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4 commentaires
M. Kouchner a souligné "qu'il fallait faire vite et insister sur la nécessité de soutenir Mahmoud Abbas et d'ouvrir les points de passage entre Israël et la Bande de Gaza", selon la même source.

KOUCHNER ou DON QUICHOTTE ! N'ENVISAGE MEME PAS D'ALLER RENDRE VISITE AUX FANATIQUES SANGUINAIRES DE L'AUTRE COTE POUR LEUR INTIMER L'ORDRE D'ARRETER D'AGRESSER ISRAEL ! OH LE PAUME ! SON PERE DOIT SE RETOURNER DANS SA TOMBE !!!
Envoyé par jocelyne d'ganya - le Mardi 3 Février 2009 à 05:33

EXCUSEZ-MOI JE VAIS OCCUPER BEAUCOUP DE PLACE !!! MAIS C'EST UNE DELECTATION POUR MOI !
COMMENT DEFINIR KOUCHNER ? DU VENT ET ENCORE, LE VENT EST BIEN UTILE ALORS QUE LUI, PAREIL A SARKO, IL VENTILE ! J'AI PRIS LE TEMPS DE CONSULTER SA " BIOGRAPHIE " Star ENCORE UNE FOIS J'AVAIS RAISON QU'Y FAIRE ! LE ROI DU STREAP TEASE CE GARS-LA ! IL FERAIT UN NUMERO SENSATIONNEL AU MUSICHALL ! IL CHANGE DE PARTI COMME IL CHANGE DE CHEMISE, DE PCF - SOCIALISTE - UMP !!! FAUT LE FAIRE QUAND MEME QUANT A SON PARCOURS ? on peut dire qu'il s'est ramasse plusieurs fois ! qu'est-ce qui fait que l'on parle encore de lui et qu'il occupe un poste a si hautes responsabilites ? sa femme doit y etre pour quelque chose car lui ? Embarrassé si vous prenez le temps de lire son parcours vous serez fixe !
- il est medecin c'est bien ca ? je vous le demande car ce gars je ne l'ai vu que sur les plateaux tv. un vieux bo-bar ! sa specialite ? j'en sais rien, mais il n'est reste qu'UN AN 1/2 MINISTRE DE LA SANTE !
- la guerre d'irak ? il est satisfait du refus de la france mais ensuite il est totalement pour ! Tire la langue
enfin bref... je vous laisse, sans vous forcer, vous faire une idee sur ses competences, je le qualifierai de " beau ara " ? d'eolienne ? mais de grace CHRISTINE GARDE-LE A LA MAISON !

Origines, études et famille [modifier]
Né le 1er novembre 1939 à Avignon, d'un père juif (George Kouchner) et d'une mère protestante (Léonne Mauric), Bernard Kouchner mène une vie militante, qui le conduit du PCF, au début des années 1960, au PS, au PRG, puis à nouveau au Parti socialiste avant de devenir ministre de Nicolas Sarkozy.

Il a publié divers ouvrages dont Dieu et les hommes, en collaboration avec l'abbé Pierre, fondateur des communautés Emmaüs.

Il est père de quatre enfants : Julie, Camille et Antoine sont issus de sa première union avec Évelyne Pisier, professeur de droit, et Alexandre, de sa compagne Christine Ockrent, journaliste.


Débuts humanitaires [modifier]
En mai 1968, il est l'animateur du comité de grève de la faculté de médecine de Paris.

Pendant la guerre du Biafra, le docteur Bernard Kouchner s'implique sous l'impulsion des services secrets francais en faveur de la cause des rebelles, puis participe fin décembre 1971 à la création de Médecins sans frontières avec quelques amis[2].

Après avoir participé avec Emmanuel d'Astier à la création du journal L’Événement, il collabore régulièrement avec le magazine Actuel tout au long des années 1970.

En 1979, il entre en conflit à la tête de l’organisation humanitaire avec Claude Malhuret et quitte définitivement MSF pour fonder Médecins du monde[3].


Débuts politiques [modifier]
Il met ses pas dans ceux des grands reporters, et s'affiche dans les médias, ce qui donne prise à la critique, notamment après son intervention humanitaire en Somalie (décembre 1992). Il est un des French doctors les plus célèbres, en raison de ses engagements humanitaires et sa forte présence médiatique. L'image de Bernard Kouchner sac de riz à l'épaule a fait le tour des médias.

Il mène campagne dans les institutions internationales pour la reconnaissance du droit d'ingérence, notion développée à l'origine par Jean-François Revel. Il entre au gouvernement de Michel Rocard comme secrétaire d'État en 1988, puis ministre de la Santé et de l’Action humanitaire des gouvernements d'Édith Cresson et Pierre Bérégovoy (1992-93).


Tibet [modifier]
Dans la préface de l'ouvrage collectif Tibet, l'envers du décor (1993), il écrivait « D’abord, il convient d’affirmer que le Tibet est un pays, avec un passé et un présent, comme le prouve le livre riche et passionnant qui suit. En 1950, la Chine a envahi puis annexé le Tibet. » Il dénonce alors le bilan catastrophique de l'occupation chinoise du Tibet : plus d'un million de Tibétains seraient morts, imposition par la politique de l'enfant unique entraînant avortements et stérilisations forcées, devastations écologiques, stockage de déchets radioactifs et expériences nucléaires, mortalité infantile élevée, transfert massif de population chinoise au Tibet, suppression de la religion, pillage des monastères et du patrimoine. Il conclut de façon magistrale en affirmant : « En ces temps de certitudes brisées et de triomphe apparent de la Démocratie, alors que partout exclusions et nationalismes se renforcent, nos enfants nous jugeront sur notre attitude face aux malheurs des Tibétains[4]. » Il a rencontré le 14e Dalaï Lama dès 1989 et à plusieurs reprises depuis. Il devait le rencontrer à Nantes[5], mais en raison d'un emploi du temps chargé, il le rencontrera le 22 août, en compagnie de Carla Bruni-Sarkozy, lors de l'inauguration de temple de Lerab Ling de Sogyal Rinpoché à Roqueredonde près de Lodève[6].


Rwanda [modifier]
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En 1994, durant le génocide au Rwanda, sous le gouvernement de cohabitation d'Édouard Balladur, il tente d'organiser le sauvetage d'orphelins, et soutient l'envoi de l'armée française au Rwanda. Les armées françaises seront accusées d'avoir couvert le massacre des Tutsis par les Hutus[7],[8],[9].


Guerre d’Irak 2003 [modifier]
Le 4 février 2003, il publie un éditorial avec Antoine Veil dans le Le Monde intitulé « Ni la guerre ni Saddam » où il se déclare opposé à l'imminente guerre en Irak, Saddam Hussein devant être contraint à abandonner le pouvoir par la pression diplomatique, via l'ONU[10],[11].

Toutefois, la perspective d'un départ négocié du dictateur irakien s'éloignant, et devant le raidissement des positions entre les partisans de la guerre, groupés autour des États-Unis et du Royaume-Uni, et leurs opposants, emmenés par la France, la Russie et la Chine, sa position évolue, et il dénonce l'éventualité d'un veto de la France au Conseil de sécurité de l'ONU[12],[13],[14]. Au printemps 2003, il est, avec André Glucksmann, Pascal Bruckner, Alexandre Adler, Romain Goupil, Alain Madelin, Pierre Lellouche, Hervé Mariton, l'une des rares personnalités françaises à ne pas désapprouver la guerre engagée par les États-Unis et leurs alliés contre l'Irak[15].


Proche-Orient [modifier]
Il ira soutenir en personne l'Initiative de Genève[16], plan de paix alternatif prévoyant la création d'un État palestinien aux côtés d'Israël et prend part au « groupe de contact » soutenant l'initiative.


Responsabilités nationales et internationales [modifier]

Bernard Kouchner, ministre de la SantéIl a créé, en 1993, la Fondation pour l’action humanitaire. Bien que n’étant pas membre du PS, il est élu en 1994 sur la liste européenne de Michel Rocard et adhère, sur les traces de Bernard Tapie, en 1995 au Parti radical de gauche (PRG) dont il devient porte-parole. Il s’est prononcé, à titre personnel, en faveur de la réforme Juppé de la Sécurité sociale. Il préside l'association Réunir et est à la fois proche de Michel Rocard et de Lionel Jospin. Il se présente à diverses reprises (en 1988 dans le Nord, en 1994 en Moselle, 1996 législatives partielles à Gardanne) aux élections législatives, sans succès. Il adhère au PS le 6 octobre 1998.


Kosovo [modifier]
Bernard Kouchner a administré le Kosovo en tant que haut représentant de l'ONU de juillet 1999 à janvier 2001. Cette mission faisait suite au vote de la résolution 1244 du conseil de sécurité qui autorisait l'établissement d'une autorité « administrative internationale civile », la mission d'administration intérimaire des Nations Unies au Kosovo. Dans un pays ravagé par la guerre, Bernard Kouchner est chargé de diriger l'assistance humanitaire, l'administration civile, l'économie et l'élaboration d'institutions démocratiques. Pendant son mandat 200.000 Serbes ont dû fuir les représailles des groupes armés de l'UCK.

Malgré ses états de service, sa notoriété et son expérience, Bernard Kouchner a par la suite été un candidat malheureux à différents postes à hautes responsabilités au sein des Nations unies : haut commissaire aux Réfugiés (HCR) en 2005 et directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en 2006.


Birmanie [modifier]
Il rend en 2003, un rapport pour Total[17], payé 25 000 € par Total, où il affirme notamment que « le recours au travail forcé est une coutume ancienne... Ayant été prévenue de cette violation des droits de l'homme, la compagnie Total exigea que ces exactions cessent. Elle s'en ouvrit à Rangoon aux dirigeants qui promirent d'intervenir et le firent...Sur place, les responsables de la compagnie française allèrent jusqu'à payer le salaire habituel aux villageois qui avaient été raflés et forcés de travailler.[18] ». Les liaisons entre les groupes pétroliers français Total et américain Unocal avec la junte birmane, pratiquant l’esclavage et les viols sur la population, est dénoncé par les associations de défense des droits de l'homme comme la FIDH, ERI et la CISL[19],[20],[21]. Ce rapport de 19 pages, réalisé par la société BK conseils créée pour l'occasion[22], sera utilisé pour défendre Total contre des victimes birmanes ayant porté plainte contre le groupe [23].


Soudan et Tchad [modifier]
Bernard Kouchner se bat pour aider les réfugiés du Darfour, lors de son arrivée à ses fonctions de ministre des Affaires étrangères, il dit vouloir y ouvrir un couloir humanitaire[24].

Un de ses anciens collègues de Médecins sans frontières, le docteur Denis Lemasson, voit cela comme un mélange entre approches militaire et humanitaire, et y voit un rapport récent entre le rejet par les gouvernement soudanais et tchadiens de l'exploitation du pétrole par le groupe Total dans la région[25],[26].

L'association Arche de Zoé, tente d'emmener en France des enfants du Tchad, les présentant comme orphelins du Darfour. Les membres de l'association sont arrêtés et inculpés par la justice tchadienne d'« enlèvement de mineurs en vue de compromettre leur état civil » et d'« escroquerie »[27]. Éric Breteau, un des principaux organisateurs de l'association, accuse Bernard Kouchner, alors ministre des Affaires étrangères, d'être impliqué dans l'affaire [28].


Abou Dhabi [modifier]
Lors d'une visite officielle du président Nicolas Sarkozy à Abou Dhabi, aux Émirats arabes unis, le 15 janvier 2008, Bernard Kouchner, qui l'accompagnait, a signé un accord de coopération dans le domaine du nucléaire civil (les groupes Total, Areva et Suez ont alors fait part de leur intérêt pour les perspectives industrielles ouvertes par un tel accord). Le même jour était signé un accord permettant à la France d'obtenir une base militaire à Abou Dhabi[29].


Engagements politiques récents [modifier]

Bernard Kouchner, le 17 mai 2006.Bernard Kouchner est longtemps resté à l'écart de la vie politique d'appareil du Parti socialiste et se permet des prises de position publiques non orthodoxes vis-à-vis de son propre camp politique : militant socialiste, il est favorable à certaines mesures conduites par la droite comme le contrat nouvelle embauche, ou l'ouverture du capital d'EDF. Il se décrit lui-même comme un militant de gauche de tendance sociale-démocrate.


Élection présidentielle de 2007 [modifier]
Le 11 janvier 2006, il se dit « candidat à des primaires à l'italienne » pour l'élection présidentielle de 2007.

En décembre 2006, Bernard Kouchner a indiqué qu'il se verrait bien ou pourquoi pas dans un gouvernement d'union nationale si Nicolas Sarkozy était élu, tout en réaffirmant sa fidélité au Parti socialiste[30].

En février 2007, il rejoint l'équipe de campagne de la candidate socialiste Ségolène Royal tout en prônant l'ouverture politique comme la propose François Bayrou. Dans cette logique, et suite à l'appel de Michel Rocard pour un accord PS-UDF, il prend position pour un rapprochement avant le premier tour entre Ségolène Royal et François Bayrou, dans une interview accordée au Journal du dimanche du 15 avril 2007[31].


Ministre des Affaires étrangères et européennes [modifier]
Le 18 mai 2007, bien que membre du Parti socialiste, il accepte finalement de participer au gouvernement François Fillon en tant que ministre des Affaires étrangères et européennes. Le PS, par la voix de son premier secrétaire, a aussitôt précisé qu'une procédure d’exclusion à son encontre sera enclenchée rapidement. François Hollande s'est exprimé en ces termes: Bernard Kouchner « est exclu de fait aujourd'hui. C'est automatique, comme lorsqu'on se présente contre un candidat désigné par son parti. Bernard Kouchner va être solidaire de ce gouvernement. Il va donc soutenir la droite contre les candidats socialistes aux législatives. » [32].

Bernard Kouchner a signé un article intitulé « Pourquoi j'ai accepté » et publié dans l'édition datée du 20 mai 2007 du journal Le Monde, où il s'explique sur son ralliement à un gouvernement de droite en se revendiquant social-démocrate [33].

À 67 ans, il est le doyen de ce gouvernement dont la moyenne d'âge est de 53 ans.

Le 19 août 2007, il se rend en Irak pour un voyage officiel de trois jours. Le ministre est le premier haut responsable français à y aller depuis l'invasion américaine de mars 2003, à laquelle la France s'était opposée. Il y rencontre des représentants de toutes les communautés, y compris celle des catholiques chaldéens[34], et suggère une piste de travail [qui] pourrait être un partenariat entre trois "piliers" : "Les Américains parce qu'ils sont là, un gouvernement irakien peut-être un peu plus habile que celui qui existe actuellement et les Nations unies avec une présence élargie"[35]. À cette occasion, il formulera des excuses au gouvernement irakien pour avoir proclamé dans le pays qui l'invitait : Beaucoup de gens pensent que le premier ministre devrait être changé. Mais je ne sais pas si cela va se produire, parce qu'il semble que le président (George W.) Bush est attaché à M. Maliki. Mais le gouvernement ne fonctionne pas. [36].

Bernard Kouchner déclare le 16 septembre 2007 que la crise du nucléaire iranien impose de « se préparer au pire » qui est « la guerre »[37].

Dans le cadre de ses fonctions, en novembre 2007, Bernard Kouchner accompagne la politique étrangère de la France vis-à-vis de l'Allemagne, en enregistrant avec Frank-Walter Steinmeier, le ministre des Affaires étrangères et vice-chancelier allemand, dont il partage la spiritualité, et le chanteur allemand Muhabbet une chanson dont l'objectif est de promouvoir la compréhension et l'amitié des Allemands envers la communauté germano-turque. Cet acte inhabituel, quoiqu'officiel, est accompli en parallèle de la visite du président français dans le pays[38].

Bernard Kouchner se bat pour aider les réfugiés du Darfour, lors de son arrivée à ses fonctions de ministre des Affaires étrangères, il dit vouloir y ouvrir un couloir humanitaire[39]. La guerre civile du Darfour, région riche en ressources naturelles, a fait 200 000 morts et 2 millions de déplacés[réf. nécessaire]. Le docteur Denis Lemasson, de Médecins sans frontières, voit cela comme un mélange entre approches militaire et humanitaire, qui pourrait nuire à la sécurité des acteurs humanitaires sur le terrain. [40],[41].

L'association Arche de Zoé, tente d'emmener en France des enfants du Tchad, les présentant comme orphelins du Darfour. Les membres de l'association sont arrêtés et inculpés par la justice tchadienne d'« enlèvement de mineurs en vue de compromettre leur état civil » et d'« escroquerie »[42]. Éric Breteau, un des principaux organisateurs de l'association, accuse Bernard Kouchner, alors ministre des Affaires étrangères, d'être impliqué dans l'affaire [43].

Le 21 mai 2008, le ministre des Affaires étrangères a rencontré le président de la Fédération de Russie Dmitri Medvedev.

Arnaud Montebourg l'accuse de ne jouer qu'un « tout petit rôle de figurant » après que le ministre a été plusieurs fois contraint de s'effacer derrière la cellule diplomatique de l'Elysée.[44]

En décembre 2008, Bernard Kouchner estime avoir eu tort de demander un secrétariat d'État aux Droits de l'Homme : « Je pense que j'ai eu tort de demander un secrétariat d'État aux Droits de l'Homme. C'est une erreur. Car il y a contradiction permanente entre les droits de l'homme et la politique étrangère d'un état, même en France »[45]. A contre-courant de son image d'humanitaire, ces déclarations lui font perdre aussitôt 10 points d'opinions positives[46].

Pierre Péan l'a mis en cause en janvier 2009 [47] pour des activités de conseil qu'il a eues auprès des autorités du Gabon et du Congo, dans le cadre de la réforme du secteur de la santé dans ce pays, et notamment pour un intervention dans le recouvrement de factures pour deux sociétés de conseil, Africa Steps et Imeda, soit honorés, ce alors qu'il était déjà nommé au Quai d'Orsay. Suite aux déclarations de Jean-Marie Bockel sur la Françafrique, Omar Bongo aurait révélé à Nicolas Sarkozy les affaires de Bernard Kouchner et obtenu l'éviction de Jean-Marie Bockel, ministre de tutelle de Bernard Kouchner. Suite à ces révélations, le Ministre a évoqué des « allégations inexactes »[48],[49].


Fonctions politiques [modifier]

Fonctions parlementaires [modifier]
1994 - 1997 : député européen

Fonctions gouvernementales [modifier]
Ministre :
du 4 avril 1992 au 30 mars 1993 : ministre de la Santé et de l’Action humanitaire du gouvernement Pierre Bérégovoy
depuis le 18 mai 2007 : ministre des Affaires étrangères et européennes du gouvernement François Fillon (1) et (2)
Ministre délégué :
du 6 février 2001 au 7 mai 2002 : ministre délégué auprès du ministre de l'Emploi et de la Solidarité, chargé de la Santé du gouvernement Lionel Jospin
Secrétaire d'État :
du 13 mai au 28 juin 1988 : secrétaire d'État auprès du ministre des Affaires sociales et de l'Emploi, chargé de l'Insertion sociale du gouvernement Michel Rocard (1)
du 28 juin 1988 au 17 mai 1991 : secrétaire d'État auprès du Premier ministre chargé de l'Action humanitaire du gouvernement Michel Rocard (2)
du 17 mai 1991 au 4 avril 1992 : secrétaire d'État auprès du ministre d'État, ministre des Affaires étrangères, chargé de l'Action humanitaire du gouvernement Édith Cresson
du 4 juin 1997 au 28 juillet 1999 : secrétaire d'État auprès du ministre de l'Emploi et de la Solidarité, chargé de la Santé du gouvernement Lionel Jospin

Autres fonctions exécutives [modifier]
Représentant spécial du secrétaire général des Nations unies au Kosovo et chef de la Mission d'administration intérimaire des Nations unies au Kosovo (MINUK) de juillet 1999 à janvier 2001.
Représentant de l'Union européenne au sein du Groupe international indépendant d'éminents experts (GIIEE) chargé de surveiller au Sri Lanka la commission d'enquête présidentielle sur les violations des Droits de l'homme commis depuis août 2005.

Informations complémentaires [modifier]

Popularité et critiques [modifier]
Bernard Kouchner est régulièrement cité depuis les années 2000 dans les sondages d'opinion comme une des personnalités publiques (a fortiori politiques) les plus populaires des Français[réf. souhaitée], ce qui est souvent expliqué par sa présence médiatique, ses engagements humanitaires suscitant une large adhésion, ainsi que par son éloignement des combats « politiciens » (luttes d'appareil, désaccord systématique avec le camp adverse).
Il est l'objet de critiques portant essentiellement sur son implication dans la rédaction d'un rapport commandé par la société TotalFinaElf[50] (suspectée de minimiser certains aspects de la dictature birmane, cette étude rémunérée 25 000 $ a suscité les "regrets" de la FIDH)[51], sur son adhésion à l'interventionnisme diplomatique et militaire des États-Unis, ainsi que sur sa surexposition médiatique.
Sa décision de rejoindre un gouvernement de droite malgré son passé de gauche, a suscité une polémique considérable, surtout parmi les adhérents du Parti socialiste.

Affiliations [modifier]
D'après la liste arrêtée au 11 novembre 2003, il est membre du Comité d'orientation scientifique de l'association fondée par Michel Rocard et Dominique Strauss-Kahn, À gauche en Europe.
Professeur titulaire de la chaire Santé et développement au CNAM (Conservatoire national des arts et métiers) depuis 2002.[52]
Membre du conseil d'administration de PlaNet Finance.[53]
Président du conseil d'administration du programme ESTHER (Ensemble pour une solidarité thérapeutique hospitalière en réseau).[54]
Il participe régulièrement au réunions de Bilderberg (2003[55], 2005[56] et 2007[57])
Fondateur et dirigeant de BK Conseil (SIRET 42453077200013, fondée en 2003), qui a notamment pour client Total[58]
Président-fondateur de BK Consultants (SIRET 45156985900015, fondée en 2004).
Enseignant à la Harvard School of Public Health.[59]
Membre fondateur de La Chaîne de l'Espoir[60] présidée par le professeur Alain Deloche.
Administrateur de l'International Women Health Coalition.[61]
Membre du Comité d'honneur de la Fondation Children Action.[62]
Il est membre du club Le Siècle[63] et de la Fondation Saint-Simon.
Il a été signataire d'une lettre présentée par le PNAC au côté d'André Glucksmann.Le PNAC est un groupe de réflexion et d'influence, œuvrant à trouver et engager des moyens de prolonger au XXIe siècle le leadership mondial des États-Unis acquis depuis la Seconde Guerre mondiale.

Divers [modifier]
Pour l'anecdote, Bernard Kouchner, sous le pseudonyme de Bernard Gridaine, est aussi le créateur de la série française Médecins de nuit. Il y fait même une apparition dans le rôle d'un garçon de café.
Bernard Kouchner tient absolument à parler en anglais, une langue qu'il manie mal et dont la phonétique lui échappe. C'est ainsi que dans une interview en anglais au quotidien israélien Haaretz il a déclaré qu'Israël allait « manger » l'Iran si ce dernier se dotait d'une arme nucléaire ; en fait il voulait dire « hit » (frapper) mais il a oublié de prononcer le « h » et a trop allongé la voyelle « i » qu'il fallait prononcer très brève, si bien que ses interlocuteurs ont compris « eat » (manger) et ont reproduit l'erreur dans le journal. Il a fallu que lui-même démentît officiellement[64].

Bibliographie [modifier]
Voir aussi sur Wikiquote les citations « Bernard Kouchner ».La France sauvage, avec Michel-Antoine Burnier, éditions Premières, 1970
Les Voraces. Tragédie à l'Élysée, avec Frédéric de Bon et Michel-Antoine Burnier, 1971
L'Île de lumière, Ramsay, coll. « Document », Paris, 1980, 406 p. - [12] p. de pl. (ISBN 2859561781)
Charité Business, Ed. Pré aux Clercs, Paris, 1986, 271 p. (ISBN 2-7144-1877-5)
Le Devoir d'ingérence, 1988
Les Nouvelles Solidarités, 1989
Le Malheur des autres, Odile Jacob, Paris, 1991, 339 p, (ISBN 2-7381-0144-5)
Rééd. Le Seuil, coll. « Points », Paris, 1992 (ISBN 2-02-018924-0)
Dieu et les hommes, avec l'abbé Pierre, éditions Corps 16, Paris, 1993, 231 p. (ISBN 2840570564)
Ce que je crois, Grasset, Paris, 1995 (ISBN 2246479711)
Vingt idées pour l'an 2000, 1995
La Dictature médicale, avec Patrick Rambaud, Robert Laffont, Paris, 1996, 200 p. (ISBN 2-221-08291-5)
Le Premier qui dit la vérité…, Robert Laffont, Paris, 2002, 281 p. (ISBN 2221098374)
Quand tu seras président…, avec Daniel Cohn-Bendit, Robert Laffont, Paris, 2004, 375 p. (ISBN 2221099524)
Les Guerriers de la paix : du Kosovo à l'Irak, Grasset, coll. « Le Livre de poche », 2004, 475 p. (ISBN 2-2531-0979-7)
La Fabrique démocratique, Robert Laffont, 2006 (ISBN 2221106458)
Deux ou trois choses que je sais de nous, Robert Laffont, Paris, 2006 (ISBN 2-221-10645-8)
Sœur Emmanuelle - La biographie de Pierre Lunel préfacée par Bernard Kouchner, Anne Carriere éds, 2006.
Karina Paulina Marczuk, A Visionary and a Practitioner: the Bernard Kouchner vs. David Kilcullen, "Defence and Strategy", vol. 2/2007 [1]

Notes et références [modifier]
↑ Le Who's Who In France (éd. 2006) indique Bernard Jean Kouchner.
↑ Marie-Édith Alouf, « Médecins sans frontières : une histoire d’aventures [archive] », Politis. Consulté le 12 décembre 2007
↑ « Relations entre M. Kouchner et Médecins sans Frontières : une clarification s’impose » [archive], Communiqué de presse MSF, 22 mai 2007.
↑ « 1993 : Quand Bernard Kouchner préfaçait un livre sur le Tibet » [archive], Le Nouvel observateur, 17 avril 2008.
↑ Bernard Kouchner va rencontrer le dalaï lama qui s'inquiète pour la survie du Tibet [archive]
↑ Kouchner rencontrera le dalaï-lama vendredi [archive]
↑ (fr) Emplâtre humanitaire sur casque colonial, Kouchner La-bonne-cause [archive] sur CQFD.
↑ Roméo Dallaire, J’ai serré la main du diable, Libre expression, 2004
↑ Ouvrage collectif, Rwanda : pour un dialogue des mémoires, Albin Michel, 2007
↑ Le Monde, 4 février 2003, Ni la guerre ni Saddam [archive]
↑ Le Monde, 18 may 2007, La dernière mission du docteur Kouchner [archive]
↑ Docteur Kouchner et Mister Va-t-en-guerre [archive] sur Vigirak.com
↑ Nos bellicistes [archive] sur Politis
↑ Le "Livre noir de Saddam Hussein", un ouvrage collectif [archive] (préfacé par Bernard Kouchner) sur aidh.org
↑ « Kouchner en 2003: "Facile d'être contre la guerre" » [archive], par Julien Martin, 22 août 2007, sur Rue89.
↑ « Ils étaient tous là, les amis de la paix » [archive], La Tribune de Genève, 2 décembre 2003.
↑ Le rapport de Bernard Kouchner [archive] à propos de la main-d’œuvre sur le champ gazier de Yadana par la Birmanie, sur le site de Total
↑ rapport_bkconseil.PDF [archive]
↑ (fr) Juste pour souvenir… Kouchner, Total, la Birmanie… un certain rapport… [archive] sur le blog de Yannick Comenge du Nouvel Observateur
↑ (fr) Réactions de la FIDH au rapport de Bernard Kouchner “Relation d’un voyage et de la découverte d’une industrie muette” [archive] sur le site FIDH.org
↑ (fr) [http://www.birmanie.net/birma/11_presse_birmanie.html [archive] « L'acteur » Bernard Kouchner] sur le site de défense des victimes birmanes, Birmanie.net
↑ Le monde, 05 janvier 2004
↑ Le rapport de Bernard Kouchner permet de blanchir Total dans un procès qui l'oppose à des victimes birmanes [archive] sur radicalparty.org
↑ Darfour : Kouchner veut aider les réfugiés [archive] sur Figaro.fr
↑ MSF : Au Darfour, Kouchner se met à dos les ONG [archive] sur Betapolitique.fr
↑ Darfour : Kouchner au secours des réfugiés, ou du groupe Total ? [archive] sur Solidarité ouvrière
↑ Arche de Zoé: les accusations de Breteau [archive] sur l'Express.fr
↑ L'Arche de Zoé avait promis de « collaborer discrètement » avec le Quai d'Orsay [archive] sur 20 minutes citant Le Canard enchaîné.
↑ (fr) Accords à Abou Dhabi : défense et nucléaire civil [archive] sur le nouvelobs
↑ « Kouchner veut toujours participer à un gouvernement d'union nationale » [archive], le Nouvel observateur, 28 décembre 2006.
↑ Assez de l'esprit sectaire !, par Bernard Kouchner dans [archive]Le Journal du dimanche du 15 avril 2007.
↑ Hollande exclut Kouchner du PS et perd Jouyet, un ami de "30 ans", Le Monde, 18 mai 2007[lire en ligne [archive]].
↑ « Pourquoi j'ai accepté, par Bernard Kouchner» [archive], Le Monde, 19 mai 2007.
↑ Interview par RTL [archive], Site du ministère des Affaires étrangères. Consulté le 25 août 2007
↑ M. Kouchner a pris la mesure de l'"intolérance" en Irak [archive], Le Monde. Consulté le 22 août 2007
↑ Irak : Kouchner formule des excuses [archive], Le Figaro
↑ La crise du nucléaire iranien impose de « se préparer au pire », selon Bernard Kouchner [archive], Le Monde + AFP (17 septembre 2007). Consulté le 17 septembre 2007
↑ Laurent Suply, « Kouchner, star du R’n’B outre-Rhin [archive] », Le Figaro (9 novembre 2007)
↑ Darfour : Kouchner veut aider les réfugiés [archive] sur Figaro.fr
↑ MSF : Au Darfour, Kouchner se met à dos les ONG [archive] sur Betapolitique.fr
↑ Darfour : Kouchner au secours des réfugiés, ou du groupe Total ? [archive] sur Solidarité ouvrière
↑ Arche de Zoé: les accusations de Breteau [archive] sur l'Express.fr
↑ L'Arche de Zoé avait promis de « collaborer discrètement » avec le Quai d'Orsay [archive] sur 20 minutes citant Le Canard enchaîné.
↑ Texte intégral de la lettre [archive]
↑ « J’ai eu tort de demander un secrétariat d’Etat aux Droits de l’homme » [archive], Le Parisien. Consulté le 19 décembre 2008
↑ Sondage Ifop réalisé les 11-12 décembre 2008: La cote de Bernard Kouchner en forte chute [archive], 17 décembre 2008. Consulté le 24 décembre 2008
↑ livre "Le monde selon K."
↑ Accusations contre Bernard Kouchner à propos d'activités de conseil pour le Gabon [archive] de Natalie Nougayrède publié dans Le Monde le 14 janvier 2009
↑ Exclusif: l’étrange diplomatie africaine de Bernard Kouchner [archive] de Philippe Cohen paru le 12 janvier 2009 sur http://www.marianne2.fr/ [archive]
↑ Relation d'un voyage et de la découverte d'une industrie muette [archive] par BK Conseil, 29 septembre 2003 [pdf]
↑ Erich Inciyan et Jean-Claude Pomonti, « Kouchner, Total et la Birmanie », dans Le Monde, (ISSN 0395-2037) [lire en ligne [archive]], 6 janvier 2004
↑ CNAM /// Pôle Economie et Gestion - Chaire Santé et développement [archive]
↑ PlaNet Finance > Microcrédits ONG > Conseils et comités [archive]
↑ Composition du conseil d'administration, sur le site du programme ESTHER [archive]
↑ http://www.syti.net/Organisations/Bilderberg.html [archive]
↑ http://www.syti.net/Kiosque/Kiosque_MdM.html#bilderberg2005 [archive]
↑ http://questionscritiques.free.fr/Bilderberg/Bilderberg_2007_210507.htm [archive]
↑ Total - Rapport de Bernard Kouchner [archive]
↑ HSPH Presents : Dr. Bernard Kouchner, French Minister of Health [archive]
↑ La Chaîne de l’Espoir - The Founding Members [archive]
↑ Board of Directors Index [archive]
↑ Sa structure [archive]
↑ Geoffrey Geuens, Tous pouvoirs confondus, p.214, ISBN 2872621938
↑ Le Point [archive].

Voir aussi [modifier]
Parti socialiste
Union pour un mouvement populaire

Liens externes [modifier]

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Bernard Kouchner.

Biographie officielle
A Statesman Without Borders - The New York Times, James Traub, 3 février 2008



Précédé par Bernard Kouchner Suivi par
Bruno Durieux Ministre français de la Santé
1992-1993
Simone Veil
Hervé Gaymard Secrétaire d'État chargé de la Santé
1997-1999
Dominique Gillot
Dominique Gillot Ministre français délégué de la Santé
2001-2002
Jean-François Mattéi
Philippe Douste-Blazy Ministre français des Affaires étrangères
2007-
en cours
[ Enrouler ]v · d · mMinistres des Affaires étrangères des pays du G8

Allemagne Frank-Walter Steinmeier - Ministre fédéral des Affaires étrangères


Canada Lawrence Cannon - Ministre des Affaires étrangères


Etats-Unis Hillary Clinton - Secrétaire d'État


France Bernard Kouchner - Ministre des Affaires étrangères et européennes


Italie Franco Frattini - Ministre des Affaires étrangères


Japon Hirofumi Nakasone - Ministre des Affaires étrangères


Royaume-Uni David Miliband - Secrétaire d’État aux Affaires étrangères et du Commonwealth


Russie Sergueï Lavrov - Ministre des Affaires étrangères


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Envoyé par jocelyne d'ganya - le Mardi 3 Février 2009 à 06:00
il se mouille pas.... il commence a dire : " j'en sais rien... "

http://209.85.229.132/search?q=cache:hfwkinUgUzYJ:www.agoravox.tv/article.php3%3Fid_article%3D20660+KOUCHNER+SAC+DE+RIZ+SUR+L%27EPAULE+VIDEO&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=fr


oh la ! il n'est pas seulement ministre des affaires etrangeres en france mais AUSSI ministre des affaires etrangeres EUROPEENNES ? wuaaaaaah ! ca va faire mal !
" la politique exterieure d'un pays ne peut etre guidee par les droits de l'homme, ils ne peuvent resumer une politique etrangere... " alors on pense a "sacrifier israel" mr. kouchner ?

j'espere qu'une chose, c'est qu'israel ne s'est pas fourvoyee avec ces magouilleurs, UPM ???

Sac de riz pour la Somalie
C'est l'un de ses gestes les plus célèbres et les plus controversés. En décembre 1992, Bernard Kouchner débarque à Mogadiscio, un sac de riz sur l'épaule. Le ministre, qui avait lancé dans les écoles françaises l'initiative «Du riz pour la Somalie», s'est fait accompagner par un contingent de journalistes pour immortaliser cet instant où la France se rend au chevet d'une population à bout de forces.

L'époque est au militaro-humanitaire. Trois ans plus tard, débordés face à la violence des serigneurs de la guerre, les Casques bleus plient bagage, abandonnant la Somalie au chaos.

C'EST CA QUE LA FRANCE VEUT QU'IL SE PASSE EN ISRAEL ? KOUCHNER-SARKO ! RESTEZ EN FRANCE !
VOUS NE CONNAISSEZ RIEN AUX CONFLITS DE LA PLANETE ! NE VENEZ PAS JETER DE L'HUILE SUR LE FEU
Envoyé par jocelyne d'ganya - le Mardi 3 Février 2009 à 06:36
cher kouchner, prenez-en de la graine.

"On ne doit jamais laisser se produire un désordre pour éviter une guerre ; car on ne l'évite jamais, on la retarde à son désavantage." Nicolas Machiaviel

et pour finir,

"Pour la canaille, il faut la mitraille." Cardinal de Mazarin

a mediter mr. kouchner !
Envoyé par jocelyne d'ganya - le Mardi 3 Février 2009 à 06:46
Membre Juif.org





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