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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

''Israël se réserve le droit de se défendre contre l'Iran''; a déclaré le Premier...

''Israël se réserve le droit de se défendre contre l'Iran''; a déclaré le Premier ministre israélien à l'issue de son entretien avec le président Barack Obama....
49 commentaires
malheureusement, je crois que les événements probablement à venir - notamment la destruction des installations nucléaires iraniennes - entraîneront en Europe une nouvelle flambée d'antisémitisme, beaucoup plus brutale que ce qu'on a vu depuis décembre 2008.

Je suis d'accord avec vous Edmond . vu "ce grand théatre des opérations" ce processus semble inévitable! ( comme la phase ultime d'un processus complet et complexe.)
Envoyé par Jean Emmanuel - le Mercredi 20 Mai 2009 à 10:59
En reprenant en inverse les propos de Benoit très étroit, Quand la communauté internationale, EU en tête accepterat-elle que "le peuple juif ait le droit d'avoir une patrie sur la terre de ses ancêtres"? L'ambiguité demeure, car si l'état d'israël est reconnu en tant qu'état (encore que son maintien soit plus lié à sa capacité de se défendre qu'au respect du droit international) sa vocation d'être le foyer national du peuple juif selon la déclaration balfour n'est jamais clairement afiirmé, sinon comment peut-on vouloir promouvoir une solution de deux états vivants en paix l'un à coté l'autre irréaliste, tant que le 'Hamas, soutenu par l'Iran, proclame l'état de guerre? Bibi a bien raison de dire qu'il ne veut pas d'un deuxième Gaza et la sourde oreille de la nouvelle administration américaine en dit long sur cette ambiguité. De ce point de vue aussi les paroles lénifiantes sur le rejet de l'antisémitisme sont ambiguës. La raison d'être du sionisme depuis l'affaire Dreyfuss, c'est la persistance de l'antisémistisme même dans les pays dits "civilisés". Le reconnaître pour mieux dire qu'on ne le fera plus, (alors qu'il n'a jamais été aussi présent à gauche comme à droite) c'est une façon de s'attaquer aux fondements de l'état d'Israël, en prétendant que sa raison d'être n'est plus d'actualité.
Envoyé par Michel_045 - le Mercredi 20 Mai 2009 à 11:42
Une ère nouvelle s’est ouverte dans les relations entre Israël et Washington. » Au lendemain de la première rencontre entre Barack Obama et le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, Eytan Gilboa, professeur de sciences politiques à l’université Bar-Ilan de Tel-Aviv, n’est guère optimiste. Selon lui, « le nouveau président des Etats-Unis n’éprouve pas de sentiments particuliers envers Israël.

Il défend ses intérêts et son approche du Proche-Orient, qui consiste à se rapprocher du monde arabe, fût-ce au prix d’un amenuisement des relations privilégiées avec Israël ». Un pessimisme que tempère le politologue Gérard Steinberg qui, s’il reconnaît que « l’ère Obama n’a rien à voir avec celle de son prédécesseur George W. Bush », veut croire que « les liens historiques américano-israéliens, profonds et multiples, ne peuvent être remis en question ». Une question que se pose pourtant Arié Eldad, député de l’Union nationale (extrême droite), qui avertit « qu’il y a de vraies raisons de s’inquiéter, car les Américains s’écartent de leur engagement traditionnel à assurer la sécurité d’Israël ». En ce sens, plus des trois quarts des sénateurs américains ont demandé hier au président Barack Obama, favorable à une solution à deux Etats, de bien faire attention aux «risques » encourus par Israël dans tout accord de paix au Proche-Orient.

Le nucléaire iranien, une «menace existentielle »

Dans son approche des problèmes du Proche-Orient, le président des Etats-Unis appelle à la création d’un Etat palestinien et veut engager un dialogue avec l’Iran pour le convaincre de renoncer à son programme nucléaire. Cette position est diamétralement opposée à celle de Benyamin Netanyahou. Bien que son parti, le très conservateur Likoud, ait formellement adopté, en 2003, le principe de deux Etats, il n’en veut pas, entend poursuivre la construction des colonies juives et considère le nucléaire iranien comme une « menace existentielle » à lever prioritairement.
Les Israéliens craignent avant tout que l’administration américaine lie le règlement du dossier palestinien à celui du dossier iranien. Situation que « Maariv », l’un des quotidiens les plus influents du pays, résume en titrant « Le bâton et la carotte ». Ils pensent que les deux dossiers ne sont pas liés, et nombre de responsables israéliens ne croient guère aux chances d’arrêter Téhéran dans sa course à la bombe nucléaire par la négociation. Les concessions sur le dossier palestinien se feraient donc, selon eux, en pure perte. Or, Obama a refusé de donner une date ultimatum pour les négociations avec les Iraniens comme le souhaitait Jérusalem, même s’il n’envisage pas qu’elles puissent durer «indéfiniment ».



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Envoyé par Jacqueline_013 - le Mercredi 20 Mai 2009 à 12:00
il faut savoir une chose tres importante !!! que ce soit avec ahmedhinedjab ou son remplaçant aux elections !!l'iran nucleair doit etre detruite !! ce que vous ignorez c'est que dans les deux cas ou plutot dans les deux partis ils veulent la bombe !!!donc israel n'a pas a attendre les elections !!!! elle doit agir !mais je suppose qu'elle veut faire le travail avec les usa !! si elle le fait seul ce ne sera pas bon pour nous ce sera signe de rupture !!!!
POUR EDMOND !!tres bonne analyse j'y repondrais dans un petit moment !!!!!
Envoyé par Yossi_002 - le Mercredi 20 Mai 2009 à 16:11
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Envoyé par Hilda - le Mercredi 20 Mai 2009 à 18:57
Soixante-seize sénateurs américains ont appelé le Président Barack Obama à continuer de soutenir Israël et de "prendre en compte les risques que comporterait un quelconque accord de paix", a reporté l'agence de presse AFP.


Le Capitole ou Sénat américain à Washington.
Photo: Archives , JPost
Dans une lettre envoyée au Président et signée par 76 des 100 sénateurs, ils s'adressent à Obama de la façon suivante : "sans aucun doute, nos deux gouvernements s'accorderont sur certains problèmes et divergeront sur d'autres, mais l'amitié qui existe entre les Etats-Unis et Israël exige que nous travaillions ensemble de façon étroite alors que nous réinvestissons ce rôle historique que nous avons, d'ami de confiance et de médiateur actif".

"Nous devons continuer d'insister pour un engagement absolu de la part des Palestiniens pour mettre un terme à la violence et pour construire les institutions nécessaires à la création d'un état viable, vivant côte à côte et en paix avec l'Etat d'Israël" ont écrit les Sénateurs.

"Plus les forces palestiniennes deviendront capables et responsables, plus elles montreront leur faculté de gouverner et de maintenir l'ordre, et plus il sera facile pour elles d'accéder à un accord avec Israël".
POUR MOI C'EST TRES CLAIRE!! la volonte du senat demande une continuite de la politique avec israel !! et c'est aussi un avertissement a obama qui veut dire " TEL EST NOTRE VOLONTE "
YOSSI !!
Envoyé par Yossi_002 - le Mercredi 20 Mai 2009 à 20:46
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Envoyé par Hilda - le Mercredi 20 Mai 2009 à 22:58
Le régime politique américain est présidentiel : le Président en fonction détient et exerce pleinement le pouvoir. Et ce pouvoir est très important, surtout depuis l'époque de Roosevelt ( 1933-1944 ), où la prééminence du pouvoir fédéral par rapport aux Etats, et même, en un sens, par rapport à la Cour Suprême, a été affirmée. Mais ce pouvoir n'est pas celui d'un roi absolu. La Présidence américaine n'est pas une monarchie élective. Et le système politique américain est très marqué par le principe des " checks and balances " - " contrôles et contrepoids " - qui s'applique particulièrement dans le domaine de la politique extérieure. Barack Obama devra compter avec - l'appel des sénateurs est un premier signal.
Envoyé par Edmond_002 - le Jeudi 21 Mai 2009 à 08:12
Obama est dans une situation diplomatique très complexe...
Il a fait de l'Afghanistan sa priorité n°1,
il sait très bien qu'un affrontement majeur avec l'Iran est inéluctable...
Mais il faut la jouer "fine"...Car les US ne sont pas seuls, il y a la Chine, la Russie, l'Inde et l'UE, et donc il faut aussi bien préparer l'opinion américaine que l'opinion internationale à la légitimité d'une guerre, éviter la sottise de Bush qui s'est lancé dans une guerre "croisade" contre productive.
De toute façon rien ne se passera avant les élections iraniennes... Et à partir de là il faudra montrer la mauvaise foi des iraniens devant l'opinion internationale.
De plus les bêtises de Bush ont enflammé le monde sunnite. Il faut les calmer, les US ne peuvent se permettre de combattre sur deux fronts...
L'élite des forces armées américaines sont embourbées en Iraq (merci monsieur bush En colère !) ...
Donc donner des signes d'apaisement aux sunnites...
Bibi l'a compris qui parle maintenant de la création à moyen terme d'un état palestinien.
Mais comptons sur les divisions des organisations palestinienns pour faire échouer les négociations comme ils l'ont toujours fait depuis 1920... nous avons l'habitude Clin d'oeil
Chalom,
nous en avons besoin car les intentions belliqueuses de l'Iran se dévoilent jour après jour et la partie sera autrement plus dure que les précédents conflits, car l'Iran des mollahs a hérité des usines militaires du shah. En colère !
Envoyé par Bernard_050 - le Jeudi 21 Mai 2009 à 08:55
Bernard, je souscris à votre analyse, dans l'ensemble - quoique je la trouve trop sévère pour Bush, notamment pour l'intervention en Irak, sans doute mal préparée diplomatiquement et dont les suites, peu préparées, n'ont pas été gérées au mieux - et je crois qu'à la priorité n° 1, l'Afghanistan, il faut rajouter ( mais en fait, c'est le même problème ) le cas du Pakistan, avec le risque de voir tomber l'arsenal nucléaire pakistanais aux mains des islamistes radicaux : à ce propos, vous avez vu qu'il a trois ou quatre jours, à peine, le Premier ministre indien, Manmohan Singh, s'est adressé à Barack Obama pour lui faire savoir que certains sites nucléaires pakistanais de la vallée de Swat étaient " en partie " [ ??? ] sous le contrôle des talibans. Que peut bien signifier, au juste, cet " en partie " ( je n'ai pas vu le texte anglais, mais la formulation paraît bizarre, pour le moins ) ces sites sont-ils toujours " en partie " sous le contrôle des talibans ou ont-ils été repris par l'armée régulière ? ...
Envoyé par Edmond_002 - le Jeudi 21 Mai 2009 à 10:19
Membre Juif.org





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