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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientAvigdor Lieberman exclut tout retrait israélien du GolanLe nouveau ministre israélien des affaires étrangères, Avigdor Lieberman, a exclu tout retrait du plateau du Golan conquis sur la Syrie. Dans une interview à Haaretz, jeudi 2 avril, il déclare qu'"il n'y a pas de résolution du cabinet israélien concernant les négociations avec la Syrie et nous avons déjà dit que nous n'accepterions pas de retrait du plateau du Golan".
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16 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 58 minutes
Continu comme ça Adoni!!!!
Je Te souhaite un Tres Belle Reussit dans le Gouvernement et Pessah Cacher v'Sameah!!!
Puisse t il bientot nous libérer de nos ennemis, que plus aucun enfant israëlien ne courre le danger d'être massacré par ces sous m rd s
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Le nouveau ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, a été longuement interrogé jeudi par la police pour des soupçons de corruption, a dit un porte-parole de la police.
M. Lieberman, qui a pris mercredi ses fonctions à la tête de la diplomatie israélienne, a été entendu par des enquêteurs de la police des fraudes "pour des soupçons de corruption, de fraude, de blanchiment d'argent et d'abus de confiance", a précisé le porte-parole de la police Micky Rosenfeld.
Selon des médias, M. Lieberman, chef du parti ultranationaliste Israël Beiteinou, aurait reçu de "très importantes sommes d'argent en provenance de l'étranger" pour financer ses campagnes électorales. Ces fonds auraient transité grâce à des sociétés fictives et différents comptes bancaire.
Dans un communiqué de son bureau, M. Lieberman s'est dit "pressé de mettre fin à cette enquête et à cette affaire qui dure depuis 13 ans".
"Le ministre a coopéré et a répondu aux questions des enquêteurs", a ajouté le communiqué.
L'enquête a été lancée il y a plusieurs années. Mais la police s'était abstenue de convoquer M. Lieberman ces dernières semaines en raison des négociations en cours pour former un gouvernement après les élections du 10 février où son parti est arrivé en troisième position.
Ces législatives anticipées avaient été provoquées par la démision du Premier ministre Ehud Olmert, mis en cause dans des affaires de corruption.
Un ancien président israélien, Moshé Katzav, est au coeur d'un scandale sexuel qui l'a aussi poussé à la démission. Il a formellement été inculpé de viol et harcèlement sexuel le mois dernier.
Dès son entrée en fonction, M. Lieberman a provoqué des remous en Israël et à l'étranger en adoptant des positions dures vis-à-vis des Palestiniens et des Syriens.
Jeudi, il a exclu toute concession sur le plateau du Golan conquis sur la Syrie après avoir rejeté la veille le processus d'Annapolis qui a relancé fin 2007 les négociations de paix, alors au point mort depuis sept ans, pour parvenir à un accord sur un Etat palestinien.
Immédiatement attaqué par les Palestiniens et des pays arabes, M. Lieberman n'a pas non plus eu droit à une période de grâce en Israël.
Le député travailliste Ofer Pines-Paz, opposé au ralliement de son parti à la coalition, a estimé qu'il représentait "une menace stratégique pour Israël. Il agit comme un éléphant dans un magasin de porcelaine".
L'ancienne ministre des Affaires étrangères Tzipi Livni, désormais chef de l'opposition, a estimé que "jusqu'à présent la droite ne voulait pas négocier en affirmant qu'il n'y avait pas de partenaire de l'autre côté et maintenant c'est nous qui nous retrouvons dans cette position".
Elle a pressé M. Netanyahu de désavouer son chef de la diplomatie.
Mais pour le ministre de l'Environnement Gilad Erdan, un proche de M. Netanyahu, les déclarations de M. Lieberman "ne sont pas différentes, dans une certaine mesure, des positions du Likoud (le parti de M. Netanyahu). C'est aussi ce que pensent la majorité des Israéliens".
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