Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

En revanche se servir de l'argent de la Shoah pour ''éduquer'' les arabes sur le sujet me semblet tout à fait indécent d'autant qu' Abas a santionné un orchestre de palestiniens qui avait joué pour des Survivants Israéliens de l'Holaucauste.
Il y a fort à parié que cela ve se transformé en armes qui serviront à détruire d'autres Jiufs.

"Unesco France Israêl: "pas de paix au Proche orient tant ...":

Bonjour Hilda: je pencherais plutôt vers une autre forme de manipulation du monde muzz envers Chirac qu'ils utilisent encore avant qu'il ne soit + "exploitable".... A travers lui, ils peuvent encore causer + de tort à israêl et aux juifs, et récupérer, au passage, de l'argent pour leur "djihad".

Jacques (son post d'aujourd'hui 9:37) a raison: c'est indécent de donner de l'argent de la Shoah pour éduquer des arabes qui "n'en ont rien à f...", et répètent, comme des perroquets, le leit motiv du nain enturbanné persan: "effacer Israêl de la carte".

HAM ISRAEL HAYE (en lettres de feu devant les Bts de l'Unesc, pour leur rappeler que Jerusalem n'est pas la capitale de la culture arabe).

c est triste que de devoir lutter contre le negationnisme surtout avec des fonds provenant d indemnisations de victimes de la shoa . que m importe que les masses arabes soient negationnistes ! que m importe aussi que les clowns pathetiques en france le soient aussi ! l important est de les connaitre et les identifier soigneusement . quant a chirac il est bien dans son role . son job plein de zele aupres des muslims! n a t il pas declare du temps de sa splendeur elyseenne qu israel etait comme le royaume chretien de jerusalem qui a fini dans les sables!!!!

Primo Levi trouve un emploi de chimiste, devient cadre directeur d’une entreprise de peintures. Il se marie, a deux enfants et de nombreux amis. Il parle, raconte sans cesse ce qu’il a vu, au nom de tous ceux qui ne peuvent plus parler et qui sont allés seuls, au bout de l’horreur. Très vite, en désordre, il écrit comme il l’avait pensé au camp, car le "besoin de raconter aux autres, de faire participer les autres, avait acquis chez nous, avant comme après notre libération, la violence d’une impulsion immédiate, aussi impérieuse que les autres besoins élémentaires".
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pris sa retraite, Primo Levi satisfait - partiellement - sa passion de l’étude, "son appétit de culture était insatiable et toujours sur la brèche. Cela allait de la littérature - en quatre ou cinq langues différentes - à la science en passant par l’histoire, moderne et ancienne, la culture juive, la philologie." Sa notoriété lui imposait une multitude d’obligations qu’il s’efforçait de sélectionner et parfois lui interdisaient de faire ce qu’il désirait le plus. Ainsi se vérifiait son avertissement : "que nous le voulions ou non, nous sommes des témoins et nous en portons le poids." (Lettre, en français, à Jean Samuel - avril 1946)

Ce poids, Primo Levi l’a porté jusqu’au bout, ne cessant de rappeler "ce qui fut", répondant aux mêmes questions sur les causes et les responsabilités avec la rigueur du chimiste. Jusqu’au bout, il a lutté contre les remontées du fascisme, contre le négationnisme. Jusqu’à sa fin, il a fait face à ses obligations familiales et éditoriales, aux opérations, à la maladie.

La veille de sa mort (qui a eu lieu le 11 avril 1987 à Turin), il débat avec Ferdinando Camon de l'éventuelle publication de son grand livre Les Naufragés et les rescapés chez Gallimard. Il écrit une dernière Histoire Naturelle pour la Stampa, dit à une amie: "Tu penses que je suis déprimé ? Je ne le pense pas. J’ai survécu, j’ai raconté, j’ai témoigné

L'argent des indemnisations ne peut pas etre mieux employé que pour lutter contre le négationiste ou qu'il soit .

la lutte contre le negationnisme c est de l eau jetee dans le sable! l antijudaisme de ces gens est plus fort que tout! ex la proposition d un rabbin dont j ai oublie le nom d accompagner a ses frais m bala m bala a une visite du camp d auschwitz refusee bien sur!!

A moins de désespérer à tout jamais de l'être humain, peut-on penser que la lutte contre le négationnisme soit vaine ? Que font les rescapés de la Shoah, lorsqu'ils vont dans des écoles, des collèges, des lycées ? Est-ce qu'ils perdent leur temps, l' énergie et le courage qu'il leur faut pour remuer ce terrible passé - qui ne passe jamais, comme le montre l'histoire de Primo Levi, rappelée par Sylviane - ne font-ils, comme le pense Léon, que " jeter de l'eau dans le sable " ?

Si oui, alors, toute fondation, toute oeuvre de mémoire, à commencer par Yad VaChem, est vaine, est inutile. Mais alors que devient l'injonction : " zakhor " ?

Que de vieilles crapules endurcies dans le négationnisme, ou de plus jeunes, soient irrécupérables est certain. Mais doit-on leur livrer l'esprit des jeunes, des enfants ?


Quant à Chirac ... Ce personnage est déroutant. Son horreur personnelle de l'antisémitisme est connue ( qu'il suffise de rappeler, outre son amitié affectueuse pour Mme Simone Veil - " Poussinnette " - son discours commémoratif de la rafle du 16-Juillet 1942 ). Mais sa complicité avec les régimes arabes, y compris les pires ( Chirac est allé assister aux obsèques de Hafez el-Assad, qui avait pourtant commandité l'assassinat de l'ambassadeur de France au Liban, Louis Delamarre ; c'est lui aussi qui avait livré " Osirak " à Saddam Hussein ) ne l'est pas moins.