Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Nos voisins ? ce sont les envahisseurs Arabes venus d'Egypte , de Syrie et d'ailleurs qui occupent Gaza et la Judée-Samarie et même la Jordanie et qui envoient des de missiles par centaines sur la population israélienne et qui commettent des attentats terroristes contre les Juifs; est-on vraiment obligés de soigner aujourd'hui ces gens dont les pères et grands père ont pactisé avec HITLER en participant au génocide des Juifs pendant la 2ème guerre mondiale en se faisant incorporer dans les WAFFEN - SS sous la conduite du mufti de la mosquée de Jérusalem ? c'est la triste réalité que semble ignorer Madame la Responsable du Département de la Santé en Israël qui souffre, manifestement, du syndrome de Stockholm ou d'amnésie collective comme la plupart des gauchistes qui ont oublié les morts des guerres de 1948, de 1967, de 1973 et toutes les autres guerres que nous ont imposées "nos voisins" qui veulent encore détruire Israël pour "jeter tous les Juifs à la mer"; le minimum serait d'exiger d'eux qu'ils signent, en contrepartie de leur vaccination, un document dans lequel ils reconnaissent la souveraineté d'israël sur toute la Terre de Palestine.

Une pandémie gouvernementale et médiatique.
Qui a dit : "Il aime qu'on lui mente, le peuple"?
Après un premier vent de panique, des médecins ont vite trouvé un remède.
Le docteur Vladimir Zelenko, le docteur Didier Raoult. Mais ces médecins ont été attaqués par un système politique puissant peu intéressé à guérir les populations.
Puis on a eu le refus de prodiguer des soins médicaux y compris à des personnes souffrant d'autres maladies, dès que le test Pcr s'avérait positif.
On a ainsi nourri des chiffres alarmants : au lieu de permettre aux patients une consultation et de se faire prescrire le cas échéant des antibiotiques, on les envoyait à l'hôpital pour grossir les chiffres et faire peur en disant qu'il n'y avait plus de place.
Le docteur Michal Haran déplore deux dysfonctionnements notoires : l'Arn messager est inoculé sans contrôle sérologique préalable, ce qui provoque un trop-plein d'anticorps ; les effets secondaires ne sont pas signalés, car on suppose qu'ils n'ont pas de rapport avec le vaccin.