Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

"Le président libanais refuse de mener des négociations directes avec Israêl":

Ce pays, qui a perdu son indépendance corps et biens, puisqu'il est sous la coupe de la syrie et de l'iran réunis par leurs intermédiaires terroristes respectifs, est bien mal placé pour être considéré comme un interlocuteur plausible dans d'éventuelles négociations avec un pays indépendant et démocratique comme Israêl.

Et Israêl n'a vraiment pas besoin de discuter avec des dhimmis qui parlent en tant qu'otages des arabes (épée sous la gorge, et revolver sur la tempe).

Alors, qu'ils continuent à faire des procès à Israêl au sujet de recettes de cuisine (véridique), ces abrutis du cèdre et du croissant réunis, et qu'ils retrouvent leur indépendance avant de se pavaner dans un monde international où ils n'ont plus leur place.

Chalom et HAM ISRAEL HAYE (en lettres de feu devant les gourbis de beyrouth).

Sous couvert d'anonymat, des sources sécuritaires libanaises ont confié aux médias que l'organisation de Hassan Nasrallah vivait une véritable déroute sécuritaire. "Il s'agit de la plus grave infiltration ennemie de l'histoire du Hezbollah" a confié l'un de ses membres, choqué.

Tout a commencé à l'été 2008, lorsque le contre-espionnage du Hezbollah et la Moukhabarat syrienne ont démantelé le réseau libanais des frères Jarrah, le plus performant de l'histoire du Mossad. Les Israéliens ont riposté en éliminant un haut gradé des services secret syriens, le général Abdul Abbas, dans un attentat à la voiture piégée le 29 septembre 2008. Depuis, la guerre israélo-hezbollahi fait rage à ciel ouvert.