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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientLe Vatican cherche à déminer le terrain avant la visite de Benoît XVI en Terre sainteJERUSALEM - A quelques jours du voyage de Benoît XVI en Terre sainte, le représentant du Vatican en Israël s'est efforcé lundi de minimiser trois sujets sensibles qui pourraient gâcher la visite papale: l'attitude de Pie XII face à la Shoah, le retour en grâce d'une prière appelant à la conversion des juifs et la récente affaire Richard Williamson.
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33 commentaires
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Qui il fait d'abord le trie dans sa tète ! Tout qui Jean Paul 2 a fait de bien , en quelque minutes il a tout mis en "sac" !
L’Agenda du Vatican, Joel Bainerman
Comm : je ne sais quoi penser de cet article, qui, tout d'abord, m'a paru gros comme le IIIè Temple. Je ne sais s'il faut y renifler une quelconque "théorie du complot", ou si chaque fait énoncé est seulement vérifiable, en remontant aux sources disponibles. Il sonne juste et les faits se recoupent, hormis les deals secrets dont on ne peut rien savoir. S'il ne s'agissait que d'un pastiche en guise d'avertissement, une sorte de théological-fiction, il est toujours bon à prendre pour y regarder de plus près, dans ces "rapprochements" qui enjambent allègrement les polémiques séculaires, dont quelques-unes fondamentales et toujours irrésolues. Il faut donc avancer avec prudence, concernant ce texte pour le moins "sulfureux"...Néanmoins, pour info lui portant crédit, je vous communique le lien du site de Joël Bainerman, qui est un journaliste d'investigation on ne peut plus sérieux, sur des sujets de premier plan :
http://www.joelbainerman.com/
L’Agenda du Vatican
par Joel Bainerman - traduit par Danielle Elinor Guez
mardi 5 mai 2009
Les Israéliens n’ont probablement jamais beaucoup réfléchi à ce que l’Eglise Romaine Catholique, le Vatican, pense au sujet de la Théologie de la Fin des Temps. Les juifs eux, n’accordent pas trop d’importance à ce qui va se passer quand les événements de Gog et Magog arriveront. Les Juifs ne font pas trop de spéculations sur "le monde à venir" mais sont plutôt fermement implantés dans la réalité, ce qui est
Je n'ai jamais dit que PIE XII était un collaborateur et je sais que rien
n'est tout blanc ni tout noir!
Je dis seulement, que la plus haute autorité religieuse dans cette
Europe chrétienne se devait de clamer au Monde ce qui se passait.
Peut-être, que les anglais et les américains auraient agis d'une autre
façon si PIE XII avait eu le courage et la volonté d'affronter le monstre
nazi et que les alliés auraient pris la décision de bombarder les voies ferroviaires.
Je sais qu'il est facile pour moi de refaire l'histoire après autant de temps passé
mais je sais aussi que l'église est une puissance spirituelle et que sa voix à
cette époque avait une plus grande valeur qu'aujourd'hui.
ERREUR DE FRAPPE: Je voulais écrire: JE SAIS QUE PIE XII n'était
pas un collaborateur...
Le New York Times publiait
La voix de Pie XII est bien seule dans le silence et l’obscurité qui enveloppe l’Europe ce Noël… Il est à peu près le seul dirigeant restant sur le Continent européen qui ose tout simplement élever la voix. - Editorial du ‘New York Times’, 25 décembre 1942.
Une enquête complète sur la conduite du pape Pie XII est nécessaire… Il revient maintenant à Jean Paul II et à ses successeurs de franchir un nouveau pas vers la pleine reconnaissance de la faillite du Vatican à s’opposer correctement au mal qui a balayé l’Europe. - Editorial du ‘New York Times’, 18 mars 1998.
Comme les temps changent ! et comme le ‘Times’ change !
Pendant la seconde guerre mondiale, le pape Pie XII était loué pour ses efforts sans équivalent pour arrêter le carnage. Et des années après, on lui a encore rendu hommage pour les efforts de l’Eglise pour sauver quelques 700 000 juifs des camps nazis - surtout en produisant de faux certificats de baptême, en déguisant certains sous des soutanes, en en cachant d’autres dans la clôture des monastères et des couvents. Mais la semaine dernière (mars 1998 aux Etats-Unis), après que le Vatican ait publié le mea culpa longtemps attendu sur le fait de ne pas en avoir fait davantage, les critiques de l’Eglise ont accueilli la publication du Vatican par des applaudissements à une seule main. Comme l’éditorial du ‘Times’ le suggère, il n’est demandé au Vatican rien moins qu’une mise-au-ban morale de Pie XII.
Ce qui se passe là est indécent. Le silence de Pie XII devant l’Holocauste, le peu de chose qu’il a fait pour aider les juifs, son attitude pro-allemande, sinon pro-nazie, et au fond de tout cela, son antisémitisme, tout cela ne sont que de monstrueuses calomnies qui semblent acceptées aujourd’hui comme allant de soi. On peut faire remonter la plupart de ces accusations à une seule et unique source : la pièce de théâtre de 1963, « Le Vicaire » (The Deputy), de Rolf Hochhuth, qui a créé de toutes pièces l’image d’un Pie XII moralement lâche. Le fait que Golda Meir, plus tard premier ministre d’Israël, et que les responsables des communautés juives de Hongrie, de Turquie, d’Italie, de Roumanie et des Etats-Unis aient remercié le pape pour avoir sauvé des centaines de milliers de juifs est maintenant considéré comme sans rapport avec le sujet. Seul compte le fait qu’il n’ait jamais spécifiquement condamné la Shoah.
Ni silencieux, ni inactif
En fait, Pie XII ne fut ni silencieux, ni inactif. En tant que Secrétaire d’Etat au Vatican en 1937, il a rédigé une encyclique pour le pape Pie XI, condamnant le nazisme comme anti-chrétien. Ce document a été alors introduit en secret en Allemagne et lu depuis les chaires des églises catholiques. En représailles, les nazis confisquèrent les imprimeries et emprisonnèrent beaucoup de catholiques. Dans son message de Noël 1942, dont le ‘New York Times’ parmi d’autres, fit l’éloge, le pape devint la première personnalité d’envergure internationale à condamner ce qui allait devenir l’Holocauste. Entre autres péchés du Nouvel Ordre Nazi, il dénonçait la persécution « de centaines de milliers qui, sans aucune faute, parfois seulement en raison de leur nationalité ou de leur race, sont désignés pour la mort ou pour une extinction progressive. » Les nazis ne comprirent le pape que trop bien. « Son discours est une attaque en règle contre tout ce pour quoi nous nous battons » déclara la Gestapo. « Il parle clairement en faveur des juifs. Il accuse de fait le peuple allemand d’injustice contre les juifs et il se fait le porte-parole des criminels de guerre juifs. »
L’exemple de la Hollande
En février 1942, en Hollande occupée par les nazis, les responsables protestants et catholiques préparèrent une lettre condamnant la déportation des juifs dans les camps de la mort vers « l’Est ». Seuls les évêques catholiques « suivant le chemin indiqué par notre Saint Père » lurent la lettre ouvertement en chaire malgré les menaces des nazis. Le résultat fut que les forces d’occupation investirent les couvents, monastères et écoles catholiques de Hollande, et déportèrent tous les juifs qui s’étaient convertis au christianisme - chose qu’ils n’avaient pas fait jusqu’alors. Quand Rome en fut informé, le pape retira une protestation de quatre pages qu’il avait écrite pour le journal du Vatican et il la brûla. Comme le montrent clairement les onze volumes d’archives des années de guerre publiées par le Vatican, des groupes juifs aussi bien que chrétiens insistèrent auprès du pape pour qu’il ne fasse pas de protestation publique, parce que cela n’aurait fait qu’intensifier la persécution nazie.
Le crime de Pie XII ?
Le crime du pape - si c’en est un - est d’avoir choisi le rôle d’un diplomate artisan de paix, plutôt que celui de martyr pour la cause. Aussi bien les Alliés que les forces de l’Axe le pressèrent de choisir leur camp. Ce choix fut clair, comme le ‘Times’ le rapporte et comme les nazis s’en plaignirent. Pie XII défendit le camp de la liberté. Mais le pape refusa de signer la condamnation alliée des atrocités nazies contre les juifs (et les chrétiens), tant qu’il ne pouvait condamner également le massacre de juifs et d’autres croyants par Staline, à l’époque allié des Etats-Unis. De fait, environ 5 millions des 6 millions de juifs qui moururent venaient de Russie et de Pologne, où le pape n’avait le pouvoir de commander personne. L’historien Christopher Browning conclue à juste titre que « l’Holocauste est une histoire avec énormément de victimes et pas beaucoup de héros. Je pense que nous sommes naïfs si nous pensons qu’un héros de plus l’aurait arrêté. »
C’est aussi de la naïveté que de se plaindre, comme le ‘New York Times’ l’a fait la semaine dernière - que Pie XII « n’encouragea pas les catholiques à braver les ordres nazis. » Il pouvait difficilement les envoyer vers une mort certaine et rester politiquement neutre lui-même. De plus, dans l’Eglise Catholique, ce type de directive pastorale revient aux évêques locaux. Justement, les hiérarchies d’Allemagne et de France ont récemment fait repentance de l’incapacité des catholiques à s’opposer à l’Holocauste. C’était là où la résistance était appelée et c’était là où elle manquait douloureusement. Ces « justes » qui risquèrent leur vie pour sauver des juifs sont honorés à juste titre : ils se mirent eux-mêmes à l’épreuve, une épreuve que le pape ne pouvait exiger depuis Rome.
Ce n’est pas une personne seule - excepté Hitler - qui est responsable de l’Holocauste. Et ce n’est pas une personne seule - Pie XII compris - qui aurait pu l’arrêter. En choisissant la diplomatie plutôt que la protestation, Pie XII avait ses justes raisons. Il est temps de laisser tranquille ce pape.
Kenneth L.Woodward, Newsweek, 30 mars 1998
bEAUCOUP DE BELLES PAROLES MAIS VOUS OUBLIEZ DEUX PARAMETRES
IMPORTANT DANS VOTRE DISCOURS!
1) Qu'est ce qui interdisait PIE XII après la rédition allemande de dénoncer
officiellement et fort à la facce du monde l'horreur nazie et sa condamnation sans
restriction?
2) Vous ne parlez pas (en sachant que cela c'est passé) de tous les nazis cachés
dans les monastères en ITALIE et ailleurs et qui ont pu fuir grace au VATICAN vers
l'ARGENTINE et d'autres pays de l' AMERIQUE LATINE avec l'or des juifs!....
Alors comme je l'ai écri tout n'est pas noir mais que cela vous déplaise PIE XII n'est pas
blanc!
Et oui , vous avez raison , malheureusement le Vatican et son pape ont permis de cacher des criminels nazi et les ont aide a fuir avec des fausses papiers ! Et ça est pour moi un grand paradoxe .
Ils disent , qui c'est le tâche de église , de aider tout personne persécuté . La je ne suis pas d'accord , car un criminel est un criminel et c'est pas a la église a aider de se soustraire a la justice .
De autre cote , même les états , qui ca soit les Russes ou les Américains , ils ont un grand nombre des nazis épargne , car utile pour tant des choses a profit pour eux . En Allemagne pareil , âpres punitions dérisoire par rapport aux crimes , des nazis ont eut des postes a responsabilité , dans la justice ( !!!!! ) , police ou autres . Alors pas étonnant qui ces idées désastreuses circulent encore et encore ! Ou quoi penser des médecins , qui ont fait des expériences au KZ et qui ont soigne les gens juste a leur retraite ou leur mort ???
Pour moi une vraie justice , ça ne existe pas . Juste a nos jours il est un fait , le "petit homme" il est puni avec tout sévérité , mas les gens influents , riches ou connus se tirent a mon avis trop bien ! Même déchus de leur postes , ils se tirent encore et ont un autre poste , pas moins bien payes !
Et pour revenir au Vatican , si il ouvre pas ses archives , alors il est clair , qui ils ont énormément des choses a cacher . Pour finir un jour avec tout ça , il faut faire table rase !
Comment peut-on nommer de"persécuté" les nazis dont les crimes sont
innommables et
qui ont bénéficié de la complicité des monastères et hommes
d'église pour échapper à la justice?
Le pape est le plus haut dignitaire de l'église et en tant que tel il est responsable
moralement de ce qui s'y passe!
Comme aujourd'hui, BENOIT XVI AVEC LES EVEQUES REVISIONNISTES avec l'excuse
toute trouvée qu'il veut ressouder les différents clivages en cèdant sur l'inacceptable.
Par son action, il jette aux orties tout le travail de rapprochement entre les chrétiens
et les juifs et le pire c'est de saboter tout le travail de ses prédécesseurs!