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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientIsraël exclut une trêve à Gaza sans libération de Gilat ShalitL'Express - Il y a 38 minutes
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Le Hamas dénonce "la marche arrière (d'Israël) concernant la trêve. Ils (les Israéliens) ont demandé une trêve sans limite de temps et non d'un an et demi comme convenu", a affirmé dans un communiqué un porte-parole du Hamas, Fawzi Barhoum.
Les récents raids à Gaza menés par Israël et son "obstination sont des obstacles placés par Israël devant les efforts (pour parvenir) à une trêve", a-t-il ajouté, soulignant que son mouvement faisait porter à l'Etat hébreu "la responsabilité des conséquences de cette escalade dangereuse".
Le Hamas avait annoncé jeudi avoir donné son accord pour une trêve de 18 mois dans la bande de Gaza contre la levée du blocus imposé par Israël à ce territoire palestinien. Selon lui, l'Egypte devait annoncer officiellement dans les 48 heures un tel accord.
Mais le chef en exil du Hamas, Khaled Mechaal, avait exprimé vendredi à Doha des doutes sur une annonce d'ici dimanche par l'Egypte d'un accord de trêve, faisant part à l'AFP d'une "complication" dans les négociations.
Omar Souleimane, chef des services de renseignement égyptiens et homme clé des négociations, a rencontré plusieurs fois les responsables israéliens et du Hamas pour tenter de mettre en place une trêve à long terme sur Gaza.
L'offensive israélienne dans la bande de Gaza (27 décembre-18 janvier) a fait 1.330 morts palestiniens. Son objectif était notamment de mettre fin aux tirs de roquettes palestiniennes contre son territoire.
AFP
Les Bobbies londoniens sont nerveux face à la horde de “pacifistes”. La situation peut dégénérer à tout moment. Il leur faut canaliser les “pacifistes” tant que faire se peut, tout en acceptant l’humiliation des insultes et des jets d’objets en tous genres (bâtons, cônes de signalisation) dont les nazislamistes ne manquent pas de les gratifier. Le contrôle effectif des rues de Londres est entre les mains des partisans du Hamas.
À 2:40 sur notre vidéo, après avoir été la cible de copieuses insultes et de jets d’objets, la police oppose soudain une velléité de résistance afin de dégager une petite poignée d’agents qui sont pris à partie par les “pacifistes”, ce qui lui vaut immanquablement de se faire traiter de «raciste». Puis à nouveau, elle se replie hâtivement.
La libération de Gilad Shalit exigée
Interrogé dimanche à la radio de l'armée, le ministre des Retraités Rafy Eytan a estimé que «tout accord de trêve négocié par les Egyptiens (ndlr: avec le Hamas) devra prévoir la libération de Gilad Shalit» un soldat israélien détenu depuis 2006 par le Hamas à Gaza. Israël a durci ses positions samedi dans les tractations, menées par l'Egypte, pour parvenir à une trêve avec le mouvement islamiste Hamas qui avait dit s'attendre à l'annonce d'un accord ce weekend.
Ehud Olmert a fait savoir qu'Israël exigeait la libération du soldat israélien afin d'ouvrir les points de passage du territoire palestinien, placé sous un blocus de l'Etat hébreu depuis la prise du pouvoir des islamistes en juin 2007. De son côté, le Hamas a rejeté tout lien entre le sort du soldat et l'ouverture des points de passage : «il n'existe aucun lien entre les deux dossiers», a déclaré samedi le porte-parole de l'administration du Hamas à Gaza, Taher al-Nounou.
Leparisien.fr avec AFP