titre."
Haley a souligné ses réalisations au cours des dernières années. "Maintenant, les Etats-Unis sont respectés. Les pays peuvent ne pas aimer ce que nous faisons, mais ils respectent ce que nous faisons. Ils savent que si nous disons que nous allons faire quelque chose, nous le ferrons."
"Nous avons coupé 1,3 milliard de dollars dans le budget de l'ONU. Nous l'avons renforcé, nous l'avons rendu plus efficace. Sur le Soudan du Sud, nous avons instauré un embargo sur les armes, qui a pris du temps à venir. Trois ensembles de sanctions contre la Corée du Nord, qui étaient les plus importantes de la génération, conçus de manière à ce que nous puissions réellement travailler à la dénucléarisation de la Corée du Nord. L'accord sur l'Iran, attirant l'attention du monde sur ce que chaque pays doit comprendre, vous ne pouvez pas ignorer toutes les mauvaises choses qu'ils font. Vous devez les voir pour la menace qu'ils représentent."
Elle a attiré l'attention sur le transfert de l'ambassade des Etats-Unis en Israël de Tel Aviv à Jérusalem. "Je pense que lorsque vous regardez le parti pris anti-Israël et la force et le courage dont le président a fait preuve pour déplacer l'ambassade et montrer au reste du monde : 'nous mettrons notre ambassade où nous voulons mettre notre ambassade."
"Les Etats-Unis sont à nouveau forts, et les Etats-Unis sont forts d'une manière qui devrait rendre tous les américains fiers."
piétiné par le triste sir Obama, ce qui a donné à Poutine les mains libres
pour imposer par la force aussi bien en Crimée qu'en Ukraine et bien
entendu en Syrie.
JE RETIENS AUSSI son implication pour défendre Israël à l'ONU et à
l'UNESCO contre la ligue des pays arabes qui par leur nombre arrivent à
faire la loi dans ces deux organismes mondiaux.
Cette pose dans la politique va lui permettre de se reposer et de réfléchir
à son avenir.
Je lui souhaite bonne chance et surtout à bientôt.