Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Barack Obama maintient ce qui était déjà la position officielle des Etats-Unis sous George W. Bush : deux Etats. Mais Israël dispose d'un argument très fort :en dehors de toute autre considération, il suffit de voir ce qu'il est advenu du Liban-Sud et de la Bande de Gaza après qu'Israël s'en est retiré pour comprendre qu'en l'état actuel des choses et en l'absence de toute garantie solide, Israël ne soit pas disposé à faciliter la création d'un Gaza-bis en Judée-Samarie. De plus, le Hamas n'a rien à faire d'un Etat qui ne couvrirait pas la totalité de l'Israël actuel.

C'est pourquoi en effet il faut tenir et ne céder à aucune pression.

Supposons donc qu'en 1948, le jeune état d'Israël soit vaincu par les 5 armées arabes qui l'ont envahi (D’ailleurs ça n’est pas passé bien loin : tous les bookmakers nous donnaient perdants). Les habitants juifs sont bien sûr massacrés ou rejetés à la mer dans l'indifférence générale qui a prévalu pendant toute la Shoah.
Les habitants arabes (car à l'époque ils ne s'appelaient pas palestiniens) prennent le contrôle du pays et instaurent un seul état arabe et islamique.
Après la révolution islamique d'Iran, les radicaux du Hamas gagnent les élections instaurent la charria comme récemment vient de le faire la Somalie et proclament Jérusalem ville sainte de l'Islam. Bien sûr les Juifs y sont strictement interdits, mais ensuite les imams fondamentalistes estimèrent devoir s’en prendre aux chrétiens qui s’arrogaient le droit de penser qu’ils pouvaient avoir quelques titres historiques sur leur ville sainte.
Ils interdisent donc les pèlerinages, chassent les communautés chrétiennes comme sont en train de le faire la plupart des pays arabes et comme les talibans avec les bouddhas d'Afghanistan dynamitent toutes les églises ou les transforment en mosquée.
Bien sûr, l'Europe tétanisée laisse faire, malgré les homélies du pape et l'administration américaine entame d'interminables pourparlers sans trop de conviction pour ne pas s’aliéner les producteurs de pétrole.

Alors, bien sûr tout le monde se prend à regretter qu'Israël ait été vaincu, ce qui aurait sans doute permis de maintenir une présence multiconfessionnelle dans la ville des 3 monothéismes.

Bonjour Michel !! LA PALESTINE EST UN PAYS QUI N ' EXISTE PAS SUR LA CARTE....ET QUI NE DOIT PAS EXISTER ....les arabes n 'ont qu ' a retourné dans les pays arabes !! rien , ni personne , ne peut nous obligé à
partargé nos terre et notre capitale avec ses barbares qui gangrènent le monde ...21 milles petite Km2 c 'est tout ce que nous possedons ...et en plus nous avons toute la commauté internationnale sur dos , ainsi que l ' ONU et l 'UE ...mais qu 'ils aillent au diable tous ces arabes les 72 vierges attendent là-haut !!!
ca me met en colère ...